L’ex amoureux d’Hélène Boudreau, la star du porno Jessy Jones, a lancé une gigantesque bombe alors qu’il se trouvait en direct sur la plateforme Instagram.
En effet, celui qui a définitivement toujours énormément de rancœur envers son ex-copine très connue du Québec a récemment fait un direct dans lequel il accuse Hélène de plusieurs choses graves et où il raconte être en guerre judiciaire avec celle-ci.
Dans ce direct de plusieurs minutes, qui a ensuite été publié sous forme de vidéo sur son compte, Jessy mentionne être en train de poursuivre Boudreau pour voies de fait, voie de fait armée, ainsi qu’au civil pour un montant de 500 000$.
Manipulatrice, borderline, menteuse… il n’y a pas été de main morte quant aux qualificatifs employés pour décrire celle avec qui il a été en couple par le passé.
Ce n’est pas la première fois que l’on assiste à une bagarre virtuelle entre les deux individus, mais celle-ci va particulièrement loin puisque l’acteur du X accuse cette fois la fille de l’UQAM d’avoir tenté… de faire assassiner quelqu’un!
«(…) Tu as dit en avant de trois avocats (…) c’était enregistré, que tu as essayé de faire tuer le gars qui t’a prêté l’argent pour les condos. Tu sais que tu vas en prison, right? (…) Tu t’en vas en prison, il y avait trois avocats, deux civils et un avocat criminel (…)», peut-on l’entendre dire, en jubilant visiblement à la pensée que son ancienne flamme se retrouve derrière les barreaux.
Ayant été spectatrice de la scène, Hélène a réagi aux accusations portées à son égard et a semblé abasourdie et découragée par les propos de son ex.
«(…) Il m’a accusée de meurtre; il m’accuse de meurtre en live! Est-ce que vous voyez l’ampleur de la chose? Et il accuse ses amis d’être des gros criminels et il faut que je fasse attention à moi… est-ce que vous comprenez à quel point… je n’ai pas de mots (…)», lançait-elle avec une expression de choc au visage.
«(…) je ne peux rien dire, je suis en cour. Lui, il a tout étalé ça comme s’il n’y avait pas de lendemain. Il y a des mesures graves qui viennent de se passer; il a tout étalé comme si de rien n’était, mais c’est très grave là: il a étalé des conversations privées entre avocats. Je ne sais pas comment il a eu ça (…) il fait des menaces indirectes (…)», ajoutait la créatrice de contenu pour adultes.
«Il dit qu’il va gagner, qu’il me poursuit pour 500 000$, je n’ai jamais su ça, mais whatever, ok, 500 000$ de quoi? De diffamation? Il parle tout le temps de moi, chaque jour. Il ne peut pas m’apporter en cour pour diffamation, c’est lui qui me diffame, donc il ne va juste jamais gagner, de un, et de deux il m’accuse… de meurtre (…)», revenait-elle sur les allégations faites à son sujet.
«(…) si mettons que je disparais, bien vous savez c’est qui, hein? (…)», concluait-elle en insinuant que Jessy et ses amis pourraient lui faire du mal.
Elle a ensuite publié sur TikTok quelques vidéos où elle réagit encore une fois au sujet. Cependant, dans celles-ci, elle semble trouver la situation particulièrement cocasse.
«Moi qui écoute le fameux live sur ma vie. J’ai su des choses que je n’étais pas au courant de ma propre vie», lançait-elle dans un premier temps, en marge d’une vidéo de type réaction où on la voit déguster des céréales, qui semblent être aussi crunchy que cette saga.
«Moi qui écoute les potins du Québec», continuait-elle s’amusant visiblement de la situation.
Ayayaye!
Qui dit vrai?
ou qu’il n’aurait pas voté pour moi, même s’il m’aimait. M’aimer sans me le dire et sans que je lui dise. On ne disait pas ça dans notre famille « je t’aime ». Mon père était un rêveur et un passionné. Un passionné et une personne impliquée comme lui ne laisse personne indifférent. Imaginez-vous vendre (presque donner) sa compagnie à Laval pour venir élever des moutons dans un coin perdu de l’Outaouais. C’était son rêve et il l’a réalisé. Imaginez-vous partir de la ville avec quatre enfants de moins de 7 ans qui ont chacun leur chambre pour venir vivre dans une maison de 24×28, sans eau chaude et avec seulement deux chambres. Fallait qu’il y croie en son rêve! Dans le mode de vie actuel, la DPJ serait venue faire un tour pour voir si c’était normal. Les enfants? Je ne pense pas qu’on s’en rendait compte du changement. Ma mère faisait à manger et on avait notre 1$ par jour pour manger à la cafétéria de l’école et en plus, on avait la paire de jeans de l’année et des espadrilles neuves. C’est tout ce dont on avait besoin! Mon père était un travaillant et je pense que c’est ce qu’il nous a inculqué le plus. Quand tu commences quelque chose, tu le finis et tu t’arranges avec les moyens que tu as pour le faire.Est-ce que j’ai testé sa patience? Tous les jours ou presque. Mon père m’appelait son gérant dès l’âge de cinq ans. Au début, il trouvait ça drôle… Mon amour pour les encanteurs vient de lui. On faisait les encans pour acheter ou vendre des moutons. Ça m’impressionnait de le voir faire un signe de la tête sur un chiffre que je n’avais pas compris. J’étais jeune et je me disais que cet homme est un génie de comprendre : « 1 dollar, bidder now 2 » Et il fait signe de la tête d’un geste assuré? J’essayais de comprendre et il était concentré. Mon père était un héros… Avec mon père, tu ne pouvais pas juste faire quelque chose, il fallait que tu t’impliques. Quand j’étais jeune, je voulais des pigeons, j’ai donc élevé des pigeons, j’ai fait les expositions et j’étais dans l’association des éleveurs de pigeons. C’était comme ça avec lui! Si tu avais une passion, mon père te poussait à la vivre au maximum et il s’impliquait. Paradoxalement, je me suis lancé en affaires au même âge que lui, à 33 ans. Est-ce qu’il a réussi sa vie? Il n’est plus là pour y répondre, mais quand tu as quatre enfants et que les quatre travaillent sur la ferme en harmonie pour continuer ce qu’il avait débuté, je pense qu’il peut se reposer en paix. Ça reste que c’est un départ, un départ sans retour, et je déteste ça. Ma consolation? Il ne souffre pu et il est avec ma mère. Je t’aime xxx», lançait-il, en nous en apprenant un peu plus sur sa jeunesse, son éducation et sur où il vient.