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Les versions ST et Hybrid du Ford Explorer dévoilées

Le Ford Explorer est non seulement le VUS le plus populaire de sa catégorie, mais c’est également le véhicule le plus vendu chez Ford.

L’arrivée d’une nouvelle génération est donc un événement important et on a pris les moyens pour s’assurer que ce dévoilement soit un succès.

 

La présentation s’est déroulée en trois événements. Dans un premier cas, la version Police Interceptor a été dévoilée au grand public en premier.

Puis quelques jours plus tard, on a assisté au lancement de ce modèle dans sa version la plus populaire.

L’événement a été de grande ampleur et s’est déroulé au terrain de football Ford Field de Détroit, siège du club de football des Lions de la NFL.

 

Les personnes présentes ont donc été en mesure de découvrir un véhicule entièrement transformé, bénéficiant non seulement d’une nouvelle plate-forme, mais de moteurs plus écologiques, d’une silhouette plus moderne et plus agressive.

Comme on peut le constater sur les photos, le toit s’incline plus fortement vers l’arrière, la grille de calandre avant est plus agressive tandis que la section arrière est unique en son genre.

 

On a profité du Salon international nord-américain de l’auto de Détroit pour dévoiler au grand public deux autres versions visant à compléter la gamme de l’Explorer. En effet, le ST, le plus sportif du groupe, ainsi que l’Explorer Hybrid ont été présentés aux journalistes présents à cet événement. Ce duo se joint donc aux autres modèles Explorer soit le modèle de base, XLT, Limited et Platinum.

 

ST : un VUS sportif

Cette version nous propose le caractère sportif d’un utilitaire. En effet, il est propulsé par un moteur V6 3,0 litres EcoBoost d’une puissance de 400 chevaux et 415 livres pieds de couple. Ce qui permet d’obtenir une vitesse de pointe de 230 km/h, une caractéristique bien superflue pour cette catégorie, mais qui semble avoir beaucoup d’influence auprès des acheteurs potentiels.

 

Chez Ford, on spécifie que cette version plus musclée a été développée à la base pour répondre à cette vocation. Pour compléter cette fiche technique, ce moteur est associé à une boîte automatique à 10 rapports qui transmet la puissance aux quatre roues motrices. Toujours pour intéresser l’acheteur de véhicules plus sportifs, il est possible de commander les versions « ST Street Pack » et « ST Track Pack » qui sont dotés de roues en alliage de 21 pouces, de disques ventilés plus grands, d’étriers de couleur rouge avec des pistons en acier inoxydable et des plaquettes de frein plus grandes. Tous ces éléments assurent une conduite sportive plus sécuritaire. Bien entendu, cette apparence permet de démarquer facilement le modèle ST avec sa grille de calandre noire, des supports de porte-bagage ainsi qu’une plaque de protection sous le véhicule.

 

Pour terminer le tout, le cadran indicateur est un écran de 12,3 pouces tandis que le volant est plat à sa partie inférieure comme sur la majorité des véhicules de sport. Celui-ci est également chauffant tandis qu’au centre du moyeu on retrouve l’écusson ST.

On y retrouve également toutes les caractéristiques de série des autres versions de l’Explorer.

La version écologique

Avec l’Explorer Hybrid, Ford tient sa promesse de commercialiser des véhicules partiellement électrifiés ou complètement électrifiés selon les besoins et les modèles. Ce tout nouveau modèle est propulsé par un moteur hybride V6 de 3,3 litres qui produit une puissance combinée de 318 chevaux. Et selon les estimations, l’autonomie anticipée avec un seul plein est de 805 km. Par ailleurs, ce moteur est associé à une transmission dix vitesses spécialement conçu pour être associée à une propulsion hybride. Le moteur électrique est alimenté par des batteries Lithium ion spécialement conçues et refroidies par liquide. Sa position sous le châssis à la hauteur du second siège favorise un centre de gravité plus bas et plus d’espace à l’intérieur.

La version Limited de l’Hybrid est équipée de l’atténuation active du bruit, du système Ford CoPillot360 Assist, de sièges en cuir, de sièges arrière chauffants, un système B&O doté de 14 haut-parleurs, une plaque de chargement du téléphone et plusieurs autres éléments visant à rehausser le confort.

 

 

Cette version ne pourra être accusée de favoriser l’économie de carburant au détriment du confort. On s’est fait un point d’honneur d’offrir les deux.

 

 

Suite à la présentation de ces deux versions, la gamme Explorer comprend donc cinq versions : base, XLT, Limited, Platinum et Hybrid.

Il ne faudrait pas se surprendre si l’Explorer continue sa domination chez les VUS intermédiaires.

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Subaru WRX STi S209 : une pièce de collection

Voilà une WRX STi qui deviendra une pièce de collection rapidement. Depuis quelques années, le constructeur japonais Subaru propose au Japon seulement des éditions limitées de sa populaire berline sportive. Les acheteurs ont eu droit aux versions S201 à S208.

 

 

Lorsque cette WRX a été lancée en 2004, elle disposait de 300 chevaux. L’an dernier on en comptait 310. Aujourd’hui, cette déclinaison exclusive porte le moteur quatre cylindres à plat de 2,5 litres pour plus de 341 chevaux. Évidemment, la caisse est allégée de toute part.

 

Elle sera proposée sous deux couleurs soit le fameux bleu électrique ou en blanc immaculé. Des jantes BBS or de 19 pouces viennent garnir le catalogue. Sur le plan mécanique, un nouveau turbo HKS s’ajoute comme de nouveaux injecteurs plus performants et une ligne d’échappement spéciale.

Seulement 200 voitures seront disponibles chez nos voisins du sud tandis que chez nous, l’on devra se contenter d’en rêver. Cette édition S209 ne sera pas vendue ici.

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Toyota Supra 2020, finalement!

Elle avait disparu du décor depuis 21 ans. Cette cinquième génération a alimenté la machine à rumeur depuis déjà quelques années. De plus, la grande majorité des médias sont allés à la chasse aux images de cette sportive qui a marqué son époque.

Issue d’une collaboration avec le constructeur allemand BMW, cette Supra millésimée partage sa plateforme avec la nouvelle Z4. Au chapitre du design, elle propose un style qui est loin de faire l’unanimité. Certains puristes trouvent même que la présentation intérieure ressemble trop à celle de la Z4.

 

 

Si un moteur quatre cylindres sera proposé au Japon, seul un moteur six cylindres turbocompressés sera offert chez nous. Il disposera de 335 chevaux en puissance et de 365 lb-pi de couple. Ce coupé deux places profitera également d’une boîte automatique huit rapports double embrayage. Là où le bât blesse, c’est qu’il faut dire adieu à la boîte manuelle. Autre irritant pour les puristes du modèle !

 

 

Un peu comme chez Ford avec sa GT, cette Supra GR est développée par Toyota GAZOO Racing. Nous pourrons vous faire part de nos impressions lors de notre essai complet.

 

 

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Finale peu glorieuse au Salon de l’auto de Détroit

Détroit, Michigan.

Alors qu’on devait fêter en grandes pompes le trentième anniversaire du North American International Auto Show qui se tient au Cobo Hall de Detroit tous les mois de janvier depuis 1989, c’est plutôt sa fin qu’on aura souligné.

En fait, ce n’est pas vraiment la fin de ce salon mais plutôt son déplacement dans le calendrier alors que sa version 2020 se déroulera en juin à un moment de l’année où la ville est en pleine effervescence.

Toutefois, il faudra encore composer avec la tiédeur de plusieurs constructeurs d’automobiles qui ne semblent plus entichés de participer à de tels évènements.

Certains d’entre eux dont les Allemands BMW, Mercedes-Benz, Audi et Porsche ont aussi boudé d’autres salons européens alors qu’à Detroit, en plus de ceux-ci, on notait aussi l’absence de Mini, Mazda, Jaguar, Land Rover, Bentley, Ferrari et plusieurs autres.

Ce qui a miné le spectacle avec beaucoup moins de présentations et de dévoilements.

Malgré tout, il y a eu quelques attractions intéressantes au programme alors que Cadillac y a finalement dévoilé son grand VUM (véhicule utilitaire multisegment) XT6 la veille de la journée de presse. Cette voiture à trois rangées de siège est mue par le V6 « corporatif » de GM de 3,6 litres avec boîte automatique à neuf rapports et traction avant ou intégrale.

Le lendemain, Ford a ouvert le bal avec le lancement de ses nouveaux Explorer (dont la plateforme de base est destinée d’abord à la propulsion) disponibles en voiture de police Interceptor, en économique version hybride ou encore en sportive ST à moteur V6 biturbo de 3,0 litres de quelque 400 chevaux, Alors que l’on s’attendait (enfin) au dévoilement du VUS « rétro » Bronco, nous avons plutôt eu droit à l’arrivée par les airs (par hélicoptère virtuel) de la très puissante Mustang Shelby GT500 de plus de 700 chevaux.

Alors que l’on sentait l’absence des petites autos économiques, les journalistes sur place ont connu une part d’excitation avec le dévoilement des versions Heavy Duty des Ram 2500 et 3500 (ces derniers à roues arrière double) dont le design s’apparente à celui des tout derniers modèles 1500. Même que l’intérieur y est presque identique. Cependant, sous le capot, il y a des surprises. Alors que le moteur de base demeure le vénérable mais très fiable V8 Hemi à essence de 6,4 litres, le moteur optionnel y est toujours le six cylindres en ligne Cummins turbodiesel qui, désormais, développe quelque 1000 livres-pied de couple qui permet au Ram 3500 de tirer jusqu’à plus de 35 000 livres. Il y aura toujours la version 2500 Power Wagon au catalogue ainsi qu’une nouvelle version Black.

L’intérêt était toujours palpable lorsque Toyota a pris la relève permettant à soprésident Akio Toyoda de participer au dévoilement si longtemps annoncé du coupé sport Supra conçu avec l’aide de BMW. Plusieurs observateurs croient que c’est une erreur commerciale de Toyota mais l’avenir nous le dira, Au même stand, il y avait deux versions de course de l’auto dont celle de NASCAR dont l’arrière ne ressemble surtout pas à celui de la voiture de production.

Puis, ce fut un peu la débandade. Volkswagen a réussit à capter l’attention des gens sur place avec le dévoilement de sa nouvelle Passat tout en annonçant la construction prochaine d’une deuxième usine aux États-Unis (plus tard, VW a aussi annoncé son alliance avec Ford pour d’abord créer des camions et camionnettes pour le reste du monde mais pas pour l’Amérique du Nord puis pour participer au développement des autos électriques).

Nissan a pris la relève en montrant son étude de style IM s Intelligent Mobility anticipant la venue d’une sportive électriquequi illustre la voie que le constructeur japonais prendra au point de vue design. C’était d’ailleurs une des très rares études de style sur place dans un Salon qui nous avait habitué à des « prototypes » extraordinaires dans le passé.

Pour Kia, c’était l’heure de dévoiler son VUS Telluride, proche cousin du Hyundai Palisades vu à Los Angeles mais avec une attitude un peu plus robuste, presque « off road ». Le stand Kia était séparé en deux avec une deuxième partie au fond du salon où se trouvait un petit sentier hors-route permettant aux visiteurs de faire une courte ballade dans des Telluride spécialement décorés.

Coup de malchance pour Infiniti qui devait lever le voile sur une autre étude de style, le QX Inspiration tout électrique, le véhicule ne put être prêt à temps. Il aura été dévoilé plus tard alors qu’on y annonçait que tous les produits de la marque seraient électrifiés d’ici 2021.

En attendant, Hyundai prit la relève pour lancer sa gamme N de performance avec une Elantra GT aux couleurs de l’option.

Et ce fut ensuite au tour de Subaru de nous montrer une STI S209 (341 chevaux !) qui, malheureusement, ne sera pas disponible au Canada.

Chez Lexus il y avait un prototype en version cabriolet de son coupé RC retouché pour 202 incluant l’option F Track de performance.

Enfin, le « spectacle » s’est terminé avec le retour du constructeur chinois GAC qui annonçait l’arrivée de ses bureaux en Californie tout en nous présentant sa gamme de VUS incluant l’ étude de style Entranza de son cru avec portes coulissantes en verre.

Parmi les autres « invités » à ce Salon, il y avait l’Indien Mahindra avec son Roxor, une réplique légèrement miniaturisée des légendaires Jeep militaires mue par un petit quatre cylindres au diesel. Très rudimentaire, ce petit véhicule hors-route ne peut circuler sur les routes (il atteint à peine les 45 m/h) mais il sera un joujou intéressant pour les amateurs de véhicules du genre. Notons toutefois qu’il a une capacité de traction de quelque 7000 livres! Au même stand, on pouvait y voir une petite fourgonnette à sept passagers commercialisée en Inde. Son petit moteur diesel repose dans un châssis en échelle mais la camionnette ne sera pas vendue en Amérique. Toutefois, Mahindra tenait à la présenter au public américain puisqu’elle a été conçue et développée au Michigan.

En passant, les visiteurs qui se sont aventurés au sous-sol du Cobo Hall ont eu droit à une imposante exposition de technologies presque du futur incluant des véhicules autonomes et voire même des taxis volants!

Enfin, mentionnons que ce Salon a aussi été le théâtre du dévoilement des Auto, VUS et Camionnette de l’année tel que choisis par un nombre de journalistes nord-américains : Les gagnants sont, dans l’ordre, la Genesis G70, la Hyundai Kona et le Ram 1500.

Prochain rendez-vous à Detroit? Juin 2020!

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Shelby GT 500 2020, la Ford de route la plus puissante de l’histoire!

C’est dans le cadre du Salon International nord-américain de Detroit que Ford a dévoilé la toute nouvelle Shelby GT 500 dont les caractéristiques techniques et la puissance font pratiquement oublier tout ce que ce modèle a proposé dans le passé.

Caroll Shelby, le créateur des voitures portant son nom et qui a créé la filière Cobra affirmait toujours que sa meilleure voiture serait la prochaine. Pourtant, les ingénieurs qui ont concocté cet impressionnant bolide sont d’accord pour affirmer que Monsieur Shelby serait très fier de ce modèle.

Bien que cette voiture soit dérivée de la populaire Mustang qui a servi de base à la GT 350 dévoilée l’an dernier, cette nouvelle venue connaît plusieurs modifications qui permettent de la distinguer à coup sûr.

Aérodynamique ? Certainement !

Cette nouvelle mouture voit sa silhouette directement inspirée par les besoins de l’aérodynamique et de la performance. Selon les ingénieurs, il n’y a pas 1 cm de cette voiture qui n’a pas été développé en fonction d’améliorer le coefficient de traînée et la stabilité à haute vitesse.

Elle se démarque premièrement par sa nouvelle section avant dotée d’une ouverture béante qui permet à l’air d’atteindre plus facilement les radiateurs et différents refroidisseurs d’air qui ont pour mission de refroidir le puissant moteur V8 de 5,2 litres avec bloc en aluminium et assemblé à la main. Il faut souligner la présence d’une large prise d’air placée au centre du capot avant.

De plus, les déflecteurs avant de série permettent à la section avant de mieux adhérer au sol tandis que becquet arrière intégré accompli également la même fonction. La voiture est plus large afin de pouvoir abriter les pneus de 21 pouces qui, soit dit en passant, ont été spécialement conçus par Michelin pour cette voiture.

 

Même si la caisse est très efficace sur le plan de l’aérodynamique, les acheteurs peuvent commander en option des groupes technologiques selon les conditions d’utilisation envisagée. De plus, un groupe d’options « fibres de carbone » comprend des roues exclusives fabriquées à partir de ce matériau sans oublier les déflecteurs optionnels, également en fibres de carbone.

Dans l’habitacle, le volant sport, les sièges Recaro et une instrumentation propre à ce modèle permettent au pilote de conduire de façon sportive sans inconvénient.

 

Du muscle !

Ford affirme qu’il s’agit du plus puissant moteur destiné à une voiture de route de son histoire. Le V8 de 5,2 litres voit sa puissance portée à plus de 700 chevaux grâce à l’ajout d’un compresseur de type Roots placé entre les deux rangées de cylindres et refroidi par un système air?liquide. Le compresseur est monté en position inversée afin de réduire l’encombrement et également obtenir une réponse plus rapide. Ce moteur est associé à une boîte de vitesses à double embrayage Tremec à sept rapports permettant des passages de vitesse de 100 millisecondes. Soit plus rapide que toute transmission manuelle. De plus, cette boîte permet de choisir entre plusieurs modes de conduite, incluant les modes: " normal, conditions atmosphériques, sport, piste d’accélération et circuit routier". En plus, un système de départ « catapulte » fait partie des options pour le conducteur.

Toujours au chapitre de la sophistication mécanique, l’arbre de couche est en fibres de carbone tandis que des freins Brembo sont dotés d’un étrier à six pistons qui agrippent un disque de 420 mm de diamètre.

Afin de mieux transmettre cette puissance et cette technologie à la route, la GT500 est dotée de la nouvelle génération de la suspension MagneRide assurant la meilleure adhérence latérale dans l’histoire de la Mustang. Et toute cette technologie n’est pas superflue compte tenu des performances annoncées pour ce bolide. En effet, des données préliminaires font état d’une accélération de 0-60 MPH en trois secondes et demie approximativement tandis que le quart de mille serait l’affaire de moins de 11 secondes.

Un classique

Tout comme la première GT500, cette nouvelle génération est appelée à devenir un classique. Son apparence est spectaculaire, ses performances impressionnantes et elle respecte à la lettre l’ADN mécanique des générations qui ont précédé. En plus, le pilote et son passager avant, il n’y a pas de banquette arrière, se retrouvent dans un habitacle sophistiqué doté d’appliques en fibres de carbone tandis que l’instrumentation comprend un écran LCD de 12 pouces permettant d’afficher une foule d’informations, dont plusieurs ont rapport aux performances.

Et bien entendu, en accord avec la tendance actuelle, la voiture est équipée d’un système audio B&O de 12 haut-parleurs offert en option. Finalement, toute cette technologie est gérée par un écran tactile de huit pouces relié au système SYNC3.

En plus, trois nouvelles couleurs s’ajoutent au catalogue : Red Hot, Twister Orange et Iconic Silver. Des bandes décoratives longitudinales sont également disponibles en option.

Somme toute, rien n’a été épargné pour faire de la nouvelle GT 500, la Shelby la plus spectaculaire de l’histoire.

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Mercedes-Benz classe G : pour millionnaire nostalgique!

Si vous faites partie des gens qui apprécient les véhicules « comme dans le bon vieux temps », vous allez apprécier les principales caractéristiques du gros VUS de Mercedes-Benz.

En effet, développé dans les années 70, il a conservé le châssis à échelle, les parois verticales et une silhouette taillée à la hache.

Ici, pas de concession à l’esthétique, tout est basé sur les caractéristiques pratiques. Pourtant, certains lui trouvent une élégance robuste propre à tous les véhicules utilitaires extrêmes.

Cependant, vous devrez avoir un compte de banque passablement étoffé pour pouvoir acquérir ce « gelandewagon », le terme allemand pour véhicules utilitaires, car la facture dépasse allègrement les six chiffres. Sa gamme se décline en quatre modèles, le plus économique est le G 550 doté d’un moteur V8 4,0 litres produisant 416 chevaux. Ça peut paraître impressionnant comme puissance, mais compte tenu de la lourdeur de ce véhicule qui pèse tout près de 3 tonnes, ce n’est pas exagéré.

Mais si vous êtes un inconditionnel de l’extrême et des routes impraticables, la nouvelle version G550 4X4 2 est vraiment ce qu’il y a de plus impressionnant et de plus efficace. En effet, en plus du rouage intégral à trois différentiels, le véhicule est surélevé davantage et possède un rouage spécial par engrenage qui démultiplie la puissance au afin de pouvoir affronter n’importe quoi. 

Ce modèle d’une grande rareté n’est pas nécessairement à l’aise sur les routes et se vend aux environs de 300 000 $. La gamme se complète avec les deux modèles AMG, soit le G63 et le G65. Le premier produit 563 chevaux et le second 621 chevaux et 728 livres pieds de couple tout en étant capable de boucler le 0-100 km/h à 6,3 secondes.

Conçu essentiellement pour un usage militaire et policier à ses débuts, ce costaud est essentiellement spécialisé pour la conduite de sentiers. En effet, sa direction à billes qui est quasiment un incontournable pour ce type de conduite ne se prête pas tellement à une conduite de précision. Il faut s’acclimater avant de se sentir à l’aise sur la route avec ce mastodonte. Mais, il faut l’avouer, il possède un charme et indescriptible qui semble plaire aux milliardaires.

Pour :

  • Un vrai passe-partout
  • Moteurs performants
  • Habitacle luxueux

Contre :

  • Prix exorbitant
  • Direction imprécise
  • Consommation très élevée

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Mercedes-Benz Classe E : Le modèle à tout faire

Les modèles de la Classe E sont pour Mercedes une importante source de revenus puisqu’ils sont parmi les plus vendus depuis des décennies et offrent une multitude de modèles qui permettent à ce constructeur de cibler une clientèle aussi fidèle que bien nantie. 

L’an dernier, le constructeur de Stuttgart nous avait présenté cette nouvelle version de la berline et de la familiale. Ces deux nouvelles venues se démarquaient par une carrosserie très profilée, très esthétique et dépouillée pratiquement de tout artifice. Cette année, c’est au tour du coupé et du cabriolet de faire leur entrée sur notre marché.

Et force est d’admettre que les stylistes ont encore eu le coup de crayon très heureux avec ces modèles qui reprennent en grande partie les éléments esthétiques apportés par le prédécesseur.

Il faut souligner que pour ces deux modèles, on n’a pas emprunté le châssis de la Classe C est bien celui de la berline, ce qui explique pourquoi ce nouveau modèle est plus long et plus large.

En outre, on a repris sensiblement la même planche de bord tout en modifiant les buses de ventilation qui font l’effet d’une turbine et qui donne un air d’exclusivité à cette voiture.

Et il est important d’ajouter, que la pléthore de systèmes de sécurité active et passive, dont plusieurs empruntés à la Classe S, rend cette gamme de modèles très sécuritaire. 

D’ailleurs, certains groupes d’options rendent ces voitures presque autonomes. Mais il y a un pas en avant, que Mercedes-Benz refuse de faire. Mais on se rend compte que la possibilité d’offrir la conduite autonome pourrait se réaliser après quelques modifications seulement.

L’acheteur est confronté à une multitude d’options et ce à tous points de vue. On peut choisir parmi une palette de couleurs les plus variées autant pour la carrosserie que pour l’habitacle. Et il est également possible de choisir parmi plusieurs roues en alliage, ce que d’autres constructeurs ne permettent pas de faire. Et il ne faut pas oublier également les modèles AMG avec leur moteur dont la puissance va de 396 chevaux à 603 chevaux. Toutes les versions et tous les modèles sont dotés de boîte automatique à neuf rapports.

Le comportement routier est impeccable, le silence de roulement est impressionnant tandis que la sophistication de l’ensemble obligera les acheteurs à potasser pendant quelques heures le manuel du propriétaire. C’est la rançon du luxe et de la sophistication.

Pour :

  • Sophistication poussée
  • Version AMG
  • Sécurité avancée

Contre :

  • Déluge d’options
  • Certaines commandes complexes
  • Prix corsés

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Les concepts de Bertone vivent encore!

Bertone renaît de ses cendres avec deux supercars électriques. Un projet entièrement fabriqué en Italie et dévoilé à Milan par le personnel de Flymove Dianché, dirigé par Paolo Carlin.

Tout a commencé il y a un an et demi, lorsque Carlin a réussi à réunir un groupe d’investisseurs autour de son rêve.

 

C’est-à-dire lancer une plate-forme complète de mobilité électrique, qui va de la production d’énergie à partir de sources renouvelables au stockage dans des points de ravitaillement.

Et surtout, à la production de supercars et même d’avions. Le groupe d’investisseurs met les 5 premiers millions au début. Maintenant, il en faut encore 30 pour continuer.

Parmi eux se trouve Carlin lui-même, issu d’une famille vénitienne d’entrepreneurs en chimie, mais il a également travaillé dans les domaines de la finance et du conseil.

Et il y a Paolo Clerici de Fintrade di Brescia, une entreprise du secteur de la santé. Outre les investisseurs, le groupe d’ingénierie français AKKA a également apporté son soutien (16?000 employés, plus de 1,5 milliard de chiffre d’affaires dans les technologies automobile, aérospatiale, numérique et biomédicale). AKKA achète depuis quelque temps la marque Bertone à la faillite.

Et il l’a accordée à Flymove Dianché comme garantie de style. Nom choisi en fonction des marchés d’Extrême-Orient, Dianché signifie en chinois voiture électrique.

Deux supercars, le prix autour de trois millions d’euros

En réalité, le rêve de Carlin est déjà assez concret. Les deux premières supercars de Flymove Dianché de Bertone, la GT Cube BSS et la GR One BSS ont été présentées au siège central de Milan, via Gadames, dans la région de Certosa. Le premier est décrit comme un monstre de 600 kW de puissance (804 chevaux), avec deux moteurs de 300 kW chacun, un à l’avant et un à l’arrière. Avec quatre roues motrices, une batterie de 100 kWh et une vitesse maximale de 350 km/h. En plus d’une accélération de 0 à 100 km/h en 2,2 secondes.

La GT One est un peu plus discrète. La puissance est de 300 kW (400 chevaux), toujours avec double moteur et quatre roues motrices, avec une vitesse maximale de 300 km/h. Une accélération de 0 à 100 km/h est annoncée en 2,6 secondes. Le style est signé par Carlos Turone, les premières livraisons auront lieu en 2020. Mais une voiture a déjà été vendue à un acheteur arabe, révèle Carlin. Et ce n’est pas l’ambition des performances sportives qui manque : en 2019, la GT Cube BSS tentera de battre le record du tour des voitures électriques au Nurgurbring.

Toutefois, le record absolu, pour les voitures de production, appartient à une supercar électrique, la Nio EP9, qui a parcouru les 20 km du «?Green Hell?» en 6 : 45,9, battant de plus de 6 secondes le précédent record de la Lamborghini Huracan Performante.

Et en 2020, il participera à l’épreuve de Pikes Peak, après les performances extraordinaires de la Volkswagen I.D. R. en 2018.

Il y a aussi la BSS City Car Cube qui porte la griffe de Bertone et qui vise les centres urbains qui est prévu pour une production prochaine.

Relancez le défi d’échange de batterie

Flymove Dianché envisage également un autre défi : relancer le système d’échange de batterie. C’est-à-dire que le ravitaillement en carburant ne se fait pas par des bornes de recharge, mais par le remplacement rapide des piles épuisées par un paquet similaire de piles chargées. Une solution déjà expérimentée sans succès, il y a dix ans, par la start-up israélienne Better Place, qui a gaspillé plusieurs centaines de millions d’euros collectés auprès d’investisseurs du monde entier. Carlin pense que le temps n’était pas mûr alors, mais aujourd’hui oui.

Pour une ville comme Milan, par exemple, on pense à un réseau de 16 points d’échange de batteries, avec un investissement d’environ 16 millions d’euros. Mais le programme est également conçu pour les mégapoles chinoises. Et ce n’est pas un hasard si un constructeur chinois, Nio, songe à améliorer le même système. La production d’énergie se ferait localement à partir d’énergies renouvelables. De plus, les ambitions de Flymove Dianché ne se limitent pas aux voitures : il y a des idées de produire aussi des avions électriques.

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L’unique Chevrolet Impala SS 1961 de Dan Gurney

Au début des années soixante, les constructeurs d’automobile américains commençaient à s’intéresser aux véhicules de performance.

C’était bien avant les «muscle cars» et les «pony cars».

La recette était simple, implanter un gros V8 puissant sous le capot d’un «énorme» coupé de production. Rien ou presque n’était modifié au niveau de la suspension, du freinage et de la direction.

C’était aussi l’époque où plusieurs grands pilotes américains commençaient à s’illustrer sur la scène internationale, des gens comme Phil Hill, Carroll Shelby et Dan Gurney. Gurney était un de ceux qui allaient devenir une véritable star de la course automobile.

Éventuellement, il allait être le seul Américain à gagner en Formule Un au volant d’une auto de sa création (Eagle). Il allait aussi permettre à Ford de gagner les 24 Heures du Mans en 1967, cela au volant d’une voiture complètement américaine, la Ford GT Mark IV, de conception américaine avec une équipe américaine (lui et A.J. Foyt) sur pneus américains (Goodyear). Gurney avait, auparavant, gagné plusieurs courses NASCAR sur circuit routier (surtout au Riverside Speedway en Californie) au volant de Ford Galaxie modifiées pour la série. Après une superbe carrière en course automobile, Dan Gurney nous a quitté le 14 janvier 2018.

Un exploit peu publicisé

Gurney a une incroyable feuille de route avec nombre de victoires. Toutefois, un de ses «exploits» les moins connus demeure sa participation aux courses de berlines en Angleterre en 1961.

À cette époque, les grandes berlines Jaguar Mark II à six cylindres de 3,8 litres écumaient les pistes de course britannique.

C’est à cette époque que Gurney, dont la réputation internationale commençait à peine à émerger, décida de tenter sa chance en Grande Bretagne au volant d’une voiture américaine. Il choisit alors une Chevrolet Impala 1961, un coupé à deux portes mû par un V8 de 409 pouces cubes (6,6 litres) de quelque 360 chevaux combiné à une boîte manuelle à quatre rapports.

L’auto était à peine préparée pour la course ne serait-ce que pour ses échappement libres, des barres de stabilisation de Corvette, ses freins (à tambour!) de police/taxi et quelques prises d’air pour leur refroidissement. Il n’y avait pas, à ce moment-là, de cage de protection alors que l’intérieur y était au complet incluant la radio.

Encore une fois, à cette époque-là, les amateurs de voitures de sport ou de course se moquaient des «grosses Américaines» les traitant de pataudes sans tenue de route. Il est vrai qu’elles avaient la tendance à se coucher dans les courbes rapides, mais c’était sans compter sur les aptitudes du grand Gurney.

Il s’est donc présenté en 1961 à Silverstone au British Saloon Car Championship (Championnat britannique des berlines) avec sa Chevrolet sous le rire général des témoins sur place.

Leurs moqueries se sont vite transformées en interrogations quand Gurney décrocha la pole position devant les puissantes Jaguar. Il a même dominé la course jusqu’aux derniers tours alors que le centre d’une jante déchira empêchant le pilote américain de continuer.

Il a donc décidé de se reprendre plus tard avec, cette fois, des jantes renforcées de NASCAR mais à sa grande surprise, son Impala ne se pliait plus aux «nouveaux » règlements de la série. (Gurney dira plus tard qu’il était sûr de l’influence de Lofty England, le directeur des compétitions chez Jaguar dans cette décision).

Gurney vendit donc l’auto qui se retrouva en Australie (où elle fut découverte tout récemment avec la conduite à droite et un moteur à six cylindres). Il connut une «douce revanche» deux ans plus tard lorsque le Britannique Jack Sears gagna sept fois contre les Jaguar avec des Ford Galaxie 1963 à moteur de sept litres (427).

De retour en piste

L’impala de Gurney fut donc retrouvée en Australie (avec son V8 original à ses côtés) et complètement restaurée dans sa configuration originale pour servir de «pace car» l’été dernier lors de courses de «Vintage» à Goodwood en Angleterre.

Le réputé Dario Franchiti en a pris les commandes (se demandant comment Gurney avait fait pour contrôler une voiture à la suspension aussi molle). Plus jamais les Britanniques (ni les Européens) ne se sont moqué des grandes américaines! Surtout pas de la Chevrolet Impala SS de Dan Gurney!

Note : saviez-vous que c’est Dan Gurney qui a institué le rituel de la «douche de champagne» en 1967 après sa victoire aux 24 Heures du Mans (Ford GT Mk IV avec A.J.Foyt).

Auparavant, le gagnant ne faisait que déboucher la bouteille de champagne. Gurney, lui, a été le premier à brasser la bouteille et à arroser les gens autour de lui!

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Le Dodge Durango, une solution mitoyenne

Je dois avouer avoir eu de la difficulté à bien cerner ce véhicule et tenter de comprendre pourquoi les acheteurs allaient opter pour un Dodge plutôt que d’un Jeep.

En effet, lorsqu’on se présente chez un concessionnaire FCA, l’évidence pour se procurer un véhicule tout-terrain d’une certaine taille est le Jeep Grand Cherokee qui est automatiquement plus prestigieux et vraiment plus polyvalent que la plupart des modèles concurrents.

Mais si pour une raison ou une autre les qualités du Jeep ne réussissent pas à vous convaincre, dans la même salle de démonstration, il y a le Durango de Dodge.

Sa silhouette arrondie et imposante affiche bien le caractère de ce gros VUS qui est plus imposant que le Grand Cherokee, mais de plus petit format que des modèles comme le Chevrolet Suburban ou le Ford Expedition pour ne citer que ces deux modèles.

Le Durango devrait intéresser des acheteurs traditionnels, à la recherche d’un véhicule à trois rangées de sièges et en mesure de tracter une charge de 6200 livres avec le moteur V6 de 295 chevaux et un couple de 260 lb-pi de couple. Comme avec tous les autres moteurs disponibles, il est associé à une boîte automatique à huit rapports.

C’est d’ailleurs la motorisation de notre modèle d’essai, une version GT.

Un vétéran

Le modèle actuel du Durango entame sa septième année sur le marché. Dans le secteur de l’automobile, sept ans, c’est très long. Pourtant, les stylistes ont réussi à rajeunir l’apparence des différents modèles de sorte que visuellement, ce costaud est toujours dans le coup.

Le GT bénéficie cette année d’une révision de la section avant et le fait d’avoir choisi le capot haute performance offert en option ajoute du caractère à la présentation extérieure tout comme les roues en alliage de 20 pouces de couleur noire.

L’habitacle est sobre, mais le fait d’avoir choisi un groupe d’options ciblant l’habitacle hausse le niveau de confort et la polyvalence intérieure de notre véhicule d’essai. Soulignons, entre autres, le volant chauffant, les sièges à garniture de cuir ainsi que des prises USB.

Je tiens d’ailleurs à souligner que j’ai bien apprécié le volant chauffant. Croyez-moi, cet accessoire porte bien son nom, ceux qui ne veulent pas porter de gants en hiver seront heureux avec cet accessoire.

 

Bien entendu, compte tenu des dimensions extérieures passablement imposantes, l’habitabilité ne fait aucunement défaut. Les deux sièges de la seconde rangée se sont révélés confortables tandis que la troisième rangée est plus spartiate et devrait convenir surtout à de jeunes enfants pas trop préoccupés de leur confort.

Bien entendu, la soute à bagages permet de voyager avec pratiquement tout ce que vous désirez emporter dans vos déplacements en raison de ses dimensions plus que généreuses.

Soulignons au passage que le Durango surpasse le Grand Cherokee à ce chapitre. Cependant, le seuil de chargement est relativement élevé.

La planche de bord est sobre, les commandes sont bien placées et donc faciles d’accès. De plus, la gestion des différents systèmes s’effectue par l’entremise d’un écran de 8,4 pouces affichant le système de gestion Uconnect très efficace et très facile à gérer. Cependant, sa réputation de fiabilité pourrait être meilleure.

Adéquat, mais si vous en désirez plus…

Le moteur V6 Pentastar est l’un des meilleurs sur le marché tout au moins dans cette catégorie. Son rendement est bon, les réponses nerveuses et son association avec la boîte automatique ne se prête à aucun commentaire négatif. Et puisque notre modèle d’essai était équipé de l’option remorquage, un système de freinage d’appoint était de la partie.

Avec un véhicule pesant plus de deux tonnes et avec le rouage intégral, il ne fallait pas s’attendre à une consommation de carburant écologique. Si le constructeur avance une consommation moyenne de 11.3 l/100 km, j’ai enregistré une moyenne de 13,6 l/100 km, ce qui n’est pas mal pour la catégorie.

Mais il faut souligner que, dans le cadre de cet essai, j’ai fait quand même plus de la moitié du kilométrage sur les autoroutes. Un confrère de Toronto m’a avoué une consommation de 15 l/100 km.

La conduite est sans histoire et ce gros VUS s’adapte sans problème aux différentes routes rencontrées sur notre parcours. Cependant, il ne nous faut pas non plus tenter de défier les lois de la physique à son volant, vous risquez une petite frayeur.

Mais si vous conduisez comme la moyenne des gens, vous allez apprécier sa suspension passablement confortable, sa direction assez précise et une motorisation ne vous laissera jamais tomber.

Et il ne faut pas oublier de mentionner que notre véhicule d’essai était équipé de tous les systèmes de sécurité généralement offerts de nos jours.

Choix varié

Malgré son appellation de GT qui nous laisse croire à un modèle ultra sportif, ce n’est pas le cas. Mais si vous avez des aspirations de conduite plus sportive au volant d’un VUS, commandez les versions plus performantes comme le SRT. Les émotions fortes sont garanties avec son moteur V8 6,4 litres d’une puissance de 475 chevaux. De plus, une présentation extérieure différente permettra d’afficher la sportivité de votre véhicule au grand public.

Bref, le Durango est un véhicule qui est toujours dans le coup malgré le fait qu’il doive concurrencer des modèles nettement plus modernes et donc très compétitifs. Mais avec des agencements de carrosseries différents, un choix de moteurs intéressants et une plate-forme toujours efficace, le Durango connaît une hausse de ses ventes depuis plusieurs mois.