Ainsi, les résultats à la suite du décès d’Amy Winehouse pourraient être différents de ce qui a été déterminé originalement.
Il avait été question d’un empoisonnement accidentel dû à l’ingestion d’alcool. Cependant, il a été révélé que l’assistante du coroner, Suzanne Greenway, n’était pas qualifiée pour l’analyse de la cause du décès.
C’est la Dre Shirley Radcliffe, la coroner intérim pour l’Inner North London, qui a confié : « Je peux confirmer que l’enquête sur la mort d’Amy Winehouse sera entendue à nouveau à la cour du Coroner St. Pancars. Après avoir consulté l’avis légal approprié, je suis persuadée qu’en raison du manque de qualification de la précédente assistante du coroner, les détails techniques de la cause de la mort d’Amy Winehouse n’ont pas été dévoilés ».
Suzanne Greenway a démissionné de son poste d’assistante en novembre dernier, lorsque l’information a été rendue publique. Pourtant, la seule faute dont elle est coupable, c’est de ne pas avoir exercé son métier d’avocate pendant les 5 ans requis au Royaume-Uni.
Le coroner, son mari, Dr Andrew Reid, est celui qui l’avait mandatée sur le dossier d’Amy Winehouse. Au début de l’enquête, le Dr Reid avait été suspendu de ses fonctions en février de cette année.
Mitch Winehouse, le père de la défunte, s’est dit « choqué » qu’une telle chose puisse se produire, mais surtout, la famille ne peut croire qu’elle doive à nouveau passer par le même processus.