Selon les premières informations, les deux parties n’entrevoyaient pas suffisamment de bénéfices pour compléter une transaction.
GM désirait recevoir un paiement basé sur le fait que Renault-Nissan aurait obtenu plus de bénéfices qu’eux dans une telle transaction.
Les négociations achoppent donc après deux mois de rencontres.
Dans un communiqué, les trois constructeurs ont reconnu que cette alliance aurait apporté des économies significatives, mais ils ne s’accordaient pas sur les montants et les actions que chacun aurait obtenues dans l’opération.