Taxée d’opportunisme ou encore de condescendance par des millions d’observateurs dans le monde, Gwyneth Paltrow et sa fameuse entreprise de « mieux-vivre » (Goop) auraient plutôt été inspirées par le triste destin du père de l’actrice, Bruce Paltrow.
Atteint d’une maladie grave et mort en octobre 2002, Bruce Paltrow aurait alors eu un impact fulgurant sur sa fille, Gwyneth.
« Quand mon père a été diagnostiqué, j’ai commencé à frénétiquement jeter des trucs dehors. Je suis passé à travers une phase fanatique macrobiotique, et j’étais évidemment motivée par la douleur. Je pense que c’était la partie erronée, de penser que c’était tout ou rien. Ce n’est pas à propos de ça. On voulait créer le tome ultime qui explique comment fonctionne Goop. Les gens pensent : Ouf, je dois tout abandonner, mais c’est juste vraiment de dire : je suis prêt à expérimenter, et d’y aller doucement sur soi-même. Je bois encore de l’alcool et je mange des frites. Mais, je suis aussi motivée par des changements qui sont durables, même petits, comme de se souvenir de boire davantage d’eau », explique Gwyneth Paltrow en entrevue avec People.
Ce genre d’entrevues et de candeur risquent fort d’aider Paltrow. L’actrice a en effet encore été votée comme la personnalité la plus détestée au cours de 2016, un titre qui surprend toujours la star d‘Iron Man.
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