La chanteuse Sheryl Crow a finalement obtenu une ordonnance restrictive de trois ans contre un homme de 45 ans qui se nomme James Philip Sparks.
Selon la demande qu’elle avait déposée, l’homme aurait divagué à son propos sur des réseaux sociaux, et il aurait même menacé de la tuer par balle.
Crow affirmait dans sa demande que c’est son gérant qui l’avait informée de cette menace.
Sparks écrivait sur sa page Facebook que la chanteuse s’était infiltrée dans sa maison pour le filmer à son insu.
Son agent l’a également informée qu’en juillet dernier, l’homme s’est rendu au quartier général de SAG-AFTRA, à Los Angeles, et a confié à un employé qu’il allait simplement tuer Crow à l’aide d’une arme à feu.
Elle écrivait dans sa requête : « Cette déclaration a été évidemment extrêmement alarmante pour moi. Il était clair pour moi qu’il était profondément dérangé, car ses écrits étaient délirants, incohérents, remplis de jurons et de colère. »
Lors de l’audience, qui a eu lieu hier (14 août), un psychiatre a parlé en faveur de la célébrité, affirmant que le suspect était « dangereux ».