La rencontre entre Kim Kardashian et le président
Trump en est une qui est déjà passée à l’histoire, avec de
belles implications pour la star de télé-réalité, qui visitait la Maison-Blanche
en tant qu’activiste des droits de la personne, militant pour l’occasion pour la
libération d’Alice
Johnson.
Celle
qui souhaite depuis devenir avocate et sensibiliser à l’importance de réviser
les peines des prisonniers condamnés à des peines trop lourdes pour des crimes
non violents révèle cependant que malgré ce beau succès, presque tout le monde
lui avait déconseillé d’aller à la rencontre de l’administration Trump, qui
risquait de « détruire sa carrière ».
«
Tout le monde m’a dit que j’allais détruire ma carrière si j’allais à la
Maison-Blanche, mais ça ne signifiait rien pour moi. Ma réputation plus
importante que la vie de quelqu’un? Ça ne fait aucun sens. Les gens en disent de
la m**de dans une journée, et je me sentais confiante de pouvoir gérer une
nouvelle qui allait faire un cycle pour une journée, une semaine au maximum.
Mais d’avoir la chance de changer la vie de quelqu’un? Reculer n’était pas une
option pour moi », explique Kim Kardashian lors d’un entretien accordé à CR,
alors qu’elle se retrouve parmi les stars de l’édition Power de la
publication de mode, rapporte
TooFab.
Kim
Kardashian poursuit depuis ses efforts légaux afin de venir en aide à des
personnes traitées injustement par le système judiciaire et carcéral, et a mis
sur pied une équipe d’experts afin d’analyser les cas de nombreux prisonniers
accusés de crimes non violents aux États-Unis.
Crédit photo : WENN/COVER