Mariana Mazza est-elle en passe de devenir une icône du féminisme moderne ?
Cela se pourrait bien. La jeune humoriste québécoise n’est pas réputée pour garder sa langue dans sa poche.
Aussi, en entrevue avec Le Journal de Québec, la jeune femme a tellement touché en plein coeur un point sensible que la journaliste Sophie Durocher lui a laissé sa chronique.
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« Si tu le permets, je vais juste ouvrir des guillemets pour citer une artiste et je n’ajouterai rien, parce que… je n’ai rien à rajouter. Elle dit tout haut exactement ce que je pense (et ce que pense la majorité des gens). Oui, vraiment, Mariana Mazza aurait pu écrire ma chronique à ma place », écrit Sophie Durocher avant de laisser place aux propos de Mariana Mazza.
« Le but dans la vie, ce n’est pas d’avoir le plus de femmes, c’est d’avoir les femmes les plus compétentes. Ça adonne que notre génération en a de plus en plus », précisant « le but n’est pas d’avoir la parité, c’est d’avoir la qualité ».
Et toc.
Mariana Mazza est la première humoriste depuis 2002 à comptabiliser cinq mentions aux Olivier.
Ce joli coup, Mariana Mazza le doit à son spectacle, Femme ta gueule, qui remporte un vif succès au Québec.
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