Une étude publiée aujourd’hui par la Société européenne de reproduction humaine et d’embryologie (ESHRE) révèle que les femmes âgées de plus de 35 ans ayant recours à ce procédé obtiennent un taux de grossesses au bout de 12 semaines nettement plus faible.
Le dépistage génétique, qui consiste, après fécondation in vitro, à prélever une cellule sur l’embryon, est utilisé afin de s’assurer qu’il n’y a pas de chromosome défectueux.
Plusieurs spécialités ont exprimé des réserves vis-à-vis cette technique utilisée par des centres de fertilité, alléguant que ces derniers y voient une importante source de profit.
L’étude de la ESHRE a été réalisée auprès de 408 femmes âgées de 35 à 41 ans.