Des chercheurs, associés à l’Université Johns Hopkins de Baltimore aux États-Unis, ont analysé 21 études portant sur les conséquences psychologiques d’un avortement et concluent que les femmes ne sont pas plus dépressives à la suite de cet évènement.
« La meilleure recherche ne démontre pas l’existence d’un syndrome post-avortement qui pourrait se comparer au syndrome du stress post-traumatique », a mentionné le Dr Robert Blum. Il déplore que le mouvement pro-vie se serve de l’argument des conséquences traumatisantes d’un avortement pour convaincre les femmes de poursuivre leur grossesse.