Une étude réalisée auprès de 16000 personnes par des chercheurs de l’Université de Duke a mené à la conclusion que les personnes ayant un surplus de poids survivent plus facilement après un infarctus que les personnes de poids normal.
En effet, plusieurs études obtiennent le résultat suivant : après avoir subi un infarctus, le taux de mortalité des gens de poids normal, atteint un pourcentage supérieur à celui des gens obèses.
Selon un professeur-assistant de médecine à l’Université de Duke, le paradoxe de ce phénomène biologique n’a pas encore été expliqué.
Le porte-parole de la Société européenne de cardiologie, le Dr Andrew Newby, suggère que le coeur des personnes obèses pourrait mieux survivre au choc parce qu’il est préconditionné, plus volontiers soumis au stress.