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La pénurie d’infirmiers (ères) se poursuit au Québec

Le problème de pénurie d’infirmiers et d’infirmières s’amenuise au Québec, mais demeure encore bien réel. 

Alors que le nombre d’infirmiers et d’infirmières au Québec est toujours en progression, et que l’on croyait avoir enrayé le problème de manque, surtout parce qu’on en parle moins, Radio-Canada rapporte que la province est toujours aux prises avec un problème de pénurie.

Cette conclusion provient d’un rapport proposé par l’Ordre des infirmiers et infirmières du Québec (OIIQ) plus tôt cette semaine (5 mars), qui parle d’un manque à gagner de près de 2 %.

Si le nombre d’infirmiers et d’infirmières avait augmenté de plus de 8 % au cours des dix dernières années, il semble que seulement 50 % de ces travailleurs au public occupent un poste à temps plein.

De plus, un nombre grandissant d’infirmiers et d’infirmières travaillent maintenant dans le secteur privé ou auprès d’industries, ce qui ajoute au problème.

De nombreuses régions affirment être en pénurie, alors que d’autres refusent simplement d’augmenter le nombre d’infirmiers dans leurs établissements, pour une raison ou une autre.

Heureusement, le rapport confirme que les programmes en soin de santé sont pleins, refusant même des candidats et candidats, ce qui pourrait signifier une hausse des ressources de 3500 infirmiers et infirmières par année. Le nombre de retraites dans le domaine est évalué à 2300 par année.

Le problème n’est donc toujours pas résolu, mais il est permis de croire qu’il pourrait l’être au cours des prochaines années.