Auteur : Derrière Le Volant

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James Bond en berline électrique?

Le célèbre espion britannique James Bond (dont je suis un fan fini) a roulé dans des voitures dignes de sa réputation au fil des décennies. L’Aston Martin DB5 fut probablement la plus célèbre. À preuve, elle est revenue dans les derniers films de Bond.

De plus, il a démontré son talent de conducteur à bord d’une Sunbeam Tiger, d’une BMW Z3, d’une Série 7 et d’une Z8, d’une Toyota 2000 GT, d’une Mustang et même d’une AMC Hornet.

Mais depuis quelques années, James roule en Aston Martin. De la DBS au dernier concept, l’espion du MI6 nous a habitués à des coupés de haut niveau. Mais voilà que la tradition pourrait être brisée.

James Bond aurait une Aston Martin Rapide e tout électrique dans le prochain film de la trilogie. Les temps changent et l’on doit s’adapter.

Même lui ! Cette grande berline prendra la vedette sous peu et dans le film et sur le marché.

Êtes-vous déçus ?

 

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Pininfarina Battista : Plus vite qu’une Formule 1!

L’excellence de Pininfarina dans la conception et le savoir-faire de voitures exclusives prend une nouvelle expression avec Battista, un hypercar électrique lancé au Salon de l’automobile de Genève par Automobili Pininfarina, la nouvelle marque de voitures de luxe durables sous la gouverne de Mahindra & Mahindra Ltd.

A Genève, Pininfarina rappelle également le nouveau partenariat avec Karma Automotive annoncé lors du dernier salon de l’automobile de Detroit, en vue de sa première mondiale au prochain Shanghai Motor Show, où un nouveau véhicule électrique de luxe conçu par Pininfarina sera dévoilé.

« L’accord avec Karma représente une autre étape importante dans la stratégie de croissance de Pininfarina sur le marché nord-américain, à la suite de l’ouverture de notre nouveau centre de design à Los Angeles. Nous sommes heureux d’être en support à Karma avec notre expérience dans le design, dans la création de véhicules de luxe sur mesure et dans le style de vie de marques premium. Avec Karma, nous partageons la même passion pour la beauté, l’exclusivité et l’innovation, toujours au nom de la durabilité environnementale. On a maintenant hâte de montrer au monde le premier fruit de notre effort commun », explique le PDG Silvio Pietro Angori.

Pininfarina fait une autre annonce importante au Salon de l’automobile de Genève. C’est le nouveau partenariat avec WayRay, une entreprise suisse qui développe des écrans holographiques en réalité augmentée pour voitures de tourisme. Les deux marques collaboreront sur de futurs projets, tant dans le secteur automobile que dans le secteur des autres moyens de transport, afin de promouvoir l’intégration des écrans de réalité augmentée développés par WayRay dans le design d’intérieur, en tirant parti de l’expertise de Pininfarina.

Nommé en l’honneur de Battista «Pinin» Farina, fondateur de la Carrozzeria Pinin Farina, qui a débuté en 1930, la Battista représente au mieux l’application de la capacité de Pininfarina à proposer des projets clé en main. La voiture a en fait été conçue dans le centre du style de Cambiano, à Turin, par l’équipe dirigée par Carlo Bonzanigo, et sera fabriquée à la main en nombre limité, toujours à l’atelier Pininfarina.

«C’est un rêve devenu réalité», a déclaré le président Paolo Pininfarina. Mon grand-père était certain qu’un jour, il y aurait une gamme de voitures entièrement signée Pininfarina. Ce hypercar aura des performances de classe mondiale, des innovations technologiques de pointe et naturellement un style unique et élégant. Je suis convaincu qu’il ne pourrait avoir d’autre nom que Battista. Aujourd’hui, son rêve devient réalité dans cette union extraordinaire entre notre passé glorieux et l’avenir de l’automobile.

Conçu pour être le premier hypercar de luxe tout électrique au monde, le corps en fibre de carbone de Battista repose sur des technologies et un design fonctionnels extrêmes. Avec une puissance et un couple respectifs de 1?900 ch et 2?300 Nm, la Battista a pour ambition d’atteindre une accélération de 0 à 100 km/h en moins de deux secondes, soit plus rapidement qu’une voiture de Formule 1, une vitesse maximale de 350 km/h et offrir une autonomie potentielle d’environ 450 km sans émission.

Les trois versions de Battista présentées à Genève (deux exemples sur le stand Automobili Pininfarina et un troisième modèle sur le stand Pininfarina) reflètent le potentiel de personnalisation des 150 voitures qui seront produites.

La Battista Grigio Luserna présente des détails en aluminium anodisé et des accents de Blu Iconica satiné sur son corps dramatique gris satiné. Avec son design de roue unique et solide et

son intérieur bicolore noir et beige, cette spécification présente une expression forte, bien définie et dynamique de Battista qui reste toujours élégante.

Le second Battista présente le pack de design Battista, Iconica d’Automobili Pininfarina. Cette voiture Blu Iconica représente la plus proche des trois voitures de la couleur traditionnelle de la marque Pininfarina avec une interprétation du bleu Pininfarina. Plus tonique que le bleu traditionnel de Pininfarina, reflétant l’innovation technologique qu’il comporte, les multiples couches de peinture en font un bleu profond qui représente l’ambition de fournir des performances électriques dans un emballage luxueux.

Esthétiquement, la voiture est plus spectaculaire avec des modifications du capot et des rétroviseurs qui lient visuellement le capot au pare-brise par le biais de lames en fibre de carbone. L’aile avant située au-dessus de la bande de lumière à DEL avant est divisée en deux visuellement, reflétant le graphique de l’aile arrière de la voiture et unifiant le design général.

Luca Borgogno, directeur de la conception chez Automobili Pininfarina, explique : ?Nous voulions que Battista soit très italienne, avec des courbes sensuelles pour donner une impression des voitures des années 60 et du moment où la conception sensuelle des voitures était à l’avant-plan et quand Pininfarina est vraiment devenue emblématique. La forme de la carrosserie parle cette langue italienne, les détails développés en collaboration avec le propriétaire de chaque voiture en ajoutant les accents et la personnalité.?

Les compétences exprimées à travers Battista ? conception, ingénierie, production de séries limitées ? ne représentent qu’une partie de la gamme de services que Pininfarina peut offrir à ses clients.

Automobili Pininfarina confirme le partenariat entre Battista hypercar et Pirelli

La marque de pneus italienne Pirelli a confirmé son partenariat avec Automobili Pininfarina pour la création des hypercars Battista présentés à Genève. Chacun des nouveaux chefs-d’?uvre purement électriques Automobili Pininfarina sera présenté avec un pneu sur mesure Pirelli P Zero monté sur une jante de 21 pouces dans un nouveau design exclusif spécifique aux voitures Battista. Automobili Pininfarina et Pirelli sont maintenant engagés dans des discussions pour développer un programme de pneus pour la plus puissante voiture de sport italienne jamais construite.

À Genève, Pininfarina envisage l’avenir de l’industrie automobile grâce à son expertise multidisciplinaire dans les services. La fertilisation croisée, principalement issue du design industriel et de l’architecture, permet à Pininfarina d’offrir à ses clients une nouvelle proposition de valeur plus large, sous la forme de solutions intégrées et de projets clés en main dans tous les secteurs, des voitures aux télécommunications, de l’immobilier à la navigation de plaisance, de la machinerie industrielle à la vente au détail.

La définition de l’identité de la marque, la combinaison de la conception physique et numérique (UX), les capacités techniques clés en main, la construction de prototypes industriels, de pièces uniques et de séries limitées, jusqu’au support marketing et à la vente au détail, sont incluses dans cette approche holistique de Pininfarina.

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Le nouveau VikingContact 7, un pneu d’hiver encore plus performant

L’hiver n’a pas laissé tomber son dernier flocon et le mois de mars nous réserve toujours des surprises même si on sait que le printemps et le temps plus doux s’en viennent. Les pneus d’hiver sont donc encore très nécessaires.

Cette année, Continental à encore une fois présenté son événement hivernal, le «Winter Fest» pour faire le dévoilement d’un tout nouveau pneu d’hiver, le VikingContact7 qui est une évolution du Winter Contact SI.

Le tout s’est déroulé au Complexe ICAR à Mirabel par une journée d’hiver atypique, mais de plus en plus fréquente à cause des redoux hivernaux. En fait, le soir avant l’événement il a fait très froid, ce qui nous assurait des bonnes conditions de neige et de glace tôt le lendemain. Mais au fur et à mesure que la journée avançait, le mercure en hausse à drastiquement modifié les surfaces où avaient lieu nos essais aux points où, à la fin de l’après-midi, nous roulions sur un mélange de gadoue, de neige et de glace avec plusieurs imperfections de surface. On peut dire que ça ressemblait beaucoup à nos routes ici au Québec et donc, les essais étaient tout à fait réalistes.

Cette température clémente a causé des inquiétudes auprès des représentants de Continental, mais la personne la plus inquiète était l’ingénieur qui a développé, en grande partie, ce pneu, le Dr.-Ing. TimurYilkiran, fraîchement arrivé d’Allemagne pour l’occasion. Le développement de ces pneus à normalement lieu dans des conditions constantes puisqu’on veut être sûr de bien mesurer la capacité du pneu à bien réagir dans ces conditions.

Dans la présentation matinale, avant d’aller en piste, le Dr. Yilkiran et le directeur du marketing pour le Canada, M. Okan Sen nous ont parlé de l’approche conceptuelle ainsi que tous les éléments qui font partie de ce pneu d’hiver. Via une présentation audiovisuelle, ils nous ont fait comprendre toute l’étendue des innovations et améliorations de ce nouveau modèle de pneu.

TROIS FACTEURS INNOVANTS

Des innovations comme l’introduction d’huile de canola et de la silice dans le mélange du caoutchouc pour améliorer la plasticité ainsi que l’adhérence du pneu. Suite à des tests en laboratoire, on a remarqué que ces derniers matériaux s’amalgament très bien avec le caoutchouc et donc rendent possible une meilleure adhérence à de plus basses températures.

Ayant le Dr. Yilkiran sur les lieux, on en a profité pour poser plusieurs questions, dont celle de la limite au-delà de laquelle le caoutchouc commence à perdre son efficacité?; «?au-delà de moins 40 degrés Celsius, le caoutchouc devient moins efficace?», nous a confié le Dr. Yilkiran. Heureusement ce ne sont pas des températures qu’on a souvent, du moins, pas dans le sud du Québec.

Cette innovation ne fait partie que d’un des trois facteurs qui font en sorte que ce pneu a pu faire des avancées au point de vue technologique?; les deux autres facteurs étant la conception du motif intelligent et le concept d’adhérence évolué.

Le motif intelligent fait référence un réseau de rainures qui offrent une résistance à l’aquaplanage et au dérapage dans la gadoue tandis que le concept d’adhérence évolué implique l’utilisation d’un grand nombre de lamelles 3D qui accroissent la traction et le freinage dans la neige.

Des essais du genre ne peuvent être pris au sérieux que si on fait des comparaisons avec des pneus de fabricants compétiteurs et de même gamme. Durant toute la journée, nous avons pu mesurer les pneus VikingContact 7 contre des pneus de marqueBridgestone ainsi que de Michelin entre autres.

Parmi les parcours on retrouvait des slaloms, changement de direction et freinage brusques exécutés avec des Toyota Corolla (vs pneus Michelin X-Ice), parcours ovale de style «skidpad» avec camionnette GMC Sierra Z71 4×4 (vs BridgestoneBlizzak WS80).

Aussi on a pu comparer le VikingContact 7 monté sur des BMW X1 (vs BridgestoneBlizzak WS80) sur un autre parcours de slalom et freinage brusque et des tours de pistes en Cadillac XTS et Dodge Durango. Mais le plus impressionnant parcours demeure celui «hors route» avec les Jeep WranglerSahara qui grimpent et descendent des buttes très abruptes et se promènent sur une piste ondulante avec plusieurs imperfections. Ici, le niveau de traction du VikingContact 7 était impeccable. Même arrêté sur certaines côtes, ce nouveau pneu en a épaté plusieurs pour son niveau d’efficacité. Tous les véhicules étaient identiques et ce sont donc les pneus qui faisaient la différence.

Personnellement l’endroit où la différence était la plus marquée c’est sur les parcours slalom où les changements de direction étaient presque instantanés. Avec le VikingContact 7. Un pneu de ce genre donne beaucoup de confiance et d’assurance au conducteur surtout en situation où il faut éviter des obstacles par urgence.

Nous avons fini la journée en faisant quelques tours à bord des Subaru WRX en robe de rallye avec des pilotes professionnels qui nous ont «coachés» dans les conditions moins qu’idéales puisque la piste s’était grandement détériorée à cause de la météo douce.

L’esprit de compétition est omniprésent chez Continental puisqu’on s’est même mesuré en circuit virtuel via des simulateurs D-Box sur la piste de Watkins Glen où Continental a longtemps été commanditaire.

Le VikingConact7 de Continental si situe dans le haut de la gamme des manufacturiers avec des compétiteurs très réputés. Voici donc quelques tableaux qui montrent le classement des meilleurs pneus d’hiver tel que testé par des organismes indépendants européens.

Le VikingContact 7 sera disponible à partir de l’automne 2019 pour voitures allant des sous-compactes aux pleines grandeurs, multisegment (Crossover), et camionnettes/VUS.

La Continental Corporation est une multinationale d’origine allemande qui ?uvre dans plusieurs secteurs et retrace ses origines à 1871. La division des pneus fait partie du «rubber group» qui ne représente qu’environ 20 % des effectifs de Continental, tandis l’autre groupe, le «?automotive group?» consiste de cinq divisions : châssis et sécurité, groupe motopropulseur, intérieur, pneus et Contitech.

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Hispano-Suiza renait à Genève

Fondée en 1904, la petite société espagnole fabriquait des voitures uniques en soi. Depuis quelque temps, deux firmes se font la lutte pour la faire renaître de ses cendres. L’une est basée en Suisse, Hispano Suiza Automobile manufaktur, et a présenté il y a peu de temps la Maguari. Cette voiture est basée sur une plateforme d’Audi R8 et est offerte avec le V10 de 5,2 litres accompagnés de deux turbos pour un 0-100 en 2,8 secondes.

L’autre compagnie porte le nom de Hispano Suiza Cars et se trouve en Espagne. Cette dernière présente à Genève la Carmen, une exotique tout électrique assemblée sur un châssis entièrement réalisé en fibre de carbone. Voilà un autre cas qui frise les 2 millions de dollars canadiens. L’on parle ici de deux moteurs électriques pour un 0-100 en moins de 3 secondes. La vitesse de pointe s’annonce à 250 km/h.

Qui pourra porter le nom officiel d’Hispano-Suiza ?

On le saura bientôt, car les tribunaux se sont emparés de l’affaire. La société suisse a débuté ses opérations en 2010.

Celle basée en Espagne est issue de l’arrière-petit-fils du fondateur original.

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Ferrari F8 Tributo, un dévoilement très attendu

Même si la Ferrari F8 Tributo a été dévoilée au grand public avant le salon de Genève, il n’en demeure pas moins que ce modèle a fait partie des dévoilements « très attendus » de l’édition 2019 de ce salon.

La Ferrari F8 Tributo est la nouvelle « berlinetta » biplace avec moteur centre-arrière, expression maximale de ce type de voiture jamais faite par la marque au cheval cabré.

Elle se positionne comme un nouveau point de référence du marché pour la performance, le plaisir et la facilité de conduite. En fait, cela rend accessible à tous les pilotes les performances du meilleur 8 cylindres au monde, grâce à une dynamique de conduite extraordinaire et un confort rehaussé à son bord.

C’est une voiture aux caractéristiques uniques et, comme son nom l’indique, elle rend hommage au moteur Ferrari V8 le plus puissant jamais réalisé.

Avec ses 720 chevaux et sa puissance spécifique record de 185 ch/L, il s’agit du V8 le plus performant de tous les temps pour une Ferrari qui n’est pas en série limitée, et fixe de nouvelles limites non seulement pour les moteurs turbo, mais pour tous les moteurs en absolu.

Il est basé sur la même unité déjà utilisée pour d’autres modèles de la gamme avec différents niveaux de puissance et qui a été récompensée pour 3 années consécutives (2016, 2017 et 2018) en tant que «Moteur international de l’année», en plus d’être reconnu comme le meilleur moteur des 20 dernières années.

La F8 Tributo délivre les 720 chevaux en un instant, sans le moindre délai du turbocompresseur, et enrichit l’expérience d’un son unique et engageant. Le très haut niveau de performance atteint par la voiture est possible grâce à une maniabilité sans précédent ainsi qu’a des solutions aérodynamiques qui sont intégrées dans le corps de la voiture et qui dérivent de l’expérience acquise dans les compétitions.

Conçu par le Centro Stile Ferrari, la F8 Tributo représente le pont vers un nouveau langage conceptuel, toujours fortement orienté vers la sportivité et fonctionnel via la performance aérodynamique.

La nouvelle lunette arrière a été redessinée pour célébrer le moteur Ferrari V8. Le Lexan, un matériau ultra léger, présente un nouveau style avec 3 fentes au milieu, qui met en évidence le compartiment moteur, revisitant de manière moderne l’élément de design le plus distinctif de la plus emblématique Ferrari V8 : la F40. Les ouvertures dans la lunette arrière sont également utiles pour améliorer l’évacuation de l’air chaud dans la zone moteur, dans le style typique de Ferrari qui voit la conception diriger vers la fonctionnalité.

Même l’arrière est fortement influencé par le nouveau style de la voiture. En plus de la lunette arrière, le déflecteur a été complètement repensé. Augmentation de la taille, il enveloppe les feux arrière, abaissant optiquement le centre de gravité de la voiture et permettant aussi le retour à la double lumière classique logé dans la couleur de la carrosserie rappelant celle de la première berlinetta à 8 cylindres, la 308 GTB.

La F8 Tributo remplace la 488 GTB, améliorant de manière significative les principaux paramètres : en plus du moteur, capable de fournir 50 ch de plus, la nouvelle Ferrari est plus légère de 40 kg, bénéficie d’une augmentation de l’efficacité aérodynamique (+ 10 %) et de la nouvelle version du glissement latéral de contrôle d’angle, maintenant à la version 6.1.

Bien que ce ne soit pas confirmé, le prix de base devrait se situer autour de 250 000 $ US.

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Le Jeep Renegade et Compass rechargeables

Chez FCA, la marque Jeep est de plus en plus populaire en Europe. À preuve, la direction a profité du salon automobile de Genève pour présenter un Jeep Renegade et un Jeep Compass hybride rechargeable. Devant des normes de plus en plus sévères, le constructeur doit mettre le pied dans l’hybridation et l’électrification de leurs véhicules.

Cette motorisation PHEV se compose d’un moteur quatre cylindres turbo de 1,3 litre et d’un moteur électrique monté à l’essieu arrière. Pour compléter cet amalgame, les ingénieurs de Jeep ont concocté une transmission intégrale électrique appelée eAWD. Comme l’homologation de ces motorisations n’est pas complétée, les chiffres ne sont pas dévoilés. La rumeur parle de 190 à 240 chevaux pour le Renegade et de 240 pour le Compass. Mais rien sur l’autonomie et le temps de recharge.

Ce qui est certain cependant, c’est que ces deux Jeep écologiques ne sont pas prévus pour notre marché. Enfin pour l’instant !

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Le Jeep Renegade et Compass rechargeables

Chez FCA, la marque Jeep est de plus en plus populaire en Europe. À preuve, la direction a profité du salon automobile de Genève pour présenter un Jeep Renegade et un Jeep Compass hybride rechargeable. Devant des normes de plus en plus sévères, le constructeur doit mettre le pied dans l’hybridation et l’électrification de leurs véhicules.

Cette motorisation PHEV se compose d’un moteur quatre cylindres turbo de 1,3 litre et d’un moteur électrique monté à l’essieu arrière. Pour compléter cet amalgame, les ingénieurs de Jeep ont concocté une transmission intégrale électrique appelée eAWD. Comme l’homologation de ces motorisations n’est pas complétée, les chiffres ne sont pas dévoilés. La rumeur parle de 190 à 240 chevaux pour le Renegade et de 240 pour le Compass. Mais rien sur l’autonomie et le temps de recharge.

Ce qui est certain cependant, c’est que ces deux Jeep écologiques ne sont pas prévus pour notre marché. Enfin pour l’instant !

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Une nouvelle Hyundai Sonata pour 2020

Tous les constructeurs actuels tentent de relancer le marché des berlines. C’est connu, les berlines de tous les formats sont en perte de vitesse chaque année au chapitre des ventes.

Chez Hyundai, c’est maintenant au tour de revoir sa grande berline Sonata.

Pour cette huitième génération, la Sonata se pointe avec une silhouette qui ressemble à une berline à hayon comme la Audi A7 par exemple. Pourtant, elle dispose d’un coffre traditionnel.

Dans le détail, elle pige certaines parties de son design chez plusieurs concurrents. Suffit de penser à la forme de ses feux arrière qui rappelle celle des Honda Civic. C’est le même constat pour son habitacle qui se porte une certaine ressemblance avec les tableaux de bord de BMW.

Elle est également plus imposante avec une augmentation de son empattement, de sa hauteur et de sa largeur. Pas de détails sur les groupes motopropulseurs qui seront proposés. La voiture sera officiellement dévoilée au prochain salon de New York dans quelques semaines.

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Une Passat modernisée

Le constructeur allemand ne rate jamais le rendez-vous helvétique. Cette année, on retrouve en grande première mondiale une Passat renouvelée qui sera commercialisée sur le continent européen dans des versions différentes des nôtres, mais qui demeure quand même l’un des fleurons de ce constructeur. La version nord-américaine devrait être toujours construite en Amérique à l’usine de Chattanooga et adaptée à notre marché.

La famille Passat dévoilée à Genève comprend trois modèles : Berline, Variant et Alltrack.

Les systèmes d’assistance à la conduite et une aide supérieure de conduite autonome font partie des principales innovations. Si la silhouette demeure classique et sobre, la Passat est nettement plus sophistiquée au chapitre technologique. Il faut également souligner l’arrivée de la version GTE hybride rechargeable qui sera offerte en Berline et Variant, avec 214 chevaux, une batterie 31 % plus grande (13.0 kWh). Ce qui permettra de compter sur une autonomie en mode 100 % électrique de 55 km.

Clin d’oeil au passé

Au cours des années 60, l’un des modèles modifiés les plus populaires en Amérique du Nord était l’incontournable « dune buggy » dérivé de la coccinelle et qui permettait d’aller s’éclater dans les d’une des régions sablonneuses de la Californie et de ces nombreuses plages. Au fil des années, c’est devenu un véhicule de légende qui a été mis en vedette dans de nombreux films hollywoodiens entre autres.

Volkswagen aime bien faire revivre des versions modernisées de ces véhicules de légende.

Il a entre autres proposé plusieurs variantes de son « Minibus ». Et cette fois, le constructeur de Wolfsburg présente la 1re version entièrement électrique d’un nouveau modèle reposant sur les buggys de plage américains et sur la technologie d’entraînement électrique modulaire (MEB). VW prouve que la nouvelle plateforme est aussi variable que la coccinelle.

C’est un autre signe de la ferme intention de ce constructeur de s’impliquer dans la production en grande série de véhicules électriques.

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Bugatti se dévoile au Geneva International Motor Show

 

 

Elle s’est présentée après quelques jours de mystère complet. Le grand patron de Bugatti avait également déclaré que les stylistes s’étaient inspirés de la Bugatti Atlantic des années 30.

Eh bien! la voilà. Cette Bugatti appelée ¨La voiture noire¨ est évidemment basée sur la Chiron. Mais elle est unique au monde. La société n’en a fabriqué qu’une seule.

Elle s’équipe du fameux et superbe W16 de 8,0 litres accompagnés de quatre turbo et offrant plus de 1500 chevaux en puissance. Elle peut atteindre les 100 km/h en moins de 2,4 secondes. Sa vitesse de pointe est établie à 420 km/h. Remarquez la fine ligne qui traverse la surface de sa carrosserie de la pointe de la grille jusqu’à la base de son aileron arrière.Même si elle reprend les allures de la Chiron et de la Divo, elle profite tout de même d’un châssis légèrement plus long et de galbes de roues plus imposants. Sa partie arrière se distingue par ses feux élancés sur une fine bande qui la traverse sur sa largeur. La rumeur veut que ce soit Ferdinand Piëch qui en soit l’heureux propriétaire. D’autres parlent de Wolfgang Porsche ! Ce qui est certain c’est que la voiture est vendue et que son prix est aux alentours de 25 millions de dollars canadiens. À vous de voir !