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Dans les coulisses

Joe Sakic s’attend à voir Valeri Nichushkin être de retour en novembre

Lors des dernières séries éliminatoires, Valeri Nichuskin a été placé (pour une troisième fois en peu de temps) sur le programme d’aide de la LNH.

À ce moment-là, on s’est tous demandé si sa carrière dans la Ligue nationale était terminée pour des raisons logiques.

Et le fait d’entendre les joueurs de l’Avalanche le planter publiquement, disons que ça permettrait de croire que sa réputation était à son plus bas.

Mais du côté des dirigeants au Colorado, on pense encore que le Russe a ce qu’il faut pour aider l’équipe.

Joe Sakic a confié ce matin au Kreckman and Lindahl podcast (qui est diffusé à la radio à Denver) qu’il s’attend à le voir être de retour au mois de novembre, soit lorsque la LNH lui donnera le feu vert pour sortir du programme d’aide :

Je ne sais pas pour vous… Mais on dirait que cette nouvelle-là me surprend beaucoup.

Nichushkin a pris des mauvaises décisions et ses choix ont eu un impact sur les succès de l’Avalanche en séries au printemps dernier.

Il avait récolté neuf buts en huit matchs éliminatoires avant de devoir faire appel au programme d’aide et il était dominant sur la patinoire… Et lorsqu’il est parti, l’Avalanche n’a jamais été en mesure de le remplacer dans la formation.

Résultat? Après avoir battu les Jets en cinq matchs lors de la première ronde, le club s’est finalement incliné en six matchs contre les Stars au deuxième tour.

Ça paraissait quand Nichushkin était sur la patinoire et ça paraissait aussi quand il n’y était pas. 

Cela dit, l’organisation du Colorado lui fait encore confiance et les dirigeants savent qu’il peut revenir le joueur important qu’il était dans la formation.

C’est à Nichuskin maintenant de faire les choses de la bonne façon et il est mieux de marcher droit parce que ça pourrait vraiment être sa dernière chance dans la Ligue nationale.

D’autant plus qu’il est censé supposé 6.125 M$ par saison pour les six prochaines années (s’il joue, évidemment)…

En rafale

– Classique.

– Ça faisait longtemps que j’avais entendu ce nom-là.

– Bravo.

– Il gagne… Alors pourquoi pas ?