Rappelons que le producteur Rob Fusari a engagé une poursuite contre la chanteuse la semaine dernière, affirmant que sa protégée et ancienne copine l’a laissé tomber lorsqu’elle a commencé à connaître du succès.
Dans cette poursuite, Fusari affirme avoir collaboré à plusieurs succès de Gaga et soutient également être à l’origine de son nom et de son image de scène. Il prétend aussi l’avoir aidée à se trouver un contrat de disques.
Soulignons que la Gaga et Fusari auraient eu une relation amoureuse qui se serait ensuite transformée en relation d’affaires en mai 2006.
La chanteuse a répliqué, alors que son avocat affirme que sa cliente à été dupée. Il explique que le contrat conclu avec Fusari lui permettait de percevoir une forme de rémunération considérée comme illégale, rapporte The Star.
Selon l’avocat Charles Ortner, ce contrat signé en 2006 était « rédigé de manière à cacher son but véritable, soit d’accorder au défendeur une rémunération illégale pour ses services en tant qu’agent sans licence ».
On accuse également Fusari d’avoir abusé d’une jeune artiste sans expérience en lui soutirant de l’argent de façon illégale.
L’avocat de Fusari, Robert S. Meloni, affirme quant à lui que ces allégations sont ridicules.
En déposant une contre-poursuite, Gaga espère faire annuler celle de Fusari et demande également à recevoir une compensation financière de sa part.
Rappelons que Beyoncé a également été victime d’une poursuite de Fusari récemment. Celui-ci l’accusait d’avoir récolté tout le crédit pour l’utilisation d’un accord musical de Stevie Nicks dans la pièce Bootylicious de Destiny’s Child. Fusari affirmait qu’il avait eu l’idée d’utiliser ce morceau et qu’il avait été outré d’entendre Beyoncé prétendre qu’il s’agissait de son idée