Un jury de Détroit a rejeté la plainte de Jim Diamond qui alléguait que le groupe lui devait des royautés impayées.
Le producteur est à l’origine des disques éponymes (1999) et De Stijl (2000) du groupe.
Selon lui, il est responsable du son de ces disques et aurait dû être rétribué pour cela.
Le groupe payait 35 dollars l’heure les honoraires de Diamond pour l’utilisation de ses services au studio Ghetto Recorder.