Le Dr Paul S. Aisen, de l’Université de Californie à San Diego, vient de démontrer que la théorie qui veut que la vitamine B ralentisse la progression de la maladie d’Alzheimer est complètement fausse.
« Les résultats de notre étude démontrent que la vitamine B n’a pas réussi à diminuer de manière significative les niveaux d’homocystéine, un acide aminé que l’on retrouve en abondance chez les personnes atteintes d’Alzheimer », a noté l’auteur de l’étude.
« Ce traitement n’est pas efficace et ne devrait pas être recommandé », a ajouté le Dr Aisen, qui déplore que plusieurs patients touchés par la maladie neurodégénérative soient si tentés par des traitements alternatifs.