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Des diagnostics erronés du cancer du sein

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Un chercheur prétend que les tests erronés du cancer du sein entraînent bien de faux diagnostics au Québec.

Le président de l’Association des pathologistes du Québec, le Dr Louis A. Gaboury, a mentionné à Radio-Canada que bien des Québécoises risquent de recevoir un faux diagnostic du cancer du sein en raison des tests menés en laboratoire.

Le scientifique a testé l’efficacité des tests de marqueurs du cancer du sein, utilisés dans les 25 plus importants laboratoires du Québec, qui permettent de déterminer si le cancer de la patiente est hormonodépendant. Dans un tel cas, la patiente peut être traitée à l’hormonothérapie ou l’Herceptin.

M. Gadoury prétend que 15 à 20 % des tests sur les marqueurs pour l’hormonothérapie étaient erronés et que ceux pour les marqueurs pour le Herceptin avaient un taux d’erreur de 30 %.

Ce phénomène entraîne alors un faux diagnostic de traitement dont les coûts ne sont pas sans conséquence. « S’il y a 10 % de variation, ce qui veut dire que ce test est fait de façon routinière, qu’il y a des milliers de patientes qui ont des cancers du sein au Québec, ça veut dire qu’il y a plusieurs centaines de patientes au Québec qui ont, peut-être, un résultat qui n’est pas correct », a-t-il déploré.