Finalement, Audi nous a tellement martelés avec la petite A1 qu’on ne sait plus bien quoi dire maintenant qu’elle est enfin visible entièrement.
Comme prévu donc, l’Audi A1 adopte une nouvelle calandre aux bords biseautés et dont la ligne supérieure est prolongée par l’éclairage de jour « signature » en DEL.
La ligne de toit marquée par les arches contrastantes (en option), le pilier C épais et abrupt surmonté d’un aileron, la surface vitrée assez plongeante et le capot court confèrent à l’Audi A1 un style trapu et l’impression d’une voiture très courte. Une impression confirmée par la fiche technique, puisque l’Audi A1 ne mesure que 3,95 m de long.
L’intérieur apparaît rigoureux et on peut assurer sans trop de risque qu’il est d’une qualité irréprochable. Les sièges enveloppants bicolores et le volant à trois branches donnent une touche de sportivité à l’ensemble.
Sous le capot, Audi proposera 4 moteurs turbo à injection directe, 2 TFSI essence et 2 TDI. Ceux-ci développent 86 et 122 chevaux pour les premiers et 90 et 105 chevaux pour les seconds.
Une puissance qui n’est certes pas démoniaque, mais l’Audi A1 est la voiture la plus légère de son segment avec seulement 1 045 kg. Du coup, les consommations sont impressionnantes : seulement 3,8 l/100km pour le 1,6 L TDI 90 ch. et même 5,4 l/100km pour le 1,4 L TFSI de 122 ch.
Face à son ennemie déclarée, la Mini de BMW, l’Audi A1 jouera la même carte de la personnalisation. Des buses d’aération au toit, les acheteurs pourront choisir parmi de nombreuses options afin de faire une Audi qui leur ressemble.
L’Audi A1 devrait voir ses tarifs démarrer autour de 16 000 euros, soit environ 23 500 $.
