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Dans les coulisses

Carey Price: à la mi-vingtaine, il se sentait comme s’il avait subi un accident d’auto

Carey Price est un autre joueur qui a tout donné pour le chandail du tricolore. Il l’a porté du début jusqu’à la fin de sa carrière et malgré ses embûches personnelles et celles de l’équipe, il a trouvé le moyen de connaître une très belle carrière.

Cependant, il a payé et continue de payer très cher son choix de jouer au hockey professionnel.

Arpon Basu l’a rencontré pour jaser de la vie après le hockey. Il avait au préalable rencontré Shea Weber, qui lui a notamment notamment parler de son calvaire lors de la dernière année et demie de sa carrière.

Voici le lien de son texte.

Si l’ancien capitaine du CH prenait des médicaments à n’en plus finir, Price, lui, s’est limité aux advils pendant une grande majorité de sa carrière.

L’ancien gardien a mentionné qu’il y a connu des amis et des gens de sa famille qui ont oeuvré dans ce « monde » et voulait à tout prix éviter ça.

Price s’est aussi ouvert sur le fameux prix qu’il doit payer encore aujourd’hui.

« J’avais un bon sentiment quand je jouais du prix que j’allais devoir payer. Je me levais après un match à la mi-vingtaine et je me sentais déjà comme si je vais d’être impliqué dans incident d’auto. (…) Tu te dis que tu n’a qu’une vie à vivre et que tu veux gagner à tout prix». – Carey Price

Même si Price ne jouera plus jamais dans la LNH. Il espère pouvoir continuer à jouer avec ses enfants l’hiver.

Il s’ennuie du sport et ne dirait pas non à une opportunité d’inscrire quelques buts. Son genou ne lui permettrait pas de jouer comme gardien, mais il dit à la blague vouloir cibler quelques gardiens à la tête.

Price ne regrette rien et surtout, recommencerait son aventure demain matin s’il le pouvait.

En rafale

– L’évolution de l’aréna.

–  Pas évident comme situation.

–  Une nouvelle semaine commence dans la LCF.