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Dans les coulisses

David Reinbacher nous explique enfin comment se prononce son nom de famille

On va se le dire. Le nom de famille de David Reinbacher n’est pas nécessairement facile à prononcer.

Le jeune homme du CH, qui a vraiment, vraiment l’air d’un gars qui est en train de sortir de sa coquille en ce moment, a expliqué aux journalistes sur place au Complexe sportif de Brossard comment on devait l’appeler.

Résultat? Je vous laisse le découvrir dans le vidéo qui suit… Parce que si je tentais de vous l’expliquer de mon clavier, j’ai de la misère à croire que vous allez comprendre ce que je veux ire :

 

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Il a de l’humour, le kid.

Il semble être gêné à première vue et c’est normal, parce qu’on s’entend que le marché de Montréal est un brin intimidant.

Anyways. Parlons de hockey, un peu.

Reinbacher est présentement au camp d’entraînement du CH et il faut avouer qu’il connaît de bons moments face à des joueurs d’expérience et des gars qui sont plus talentueux que lui.

Cela dit, il s’en tire bien. Il n’est pas parfait… Mais il n’a pas besoin de l’être non plus.

Martin St-Louis a parlé de son protégé et il a affirmé, sans aucune gêne, qu’il aime ce qu’il voit de la part du jeune défenseur jusqu’à maintenant.

Le coach a vanté sa prise de décisions, qu’il considère comme étant « élite »… Et il a aussi mis l’emphase sur le fait que Reinbacher est mature et calme lorsqu’il a le contrôle de la rondelle. St-Louis a aussi vanté sa elle vision du jeu :

David Reinbacher n’est peut-être pas encore un défenseur de la LNH et c’est normal.

Il va célébrer son 19e anniversaire au mois d’octobre (le 25) et visiblement, il n’est pas encore prêt à passer au prochain niveau.

C’est loin d’être un reproche, en passant. La majorité peut s’entendre sur le fait qu’il a encore du chemin à faire avant d’être un régulier et un bon défenseur du circuit Bettman… Pour des raisons tout simplement logiques.

On se demande tout le temps quel est son plafond et ça aussi, c’est normal. Dans les faits, on ne l’a jamais vu se comporter face aux meilleurs joueurs au monde et il est difficile de se créer des attentes quelconques, même si on parle d’un 5e choix au total du repêchage.

Cela dit…

Mathias Brunet s’est prêté au jeu des comparaisons et à ce niveau-là, il le voit devenir un genre de Rasmus Andersson 2.0 :

Ouais. OK.

Je comprends qu’on parle de Rasmus Andersson comme étant un choix de 2e ronde (53e au total)…

Mais on parle aussi d’un défenseur qui a revendiqué 50 et 49 points à ses deux dernières saisons dans la LNH.

Dans la même idée, Mathias donne l’exemple de Shea Weber… Et lui aussi, il a été choisi en 2e ronde.

On connaît tous l’impact qu’a eu l’ancien capitaine de la Flanelle lors de sa carrière dans la grande ligue.

Tout ça pour dire qu’en ce moment, Reinbacher fait bien et il gagne des points au sein de l’organisation. Est-ce qu’on peut lui en demander plus? Peut-être…

Mais ça ne veut pas dire qu’il faut être déçu de son rendement jusqu’ici au camp d’entraînement.

Et elle est là, la bonne nouvelle, au fond. 

En rafale

– Comment va se régler le dossier Zegras à Anaheim?

– Le contraire aurait été suprenant.

– Calvaire!

– Intéressant, quand même.

– La chimie s’installe!