Selon Pierre-Yves Scarabin et Marianne Canonico, des chercheurs français de l’Hôpital Paul Brousse, les femmes ménopausées qui suivent une hormonothérapie voient leur risque d’avoir un caillot sanguin mortel doubler.
Les scientifiques ont analysé 17 recherches sur le sujet pour en arriver à la conclusion que ce phénomène est surtout observé lors de la première année d’administration de l’oestrogène aux femmes ménopausées.
En 2002, une autre recherche associait l’hormonothérapie au risque accru de cancer du sein et des ovaires et suggérait fortement aux femmes d’abandonner l’hormone synthétique.