Auteur : Derrière Le Volant

Le constructeur automobile McLaren fait parler de lui depuis quelques années pour les bonnes et mauvaises raisons. Après de sérieux problèmes financiers corrigés par la vente du siège social de Woking, c’est maintenant ces rumeurs de transaction entre deux grands joueurs de l’industrie.  

Les sociétés Audi et BMW ont tous deux de l’intérêt pour le constructeur britannique. Chez Audi, c’est surtout et avant tout la prise en main de l’équipe de Formule 1. C’est un secret de polichinelle que le constructeur d’Ingolstadt veut entrer en F1. Ils auraient déjà fait une offre mais McLaren a refusé. Audi a bonifié son offre depuis. 

Mais voilà que BMW travaillerait conjointement avec McLaren pour une plateforme commune dans l’élaboration d’une voiture électrique. Est-ce l’indication que McLaren sera scindé en deux unités distinctes? Ce qui est certain, McLaren va changer de main sous peu selon les médias à travers la planète. 

Selon Automotive News, McLaren et BMW aurait signé un accord de collaboration le 24 mars dernier. Cependant, cet accord pourrait tomber si Audi s’entend avec le constructeur de Woking. Pendant ce temps, Porsche s’approche de Red Bull pour son retour en F1. 

Le petit Honda HR-V est important pour le constructeur. Il répond parfaitement au marché des VUS de petit format. Enfin petit! La nouvelle génération du HR-V s’installe sur la même plateforme que la nouvelle Civic. 

Au chapitre du style, il se veux complètement différent avec son capot allongé et plongeant. Il affiche également un empattement allongé et élargie ainsi qu’une suspension arrière indépendante.  

Pour ce qui est de la motorisation, aucun détail a été dévoilé jusqu’à maintenant. L’on peut cependant penser que le moteur de base de la Civic, le moteur 4 cylindres de 2.0 litres pourrait prendre place avec ses 158 chevaux. La boîte CVT serait la seule offerte tandis que les acheteurs auraient le choix entre le mode traction avant ou le rouage intégral. 

Évidemment, les prix seront annoncés sous peu. Honda annonce également une refonte importante de son populaire CR-V et Pilot. À suivre. 

Après une pléthore de VUS à vocation essentiellement urbaine, certains constructeurs ont décidé de se tourner vers une fonction plus audacieuse de ces modèles. En effet, dans la première catégorie, les gens se les procurent essentiellement pour le caractère pratique et leur coffre de rangement spacieux. Enfin, certaines n’offrent même pas le rouage intégral. À part quelques exceptions, il est donc difficile de trouver un produit en mesure de fréquenter des routes en mauvais état, pratiquement inaccessibles et qui vous permettent d’accéder à des sites uniques pour leur beauté naturelle. 

C’est cette clientèle que vise Mazda avec le CX-50 dont les caractéristiques générales lui permettent d’affronter des conditions routières nettement plus intimidantes. En plus d’une certaine robustesse, son rouage intégral géré électroniquement permet d’assurer une excellente traction et une bonne motricité sur des routes secondaires en gravier. Et il ne faut pas non plus conclure qu’il s’agit d’une CX-5 déguisée pour aller en forêt. En effet, la CX-50 est plus large, son empattement est plus long et elle possède plusieurs autres caractéristiques qui lui sont uniques. 

Soulignons avant de l’oublier que ce modèle est assemblé dans une usine Toyota-Mazda en Alabama et il est exclusif à notre continent. On ne pourra pas l’accuser d’être une modification plus ou moins réussie d’un modèle concocté pour le Japon ou l’Europe entre autres. 

Bien entendu, Mazda ne fait jamais les choses comme les autres et même si on veut nous convaincre que ce véhicule tout-terrain est un costaud, sa silhouette est plutôt discrète. 

Il faut y regarder deux fois 

Lors de la présentation vidéo sur Zoom du CX-50 il y a quelques mois pendant la pandémie, je dois avouer que je n’avais pas été tellement impressionné par la présentation extérieure du véhicule. Ce n’est pas qu’il était laid, mais il n’avait pas vraiment l’allure d’un véhicule capable de s’enfoncer dans la forêt. Me basant sur ces impressions, j’avais avoué ne pas être trop optimiste quant au succès de ce modèle. 

Mais, cette fois-ci, j’ai eu l’opportunité non seulement de le contempler de près, mais d’effectuer un essai routier sur une multitude de routes les plus diverses en mesure de nous faire découvrir les qualités intrinsèques de cette Mazda nord-américaine. 

Comme disent les Américains « You have to know what to look for » ou en traduction libre, « Vous devez savoir où regarder » puisque de prime abord les modifications esthétiques ne sont pas spectaculaires. Elles ne sont pas spectaculaires certes, mais passablement raffinées de sorte qu’il ne s’agit pas d’une caricature exagérée d’un tout-terrain. 

En premier, le CX–50 est plus large que CX-5 tout en étant plus bas. En outre, les passages de roues sont relativement gonflés avec en plus une garniture en périphérie d’une lamelle de plastique contrastant. La calandre est originale à ce modèle et on retrouve à chaque extrémité de la grille des cabochons protubérants pour donner une allure plus robuste. À l’arrière, pour accentuer la largeur, les stylistes ont disposé de fausses bouches grillagées de part et d’autre du pare-chocs.  

Je dois avouer que c’est passablement réussi et élégant. Ce n’est pas parce que l’on désire se diriger vers des sentiers éloignés que l’on veut conduire un véhicule qui ressemble à une camionnette militaire. 

L’habitabilité est bonne et même si la capacité de chargement du coffre à bagages est légèrement moindre que celle de certains modèles concurrents,la longueur du plancher permet de transporter des objets passablement encombrants. Comme c’est le cas de tous les produits Mazda, la finition est impeccable tout comme le choix des matériaux. 

La planche de bord ne diffère pas tellement de celle d’un CX-5, et on retrouve la même sophistication des lignes. Toutefois, comme c’est le cas sur d’autres modèles de la marque, certaines commandes ne sont pas évidentes de prime abord. Mais on s’y habitue facilement même si on aurait pu trouver une solution moins stylisée mais plus pratique. De plus, l’écran d’affichage est toujours géré par un gros bouton central placé sur la console. C’est passablement intuitif et on s’habitue facilement. Du moins, c’est mon expérience. 

Il faut ajouter qu’il est possible d’obtenir un écran tactile avec Apple Car Play et Android Auto. 

Je me suis trompé 

Comme mentionné précédemment, je n’étais pas tellement enthousiaste quant à ce nouveau venu. Je trouvais qu’il rassemblait de trop près à la CX-5 et que ce n’était qu’un simple exercice de mise en marché. Je dois avouer que j’étais à côté de la plaque. En effet, lorsqu’on voit le véhicule en personne, on découvre plusieurs caractéristiques visuelles qui le démarquent passablement du modèle dit « urbain ». 

Et les ingénieurs ont concocté un rouage d’entraînement beaucoup plus en mesure d’affronter des conditions de route difficiles sans pour autant atténuer l’agrément de conduite. C’est un équilibre délicat entre ces deux aspects de la conduite, mais je dois avouer qu’ils ne se sont pas plantés, bien au contraire. 

Lors d’un essai d’une journée entière sur des autoroutes, routes secondaires et routes très très secondaires en fort mauvais état, j’ai été en mesure de constater que le but avoué avait été atteint.  

Mon véhicule d’essai était une version GT Turbo propulsée par un moteur quatre cylindres de 2,5 litres d’une puissance de 256 chevaux avec de l’essence super et 227 chevaux avec du carburant régulier. Il est également possible de commander ce même moteur, mais en version atmosphérique. À ce moment-là la puissance est de 187 chevaux. Dans les deux cas, la transmission automatique est à six rapports et le rouage intégral de série. 

Afin de mieux gérer la conduite, on retrouve un commutateur Mi-Drive sur la console centrale et qui permet de choisir entre les modes d’opération suivant : normal, sport, hors route et remorquage. Précisons qu’il est possible de remorquer une charge de 3500 livres maximum. 

Mon expérience de conduite m’a permis de constater que sur l’autoroute, le véhicule se comporte plus ou moins comme le CX-5 bien qu’il me semblait un tantinet moins agile, mais la différence n’est pas énorme. Par la suite, sur des routes secondaires sinueuses, la précision de la direction et la stabilité dans les courbes est également à souligner.  

Mais ce qui m’a le plus impressionné, c’est lorsqu’on roule pendant des dizaines de kilomètres sur de mauvaises routes avec des nids-de-poule, de la planche à laver et en certains secteurs on avait déposé des granulats très meubles. Le véhicule n’a jamais bronché.  J’ai pu également constater l’efficacité du rouage intégral, du système de Vecteur de couple G propre à ce véhicule et qui permet de compenser pour toute les modifications qu’apporte le revêtement de la route. De plus, la robustesse du rouage d’entraînement m’a paru assez robuste. 

Bref, je me suis fortement gouré dans mon appréciation initiale.Il est vrai que plus d’audace visuelle permettrait de mieux situer cette Mazda aux yeux de certains acheteurs, mais, mieux encore, on a refusé de tomber dans l’exagération. Et il est certain que ce modèle s’accompagne d’une foule d’accessoires disponibles en option et que plusieurs vont s’empresser de commander un porte-bagages, un support à vélo et toute une panoplie d’accessoires similaires. Par contre, la traction intégrale est de série tout comme le toit ouvrant panoramique. 

Somme toute, mes appréhensions initiales n’étaient pas fondées et il s’agit d’un produit qui devrait susciter une réponse très positive de la part de la clientèle ciblée.   

C’est connu, les VUS ont la cote depuis quelques années. En même temps certaines catégories comme les voitures sous-compactes et intermédiaires disparaissent graduellement du décor routier. Les compactes continuent leur chemin mais les versions haute performance prennent le chemin du musée tout doucement. Les versions MazdaSpeed ont disparus chez Mazda depuis longtemps, pas de versions Nismo de la Sentra chez Nissan et pas de successeur à la version STi de la Subaru WRX.

Pourtant, grâce à la contribution de Toyota Gazoo Racing, une version survitaminée de la Corolla à hayon débarquera cet automne sur le marché canadien. La rumeur de l’introduction de cette déclinaison circule depuis des mois. Eh bien voilà, c’est maintenant du concret. Déjà, les européens avaient droit à une version GR de la Yaris.

Cette GR Corolla 2023 porte en son cœur un moteur 3 cylindres turbocompressé de 1,6 litres. Petit vous dites? Sachez que cette motorisation offre tout de même 300 chevaux et plus de 273 lb-pi de couple. Comme si la puissance n’était pas suffisante, cette Corolla dispose du rouage intégral GR-FOUR avec réglages personnalisables pour la distribution de la traction aux roues avant ou arrière.

Elle sera offerte en 2 versions soit entrée de gamme et Édition Circuit. Cette dernière version sera proposée seulement l’année du lancement en série limitée.

Pour le style, cette GR Corolla porte des passages de roues élargis, un bouclier plus agressif, un diffuseur arrière intégrant 3 sorties d’échappement et un aileron monté dans la partie supérieure du hayon. À l’intérieur, des sièges sport enveloppant arborant le logo GR s’installent.

Cette GR Corolla arrive en contre-courant de la tendance actuelle dans le segment. Nous avons hâte d’en faire l’essai.

La marque Acura reprend le nom Integra, l’un des modèles les plus populaires à une certaine époque. Lors du dévoilement, beaucoup d’amateurs ont décrié cette berline qui emprunte plusieurs éléments de la Civic de Honda. Et ils ont un peu raison. Acura doit se trouver une niche à elle. Mais ce n’estpas le cas présentement.

Un designer, Jordan Rubinstein-Towler, qui n’a d’ailleurs aucune relation avec le constructeur, a repris l’essentiel des lignes de l’Intégra coupée de l’époque pour en faire une voiture d’aujourd’hui. Disons que le résultat est magnifique. 

Imaginé si Acura voulait réaliser cette jolie sportive à un prix raisonnable. Un bouclier agressif annonçant une silhouette épurée et se terminant par une partie arrière relevée, voilà un résultat attractif à souhait. 

Nous aimerions connaître votre opinion la-dessus. Une Integra berline comme présenté l’an dernier ou cette Integra empreinte de nostalgie?

Les Lotus Elise et Exige sont maintenant au musée. Mais elles ont tenu le fort pendant des années. L’histoire de Lotus est riche et plutôt spéciale. Nous y reviendrons dans un autre article. Pour l’instant, le petit constructeur britannique se lance dans un renouvellement de sa gamme àvitesse grand V.  

La Lotus Evija est un monstre de puissance avec 2000 ch et s’inscrit dans cette orientation tout électrique. Pour en finir avec le moteur thermique, la Lotus Emira viendra boucler la boucle. 

L’explosion de l’industrie vers l’électrification semble stimuler bien des constructeurs, actuels et nouveaux. Mais il y a deux tendances, les utilitaires sports et la motorisation électrique. Aucun constructeur n’y échappe et la preuve est que même Lotus plonge dans cette lourde tendance.  

Dans une présentation spectaculaire à Londres avec un brin de nostalgie sous les couleurs de modèles qui ont marqué l’histoire de l’entreprise fondé par Colin Chapman, le Lotus Eletre a fait son apparition. Il est le premier VUS de la marque. 

Vient-il voler le punch à Ferrari et son Purosange? Pour l’instant, la réponse est oui. Il est élégant à souhait. Sans l’avoir vu de visous, il affiche un gabarit relativement imposant. Les courbes et encavures à sa silhouette lui confère une allure digne de mention. Son habitacle est tout à fait dans le ton des VUS de grande classe. Il aura fallu 3 ans pour en arrivé à cet aboutissement.  

Comme c’est le cas pour Aston Martin, l’Eletre viendra assurer la rentabilité de Lotus et rassurer les concessionnaires de la marque à travers le monde. Plus de détails à venir. 

Une nouvelle déclinaison du F-150 fera son apparition au sein de la gamme étendue du populaire camion de Ford. Le F-150 Rattler sera proposé aux consommateurs dès cet automne sous l’année modèle 2023. Il regroupe le groupe d’options de la série XL et le contenu de l’ensemble FX4. 

Ces éléments sont, entre autres, des plaques de protection, le contrôle en descente, des amortisseurs adaptés pour la conduite hors route, un différentiel arrière autoblocant et des pneus tout terrain.

Au chapitre de son apparence, il porte des jantes de 18 pouces en aluminium, le monogramme F-150 Rattler sur les prises d’air aux ailes avant et sur les flancs de la boîte de chargement, des éléments graphiques inspirés du serpent à sonnette et un échappement double. Les garnitures intérieures sont également uniques à cette version. Il sera proposé dans un choix de 8 coloris. Son prix sera annoncé plus tard cette année.

Après plusieurs reports de lancement, c’est le mardi 22 mars que Maserati, la marque au symbole du Trident, nous a finalement présenté son tout nouveau VUS, le Grecale. Une fois de plus, le nouveau modèle porte le nom d’un vent. Le Grecale est un vent méditerranéen qui souffle du nord-est, et devient maintenant un VUS destiné à jouer un rôle important dans la gamme Maserati. Donner à ses voitures le nom des vents les plus célèbres du monde est une tradition pour la marque. Tout a commencé en 1963 avec le mythique Mistral. Ghibli, Bora et Khamsin ont suivi tour à tour. Et en 2016, le Levante, le premier VUS de l’histoire de la marque Trident a vu le jour.  

Selon le communiqué, le Grecale incarne les valeurs intrinsèques du Made in Italy, les valeurs de Maserati et de sa nouvelle ère. L’ingéniosité et la capacité de se réinventer et de se développer, en gardant toujours un œil sur l’avenir sans oublier son propre ADN. Comme la MC20, le Grecale a désormais une allure verticale plutôt qu’horizontale, adaptée ici aux besoins d’un VUS. L’avant est le côté le plus distinctif du nouveau modèle, caractérisé par une calandre basse et imposante. Dans la version Trofeo, la version la plus puissante, la calandre est légèrement décalée vers l’avant, pour la rendre plus audacieuse et accentuer son caractère sportif.  

UN DESIGN « MUSCLÉ » 

En le regardant de profil, le contraste continuel entre la pureté du design et la technologie saute aux yeux, car une grande attention a été portée au mouvement du capot vers l’arrière pour faire ressortir son caractère sportif. Le contraste est flagrant entre sa carrosserie très fluide et douce aux formes sinueuses et visuelles, versus ses composants techniques soulignés par l’utilisation de la fibre de carbone. À l’arrière, les feux qui sont en forme de boomerang – inspirés de la 3200 GT de Giugiaro -adoptent un look caractéristique de Maserati avec des lignes trapézoïdales. Le look sportif en forme de trapèze est une caractéristique intrinsèque de toute la voiture et est rendu plus frappant par l’effet coupé de la cabine qui se termine comme celle d’une voiture sportive, une lunette arrière élégante, desailes galbées et audacieuses, et le poids de la voiture poussé vers le bas. 

MOTORISATION 

Dès le lancement, le Grecale sera disponible avec trois options de moteur à essence : deux variantes du V6 « Nettuno » de 3,0 litres utilisé pour la première fois par la supercar MC20 pour la version Modena de milieu de gamme et la Trofeo haut de gamme, et un hybride léger à quatre cylindres pour le Grecale GT d’entrée de gamme développant 296 cv.   

Le V6 utilise la même technologie de pré-combustion, issue de la Formule Un, que le moteur MC20, qui vise à améliorer à la fois les performances et l’efficacité. Il a un carter d’huile humide plutôt que sec, par exemple, et peut désactiver la banque de cylindres droite lorsqu’on est en vitesse de croisière pour une consommation réduite. 

Dans la version Modena, le V6 fourni 325 ch et 332 lb-pi avec un temps de 0 à 100 km/h de 5,3 secondes, tandis que la versionTrofeo augmente ces chiffres jusqu’à 523 ch et 457 lb-pi et réduit le temps du 0 à 100 km/h à seulement 3,8 secondes – plus rapide que la BMW X3 M Compétition.   

La grande surprise, cependant, est qu’il y aura également un Grecale entièrement électrique, le Folgore. Il y a peu de détails,mais Maserati affirme que l’architecture électrique 400V produira 590 livres-pied de couple et sera alimentée par une batterie de 105 kilowattheures, ce qui est substantiel selon les normes des VUS compacts. 

Tous les moteurs envoient leur puissance via une boite de vitesses automatique ZF à huit rapports aux deux essieux, avec un différentiel autobloquant à glissement limité monté à l’arrière du Modena et duTrofeo, et en option sur le GT. 

ÉLÉGANCE ET FONCTIONALITÉ 

La cabine du Grecale est dédiée à la fonctionnalité. La référence aux voitures des années 70 telles que la Ghibli est évidente dans la structure en forme de T réduite à un design simple et linéaire, presque architectural, mettant en valeur les matériaux. La cabine est un mélange de confort et de style : les surfaces sont mises en valeur par des matériaux nobles ainsi que la recherche de nouveaux graphismes et couleurs, inspirés des racines de la marque et de ses origines, réinterprétant les processus uniques du Made in Italy. Le sens de la modernité est souligné par la pureté du design : la voiture est équipée de trois écrans : le groupe d’instruments,le nouvel écran central de 12,3 pouces et un écran de confort plus petit de 8,8 pouces avec des commandes supplémentaires. En haut, au centre du tableau, se trouve l’horloge numérique.   

LA VERSION MODENA EN VERSION LIMITÉ PARCOMMANDE EN LIGNE SEULEMENT 

Et, en exclusivité pour le marché nord-américain, il y aura une version Modena seulement pour la clientèle canadienne et américaine. Avec un dépôt de 500$, uniquement via une réservation en ligne, le modèle en édition limitée est nommé après la ville natale de Maserati en Italie et promet des combinaisons spéciales de peinture et d’équipement non disponibles sur les modèles réguliers.   

Le prix de la version GT de base du Grecale commence à 71 900 $, dès l’automne 2022  dans les concessionnaires Maserati du Québec.   

Le nouveau constructeur de voiture électrique vietnamien Vinfast annonce le prix de ces deux premiers VUS pour le Canada. Le VF 8 est proposé à un prix de départ de 51 250 $ tandis que le VF 9 affiche une facture d’entrée de 69 750 $. Et tout semble bien fonctionner pour Vinfastpuisque plus de 300 acheteurs ont déjà réservé leur véhicule en une semaine seulement. 

Le constructeur mise sur l’achat de ces véhicules via le web. Comme pour Tesla. En ce moment l’on ne connait pas la suite concernant les points de service. Cette jeune compagnie est établie au Vietnam depuis 2017. Cette division est membre du groupe Vingroup, un congloméra établi depuis 1993. 

Les premières unités devraient être livrées d’ici l’automne prochain.