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Dans les coulisses

84 matchs de saison régulière : des discussions ont lieu

Le calendrier chargé de la LNH n’est pas nécessairement optimal.

Après tout, en 2024, Brandon Montour et Brad Lambert célébraient leur conquête de la Coupe Stanley avec leurs coéquipiers des Panthers le dimanche, et le lendemain, ils signaient un contrat avec une autre équipe. Ce sont des exemples parmi tant d’autres au fil des années.

En 2024, la Coupe a été gagnée le 24 juin. Trois jours plus tard (27) avait lieu le gala de la remise de trophée. Les deux jours suivants (28-29), c’était le repêchage. Le 30 : la parade de la Coupe Stanley et le lendemain (aujourd’hui), c’était l’ouverture du marché des joueurs autonomes. Pas que je n’aime pas ça, mais il faudrait peut-être penser à éparpiller tout ça, non?

Ah et demain (2 juillet), le calendrier régulier pour la saison 2024-2025 sera officiellement dévoilé.

On sait déjà que le Canadien affrontera les Leafs en lever de rideaux le 9 octobre.

Parlant de calendrier, la LNH et l’Association des joueurs ont eu des discussions préliminaires quant à une idée de calendrier lorsque la nouvelle convention collective sera adoptée.

Finalement.

En effet, le peuple veut moins de matchs et la LNH a décidé… d’en rajouter deux. Un calendrier de 84 matchs pourrait être dans les plans.

Mais comme l’a souligné Pierre LeBrun, c’est loin d’être coulé dans le béton.

84 matchs, c’est un peu trop. Déjà que 82 matchs est limite, j’aurais espéré une diminution de deux matchs, au moins. Et je ne suis pas seul à penser cela.

Raccourcir la saison à 80 rencontres, ça aurait bénéficié tout le monde, sauf peut-être les propriétaires en quête de profits et Alex Ovechkin, qui aurait deux matchs de moins par saison pour battre le record de buts de Wayne Gretzky.

Outre l’augmentation du calendrier, les deux camps ont parlé de réduire le nombre de matchs préparatoire à quatre, de commencer la saison plus tôt en octobre et de sacrer un champion de la Coupe Stanley en début juin et non en fin juin.

Bref, le tout pourrait potentiellement bouger le calendrier de la LNH de deux semaines environ, ce qui donnerait la chance aux gens de respirer un peu et de profiter des vacances de la construction.

À suivre. De toute façon, la convention collective n’expire que dans deux ans.

En rafale

– Colin Miller reste au Manitoba.

– Le meilleur espoir de l’équipe en attaque.

– Dossier à suivre.

– Elle est bonne.