Les superstitions les plus étranges du hockey

 

Les superstitions sont difficiles à expliquer, certaines personnes ont une peur bleue des chats noirs, d’autres craignent le vendredi 13, il y a même des gens qui paniquent s’ils brisent un miroir ou qui ressentent une intense frayeur s’ils ont à passer sous une échelle. Les superstitions sont le sentiment que certains gestes, certains objets ou certaines habitudes peuvent avoir des conséquences directes et influencent le déroulement du futur de manière positive comme négative.

En fait, une superstition comporte un certain lot d’affinités avec la maladie mentale ou une forme de psychose paranoïaque. De nombreux athlètes ont intégré des superstitions dans leurs routines d’avant-match, croyant fermement qu’en y dérogeant, cela peut nuire à leurs performances, être la cause de mauvais rebonds ou d’une forme de malchance.

Au baseball, l’ancien lanceur Turk Wendell était un véritable cinglé des superstitions au milieu des années 90. S’il n’était pas un as lanceur, il était un champion des excentricités. Il arborait un immense collier de griffes d’ours par-dessus son uniforme, il portait le numéro 99 et avait insisté pour que son salaire soit uniquement composé du chiffre 9; et le top des tops : il refusait de marcher sur les lignes de démarcation, il bouffait de la réglisse noire sur le terrain et se brossait les dents entre chaque manche dans l’abri des joueurs.

Le hockey a aussi eu son lot d’amateurs de superstitions étranges, particulièrement chez les gardiens de but, en voici une liste savoureuse.