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Dans les coulisses

Offre hostile : Dylan Holloway critique les Oilers pour la gestion du dossier

Parmi les dossiers qui ont retenu l’attention cet été aux quatre coins de la Ligue nationale de hockey, il y a celui de l’offre hostile des Blues de Saint-Louis.

Doug Armstrong a profité d’une situation précaire à Edmonton pour mettre la main sur Dylan Holloway et Philip Broberg et ça a fait jaser en masse dans les dernières semaines.

Cela dit, l’attaquant s’est confié sur le processus lors d’un passage au podcast d’Andy Strickland (qui couvre les activités de Blues) et même si Holloway se dit heureux d’être désormais à Saint-Louis, il trouve que les Oilers ont géré la situation de « façon étrange ».

Holloway a affirmé qu’il était en discussion avec la direction à Edmonton pour signer un nouveau contrat, mais que les Oilers ne lui ont jamais offert ce qu’il voulait au niveau monétaire même si ses demandes n’étaient pas astronomiques.

Il s’est ainsi senti délaissé par l’organisation… Et il s’est ensuite tourné vers l’option de signer une offre hostile. Parce qu’à un certain moment, il a dû commencer à penser à lui dans tout ça.

L’attaquant a trouvé le tout très difficile parce qu’il aimait jouer pour les Oilers :

Je voulais rester avec eux pour toujours, mais ça ne fonctionne pas comme ça dans la LNH […] La façon dont ils ont géré ça, c’était étrange. Je sentais que je n’avais pas d’autre choix que signer l’offre hostile des Blues. – Dylan Holloway

De l’entendre dire ça ouvertement, c’est quelque chose.

Surtout dans l’optique où il a raconté tout ça à un podcast qui se concentre sur les activités de son nouveau club. 

Visiblement, Holloway ressent un inconfort concernant la façon dont les Oilers l’ont traité.

Il aurait vraiment voulu s’entendre sur les termes d’un nouveau contrat avec son ancien club, mais il a jugé que les offres qui lui ont été déposées par la direction n’étaient pas justifiables.

Rappelons qu’à Saint-Louis, l’attaquant a signé un contrat de deux ans d’une valeur totale de 4,58 M$… 

Dylan Holloway a 22 ans et il ne pouvait pas passer à côté de l’opportunité de signer un contrat du genre. Ça lui apporte plus de stabilité au niveau financier et c’est important à cet âge-là parce qu’on ne sait jamais ce qui peut se passer avec un joueur au niveau de la santé.

Des blessures, ça peut arriver à n’importe quel moment, après tout…

C’est juste plate que le joueur se sente de cette façon-là parce qu’à l’entendre, il semble être déçu en quelque sorte d’avoir été « forcé » de quitter Edmonton.

En rafale

– Ça va de soi.

– Malade!

– En parlant des jeunes :

– Meh…

– J’adore!

– Les Sens ont une nouvelle partenaire!

– Un vrai cauchemar…