Une victime collatérale des agissements d’Harvey Weinstein dont peu de gens semblent se souvenir est probablement la femme la plus proche du producteur déchu : la sienne.
Georgina Chapman révèle en effet l’ampleur de la dévastation ressentie en marge du scandale impliquant son mari, sous le coup d’incalculables allégations d’inconduites sexuelles à Hollywood et ailleurs.
Acceptant de répondre aux questions du Vogue, Chapman révèle avoir eu recours à la thérapie.
« Au début (…) j’étais trop sous le choc (pour aller en thérapie). Puis, j’ai réalisé : C‘est arrivé. Je dois y faire face. Je dois avancer. Il y a une partie de moi qui était terriblement naïve, clairement si naïve. J’ai des moments de rage, des moments de confusion, de déni (…) C’est encore très, très vif. Je montais les escaliers l’autre jour et je me suis arrêtée : c’était comme si l’air avait été frappé hors de mes poumons », explique notamment Chapman, visiblement encore largement affectée par toute l’affaire.
Découvrez ici l’entretien de Georgina Chapman avec le Vogue.