Auteur : Derrière Le Volant

Le constructeur d’Hiroshima ne se cache plus, il veut monter en gamme. Pas nécessairement au niveau des joueurs importants de ce segment mais suffisamment pour se détacher du lot. À titre d’explication, il faut savoir que Mazda est le seul fabricant japonais qui n’offre pas sa lignée de voitures de luxe comme Toyota avec Lexus ou Nissan avec Infiniti. La Mazda 3 avait donné le ton avec des présentations plus étoffées mais voilà le CX-90 qui annonce le coup.

De la classe

Si sur photo, ce nouveau venu semble plus commun, en vérité, il est tout autre de visous. Je me suis laissé impressionné par son élégance et sa prestance. Le CX-90 propose quelque chose de différent. Sa caisse propulsée vers l’arrière et son museau allongé lui confère une silhouette plus dynamique
que la plupart des utilitaires de sa catégorie.

La signature Mazda est toujours bien présente en sa grille bien supportée par ce berceau de chrome qui vient lier les phares. Les pourtours d’ailes dessinés par une fine bande noire portent bien les roues et les pneumatiques de grand format. Les feux s’étirent pour aller presque rejoindre le M stylisé de la marque. Tout est dans le détail chez les stylistes de Mazda. Des bandes de chromes s’affirment aux endroits stratégiques pour en ajouter au chapitre du style et de la nouvelle notoriété de la marque.

Une note de finesse

À l’ouverture des portières, le respect digne de son rang s’impose. Ici, je parle de la présentation globale de l’habitacle. Des teintes contrastantes déposées sur des matériaux de belle qualité dans un ensemble d’une grande sobriété mais tellement chaleureuse. Des cuirs, de fines boiseries s’harmonisent avec cette bande de tissu que j’adore dans les versions Signature. Dommage que cette présentation ne soit pas offerte dans les modèles PHEV. Eh non, pas de version Signature pour le modèle plus écologique. Dommage!

Pour la présentation générale, le tableau de bord propose une belle harmonie entre la nacelle des instruments, l’écran multimédia est les buses et commandes de la climatisation et chauffage. Le tout est dégagé et se glisse tout à l’horizontal. La console centrale n’est pas trop envahissante malgré
l’espace occupé.

Les places avant comme à l’arrière offrent le confort souhaité. Ce nouveau CX-90 dispose d’un choix de 3 configurations de sièges pouvant accueillir 6, 7 ou 8 passagers. Voilà une distinction face à la
concurrence.

Contre tendance

L’électrification de l’industrie fait la une depuis quelques années. Chez Mazda, on joue une carte combinée avec l’introduction d’un moteur thermique six cylindres en ligne et d’une version PHEV. Le paradoxe actuel vient du nouveau moteur 6 cylindres turbo de 3,3L. Ce nouveau moteur est
associé à une boîte de vitesse à 8 rapports. De plus, il est proposé sous deux plages de puissance soit 280 chevaux et 332 lb-pi de couple ou 340 chevaux et 369 lb-pi dans la configuration plus puissante. Plus écologique et au goût du jour, la version PHEV porte en son cœur le moteur connu 4 cylindres de 2,5L assisté d’un moteur électrique de 68 kW pour une puissance combinée de 323 chevaux et 369 lb-pi de couple. Dans les 2 derniers cas, l’utilisation d’une essence à indice d’octane réduit vous fera perdre quelques chevaux. Là encore, la boîte à 8 rapports est de mise.

Pour avoir conduit les deux configurations moteurs, je dois opter pour la version PHEV qui offre une conduite un peu plus dynamique probablement dû à la réduction du poids au train avant. En contrepartie, le moteur 4 cylindres se veut un peu rugueux en accélérations et en reprises. Qu’à
cela ne tienne, il me semble mieux adapté à la nouvelle réalité du marché. En mode électrique seulement, vous ne pourrez faire que les 42 km annoncés. Le moteur électrique pourrait faire mieux mais le poids élevé de ce VUS pénalise son autonomie.

Malgré tout, dans les deux cas, le CX-90, propose une conduite neutre même en conduite plus sportive. Même en virage serré, le roulis est peut perceptible. Les 5 versions à moteur 6 cylindres affichent une consommation combinée de 9,3-9,5 l/100. Pour ce qui est de la version hybride
rechargeable la consommation annoncée est de 9,4 l/100. Il faut saluer ici le travaille des ingénieurs qui ont su réaliser un moteur thermique dont la consommation est semblable à celui du 4 cylindres hybride.

Belle réussite

Le nouveau CX-90 est une belle réalisation et devrait confirmer les objectifs de Mazda. Il est joli, élégant et très logeable. De plus, la présentation de l’habitacle est digne des véhicules plus luxueux sur
le marché. Avec un choix de versions (3 pour le PHEV et 5 pour le modèle 6 cylindres), le CX-90 assure honorablement la succession du CX-9.

Version PHEV
GS $54 900
GS-L $59 950
GT $64 350

Version 6 Cyl
GS $45 900
GS-L $49 300- $ 51 350
GT $55 350
GT-P $59 300
SIGNATURE $ 63 300

Le Ford Transit Connect a connu une belle carrière en Amérique du Nord. La première génération avait connu beaucoup de succès dans le créneau des petits camions commerciaux. Puis la 2^e génération est apparue avec une version dites pour passagers. C’était une façon pour Ford de
revenir dans le segment des fourgonnettes.

Mais voilà que la fin vient de sonner. La direction du constructeur américain veut diminuer les coûts d’exploitation et la complexité des opérations commerciales. De plus, devant la faiblesse de la demande, le Ford Transit Connect va quitter le catalogue dès la fin de 2023.

Si le format de ce camion à vocation commercial vous intéresse, il est temps de choisir le vôtre avant son retrait définitif à la fin de l’année. 

C’est une évidence, les fourgonnettes n’ont plus la cote. Pourtant, lors de leur apparition dans les années 80, c’était la ruée vers ces véhicules multifonctionnels, très pratiques et tout de même relativement agréables à piloter. Curieusement, c’est presque leur popularité qui a causé leur abandon. En effet, rien ne peut égaler ce véhicule pour répondre aux besoins de la famille. L’aménagement intérieur est variable, l’habitabilité incontournable et les portes coulissantes facilitent l’accès sans oublier un espace de chargement volumineux. Mais, après quelques années, la fourgonnette était automatiquement associée aux véhicules utilisés par les mères de famille pour conduire leurs enfants aux matchs de soccer. Il n’en a pas fallu davantage pour que les Américains identifient la fourgonnette à un véhicule de mère de soccer.

Ce qui aurait pu passer pour un compliment s’est vite retourné contre la fourgonnette qui est devenue un véhicule sans intérêt, relégué au rang de véhicules de mère de famille, sans éclat, ni intérêt. On
s’est alors tourné vers les VUS qui faisaient leur apparition. À leur volant, on profite de la majorité des qualités d’ordre pratique d’une fourgonnette, la plupart peuvent être équipés du rouage intégral et en plus il y a cette aura d’aventuriers associée à la catégorie.

Il n’en fallait pas plus pour que la pauvre fourgonnette soit reléguée comme figurant de second rang dans le monde de l’automobile. D’ailleurs, il y a quelques années, dans le cadre du Salon de l’auto de
Chicago, pour souligner le 30^e anniversaire de l’arrivée de la première fourgonnette sur le marché, Chrysler avait organisé une cérémonie. Mais au lieu d’un événement grandiose, ce n’était qu’une petite annonce, timidement localisée derrière le kiosque du constructeur. C’est tout dire.

Une exclusivité Pacifica

La première Autobeaucoup de Chrysler a connu de multiples transformations au cours de sa longue carrière. La toute dernière, a été l’arrivée de son modèle Pacifica en 2017, venant remplacer la Chrysler Town & Country. Non seulement cette nouvelle venue est améliorée au chapitre du
comportement routier, de l’équipement de série tout en étant relativement plus élégante. Mais, en plus, il est dorénavant possible de commander ce modèle en version hybride rechargeable, une exclusivité qui demeure toujours de nos jours. C’est justement le véhicule que nous avons essayé.

Le Pacifica Hybrid est propulsé par un moteur V6 de 3,6 litres associé à deux moteurs électriques pour une puissance totale de 260 chevaux, le tout relié à une transmission de type CVT. À titre de comparaison, le modèle exclusivement à moteur thermique est toujours propulsé par le même
moteur V6, mais cette fois-ci la puissance est de 267 chevaux et il est couplé à une boîte automatique à neuf rapports. L’autonomie en mode électrique exclusivement, est de 51 km.

En plus de devoir débourser une somme additionnelle pour le modèle Hybride rechargeable, on doit déplorer la perte des sièges Stow n Go aux places centrales en raison de la présence de la batterie sous le plancher. En outre, la traction intégrale est disponible sur la version thermique, mais pas sur la version hybride.

Le confort au foyer

Chrysler possède une expérience incomparable en ce qui concerne le développement d’un habitacle à la fois confortable, convivial et excessivement pratique. Il est vrai que notre version ne possède plus les sièges escamotables, et si jamais on veut enlever les sièges médians, cela prend de la force est un espace de rangement sécuritaire.

La position de conduite est bonne, et on domine toujours la route, c’est ce qui a toujours été apprécié des conducteurs au fil des années. Cette fois, pas de levier de commande de vitesse, mais un bouton circulaire qui nous permet de passer les réglages de la transmission. En plus, la plupart des commandes sont faciles d’accès et le module central est très spacieux et permet d’accommoder beaucoup de choses. Il faut également souligner la présence de nombreux points d’accès USB un peu partout dans la cabine et notre modèle était équipé d’écrans vidéos placés sur les dossiers des sièges avant. À l’usage, le système d’info divertissement vidéo aux places arrière est quelque peu problématique, mais une fois qu’on a réussi à élucider tous les mystères du système, cela s’avère un élément de plus.

Conducteur familial

Si pour vous, votre véhicule doit posséder une direction très précise, une tenue de route pointue et des performances relevées, oubliez tout de go la Pacifica, qu’elle soit hybride ou thermique seulement. Cela ne signifie pas qu’il faut l’éliminer pour autant. En fait, si vous conduisez de façon « normale », un certain manque de précision de la direction, un comportement relativement balourd dans les virages, il n’y a rien à redire. Mieux encore, la présence d’une batterie sous le plancher au centre du véhicule
contribue à améliorer la tenue en virage. Bref, c’est un véhicule familial que l’on doit conduire de la sorte.

Quant aux économies de carburant promises, allant jusqu’à une moyenne de 2,7 litres aux 100 km de cette version, disons que cela peut être obtenu dans des conditions très spécifiques et suite à une conduite très pointue ciblant l’économie de carburant. En fait, puisque mon essai s’est déroulé en période hivernale, je n’ai jamais pu dépasser une autonomie de 40 km en mode électrique. Le reste du temps, uniquement le moteur thermique était en fonction, et mon économie de carburant a été de 10,4 litres aux 100 km. Et puisque le constructeur annonce une consommation presque identique avec le moteur V6 thermique uniquement, il faut s’interroger quant à la pertinence du modèle hybride. Vous devrez analyser votre type de conduite. Je sais que certaines personnes ne jurent que par cette version, car ils ne font que de très courte distance à chaque fois qu’il utilise leur véhicule. Mais si vous
dépassez les limites d’autonomie, c’est un peu difficile de justifier cet achat. Si cela peut vous aider, le Pacifica Hybride bénéficie des rabais gouvernementaux à l’achat.

Une ombre au tableau

La fiabilité de ce modèle n’a jamais été très rassurante au cours des années. Et tout dernièrement, un rappel a été instauré suite à un problème récurrent, soit que le moteur coupe sans avertissement, ce qui peut causer de sérieux ennuis.

La marque italienne vient de présenter sa nouvelle reine de performances, la Revuelto. L’ Aventador trônait au sommet de la gamme, maintenant c’est cette bête de 1001 chevaux qui assure le titre.

Eh oui! Plus de 1001 chevaux sont extirpés de ce V12 hybride rechargeable, le premier au monde. Ce nouveau moteur de 6,5 litres est monté derrière les occupants et s’accompagne de 3 moteurs électriques. L’ensemble se complète par une boîte double embrayage à 8 rapports.

Les performances sont ahurissantes avec un 0-100 km/h en 2,7 secondes. Si le moteur thermique offre plus de 535 lb-pi de couple, les moteurs électriques en ajoutent plus de 332. La direction de Lamborghini indique une vitesse maximum de 350 km/h.

La tendance des modes de conduite est significative depuis quelques années. Bien des constructeurs en offre 3, 4 ou 5 au besoin. La Revuelto en propose 13 modes de conduite qui viendront s’adapter à votre humeur du moment. De la plus grande douceur sur la route à la pire des violences en piste.

Pour ce qui est de la personnalisation, le choix est loin de manquer. Vous pourrez opter pour une
des 400 couleurs au catalogue pour l’extérieur tandis que plus de 70 combinaisons sont proposées pour l’habitacle. Je vous fait grâce de tous les apports d’aide à la conduite qui y sont installés et des nombreuses technologies avancés dans sa réalisation.

Cette nouvelle Lamborghini devrait se pointer en cours d’année chez les représentants de la
marque.

Le premier véhicule tout électrique de Rolls-Royce est de plus en plus prêt de la production. Quelques 1,2 millions de km ont été franchis jusqu’à présent et ce dans toutes les conditions. Afin de compléter le développement, les ingénieurs se sont diriger vers l’Afrique du Sud, plus précisément du côté des Augrabies dans le Cap Nord et Franschhoek dans le Cap Occidental.

Après les froids extrêmes du cercle polaire et dans le sud de la France pour travailler sur le confort, c’est maintenant le temps d’effectuer des tests par temps très chauds. Les deux régions choisies offrent des températures très chaudes, humide d’un côté et sec de l’autre. À titre d’exemple,
plus de 1500 heures de travail est consacré au freinage régénératif.

Les spécifications finales ne sont pas connues mais quelques chiffres ont été dévoilés. Deux moteurs électriques, pour un rouage intégral, proposeront 577 chevaux en puissance et 664 lb-pi pour le couple. Elle devrait obtenir une autonomie de 420 km tandis que la recharge sur une borne rapide
pourrait offrir 80 % de la charge en moins de 30 minutes.

Son prix sera également à la hauteur de la réputation de la marque et devrait avoisiner les 400 000 $. Le constructeur avait déjà annoncé que tous les modèles de sa gamme seront électrifiés d’ici 2030.

Quelque part cette année, Porsche va dévoiler son Cayenne de 3^e génération revu et corrigé. Celui qui avait fait sursauter les puristes de la marque à son introduction au sein de la gamme en 2002, va bénéficier des plus importantes mises à niveau de l’histoire du constructeur.

La direction de Stuttgart veut redonner un nouveau souffle àson grand VUS. Les ingénieurs ont travaillé sur le groupe motopropulseur, le châssis, les équipements et la connectivité. Les stylistes ont quant à eux travailler sur le design du Cayenne. Le but de l’opération est simple, optimiser les performances, le confort et la consommation. Son allure a également besoin d’un petit rafraîchissement.

Ce nouveau Cayenne va bénéficier d’un nouveau châssis semi-actif, d’un tableau de bord transformé pour accueillir un affichage numérisé et des fonctions de connectivité plus efficaces. Remarquer les phares qui seront également beaucoup plus efficaces. Les responsables de cette évolution auront travaillé sur 4 continents et franchis plus de 4 millions de kilomètres.

Nous aurons l’occasion de vous présenter un essai complet de ce nouveau Porsche Cayenne bientôt.

C’est vraiment une année faste pour le sport automobile avec l’arrivée d’Audi en F1 pour 2026, GM en Championnat du monde d’endurance et la possibilité de voir une 11^e équipe avec l’ouverture des candidatures par la FIA.

Mais pour compléter le tableau, voilà que Ford annonce son retour comme motoriste pour 2026. L’entente est signé entre Ford et les écuries Red Bull et Alpha Tauri pour les années 2026 jusqu’à 2030. Après une absence de plus de 20 ans, le constructeur américain effectuera un retour remarqué dans
une discipline qu’elle a dominé dans les années 60 et 70.

« C’est le début d’un nouveau chapitre passionnant de l’histoire de Ford en compétition automobile, qui a commencé lorsque mon arrière-grand-père a aidé à lancer notre entreprise. Ford revient au sommet de cette discipline, amenant sa longue tradition d’innovation, de durabilité et d’électrification dans l’une des vitrines les plus exposées au monde » a déclaré Bill Ford

Pour les plus jeunes, il faut se souvenir des écuries Jaguar et Stewart. Cette annonce arrive en même temps que le dévoilement de la Red Bull RB19 2023, présentation qui s’est effectué du côté de New York. Devant une popularité toujours grandissante de la Formule 1 auprès des amateurs de sport automobile et surtout la présence plus importante de la discipline reine aux États-Unis, la décision de Ford n’est pas une surprise.

« La nouvelle d’aujourd’hui est que Ford sera en F1 en 2026. C’est formidable pour la discipline et nous sommes ravis de les voir rejoindre les autres constructeurs automobiles. Ford est une marque mondiale avec un héritage incroyable dans le domaine de la course et de l’automobile, et notre plateforme offre une valeur énorme avec plus d’un demi-milliard de fans dans le monde. Notre engagement à atteindre la neutralité carbone d’ici 2030 et à introduire des carburants durables en F1 à partir de 2026 est également un facteur important dans la décision de Ford  » déclarait Stefano Domenicali, le PDG de la F1

Voilà une nouvelle qui devrait stimuler d’autres constructeurs à joindre la F1 dans le futur. En terminant, il ne faut pas oublier l’équipe Andretti qui devrait faire son entrée comme 11^eéquipe sous les couleurs d’un concurrent de Ford, GM.

Le concessionnaire Genesis de Laval sous l’égide du groupe Albi a présenté le nouveau Genesis GV70 électrique lors d’une soirée spéciale. La haute direction de Genesis Canada était sur place. D’entrée, il faut souligner que le GV70 électrifié conserve la même silhouette et le même habitacle que la
version à essence.

Cathy Laroche, vice-présidente, communications, marketing et médias ALBI le Géant, Greg Holmes, directeur des opérations régionale ZE Genesis Motors Canada, Denis Leclerc, président ALBI le Géant, Eric Marshall, directeur Genesis Motors Canada, Louise Villeneuve, vice-présidente ALBI le Géant et Jocelyn Brière, vice-président ventes ALBI le Géant.

Dans la foulée des produits de la marque, son style est distinctif avec sa grande grille unique entourée de quatre bandes DEL qui font état de phares. Même dessin pour les feux arrière. L’ensemble offre un coup d’œil épuré et d’une grande élégance. Même constat pour l’habitacle qui s’enveloppe de matériaux de qualité dans un assemblage impeccable.

Le GV70 électrifié est équipé de deux moteurs électriques pour une puissance de 429 chevaux et plus de 446 lb-pi de couple. Son ensemble batterie de 77,4 kWh permet au GV 70 d’offrir une autonomie de 383 km et des accélérations surprenantes. Les 100 km/h sont atteints en moins de 4,2 secondes.

Pour ce qui est du prix, l’estimation est d’environ 85 000$. Nous aurons l’occasion de vous offrir plus de détails lors d’un essai complet dès son arrivée sur le marché ce printemps.

Le constructeur japonais est de moins en moins actif dans le segment des camions. Les NV ne sont plus offerts tout comme le Titan de notre côté de la frontière. Aux États-Unis, le Titan et le Frontier sont les seuls camions au catalogue. Mais le Titan peine à se tailler une place aux côtés des principaux joueurs de la catégorie comme Ford, GM et Stellantis.

Le Frontier fait cavalier seul depuis sa dernière transformation. Malgré cela, le média Automotive News affirme que Nissan envisage sérieusement l’introduction d’une petite camionnette électrique pour le marché américain. Le président du conseil responsable des concessionnaires Nissan a déclaré que ces concessionnaires souhaitent avoir une camionnette de petit format tout électrique.

Il semble de toute façon, que la demande pour ce format de camionnette est en hausse contrairement aux ventes du Titan qui sont en chute libre. De plus, Nissan pourrait profiter de cette entrée dans un créneau qui n’existe pas actuellement.

Évidemment, ce nouveau venu ne ressemblera pas au concept Surf-Out que nous vous présentons ici. Voilà une autre belle histoire à suivre.

Cette année marque l’anniversaire de la célèbre Chevrolet Corvette. Eh oui, elle a 70 ans! La première sportive américaine a été dévoilée au Motorama de New York en 1953. Cette nouvelle Corvette millésimée 2024 porte le nom de E-Ray. Un moteur électrique accompagne le V8 de 6,2 L LT2. Le moteur électrique est monté à l’essieu avant ce qui en fait, pour la première fois de
son histoire, une sportive à rouage intégral. La puissance combinée s’élève à 655 chevaux. Cette Corvette E-Ray peut atteindre les 100 km/h en moins de 2,3 secondes.

Cette nouvelle Corvette pourra rouler en mode électrique seulement jusqu’à une vitesse de 72 km/h. Les freins céramiques sont en équipement de série tout comme la fameuse et efficace suspension Magnetic Ride. Elle est également un peu plus basse et plus large que la Stingray.

Vous aurez droit à 6 modes de conduite, Tour, Sport, Track, Weather, My Mode et Z-Mode. En plus de son allure plus musclée, elle s’équipe de roues de 20 pouces ou 21 pouces au dessin exclusif. Plus de 14 couleurs seront proposées tout comme un ensemble de bandes en bleu électrique.

Cette nouvelle Corvette E-Ray 2024 sera mise en vente cette année pour la modique somme de 128 798 $ dans sa version coupée. Tout de même abordable pour une sportive de ce niveau.