Claude Meunier et Marc Labrèche sont en désaccord avec une décision de Radio-Canada.
La petite vie sera de retour dans une nouvelle mouture de six épisodes dès demain (3 octobre) sur la plateforme ICI Tou.tv EXTRA, un moment que plusieurs attendent avec impatience.
Une décision qui ne fait certainement pas l’unanimité et qui a été abordée à Tout le monde en parle.
«Claude, avant d’être en ondes sur ICI Télé, l’émission sera diffusée sur ICI Tou.Tv, as-tu peur que ça nuise aux cotes d’écoute lors de la diffusion sur la grande chaîne?»
«Pars-le pas là-dessus!», lance alors rapidement Josée Deschênes, laissant deviner qu’il y a un problème avec la décision aux yeux de son auteur.
«Pars-moi pas là-dessus! Mais, écoute, moi, ce n’est pas mon choix, c’est le choix du diffuseur. Moi, je trouve… j’aurais bien aimé que La petite vie soit à la télévision générale en partant (…)», dévoile Claude Meunier en premier lieu.
«Évidemment, moi c’est certain en tant qu’auteur et en tant que comédien, j’aurais aimé mieux que ça sorte, comme peut-être tu aurais aimé mieux que ta série sorte quelque part à la télévision publique (…)», lance-t-il ensuite à l’attention de Guy A. Lepage, faisant ainsi référence au retour d’Un gars un fille.
«C’est comme le choix du rôtisseur, tu voulais avoir la poitrine, puis tu as la cuisse», répond avec humour Guy A. Lepage.
«C’est un peu ça. C’est des amateurs de cuisses», lance Claude Meunier, reprenant la balle au bond.
Mais, Claude Meunier peut aussi compter sur Marc Labrèche, qui a également pris la parole sur le sujet et qui s’avère en accord avec le créateur de La petite vie.
«Je vais dans ton sens. Si je peux me permettre. Tu sais, pendant 30 ans, les reprises ont été vues par le public qui regardait la télé générale et qui a fait vivre cette série-là pendant 30 ans, qui ont apporté de l’argent au diffuseur, sans que ça coûte grand-chose au diffuseur. Puis, je pense qu’élégamment, ça aurait été le fun que Radio-Canada redonne d’abord à ces gens-là et à ce public-là (…) Moi, il me semble que c’était un juste retour des choses», lance Marc, aussi visiblement déçu.
La femme de Michel Côté, Véronique Le Flaguais, était présente.
Cette soirée spéciale s’est par la suite terminée avec la chanson que Serge Thériault, alias Moman, reliait à son personnage, soit J’ai un amour qui ne veut pas mourir.
Malgré que Léa et Mathieu P. s’entendent bien, ils ont tous les deux avoué qu’ils auraient aimé faire le voyage avec quelqu’un d’autre…
L’émission de dimanche a débuté avec le fabuleux voyage de Léa et Mathieu P. à Copenhague au Danemark.
Il s’agissait effectivement du deuxième voyage de la saison et ceux-ci ont été gâtés avec une magnifique chambre d’hôtel luxueuse et des activités telles qu’un tour de vélo à travers la ville et un tour de bateau électrique où ils ont pu discuter de tout et de rien. Ils ont aussi eu la chance de faire du ski sur gazon et de dormir dans une chambre d’hôtel dans le haut d’une grue!
Malgré que les deux candidats s’entendent bien, ils ont tous les deux avoué qu’ils auraient aimé faire le voyage avec quelqu’un d’autre. Le top 1 de Léa est Vincent, tandis que Mathieu P. a Rébecca dans l’oeil depuis un petit bout. Il n’y a donc eu aucun rapprochement durant le voyage et ils n’ont pas eu beaucoup de conversations, mais ils ont tout de même eu beaucoup de plaisir!
Deux autres candidats ont, eux aussi, eu la chance de faire une activité, soit visiter la magnifique ville de Ronda en Espagne et descendre une rivière en rappel. C’est Laurence qui a été choisie et celle-ci a décidé d’y aller avec Jérémy. En plus, selon Laurence, l’activité les a beaucoup rapprochés et elle l’a trouvé très galant, puisqu’il lui a tenu la main à certains moments et l’a fait sentir en sécurité.
C’est par la suite en marchant dans la ville qu’ils ont vu qu’ils se plaisaient bien, malgré le fait qu’ils ne sont peut-être pas rendus à la même place dans la vie. En effet, il reste deux ans d’études à Laurence avant de finir son université et Jérémy a finit les études depuis un petit bout. Par contre, ce n’est pas quelque chose qui semble les déranger!
Au party de la semaine, qui était à thématique de mariage, c’est Lara qui a attrapé le bouquet et il semble que le bouquet ne s’est pas trompé… car elle et Vincent commencent vraiment à s’aimer! Lui se perd dans ses yeux et est complètement déstabilisé, tandis que Lara n’en a rien à faire des autres garçons… elle ne veut qu’être avec lui!
Vincent a même laissé une fleur sous son oreiller avant de partir… trop mignon!
Il y a également Marie-Andrée et Anthony qui commencent à développer un petit quelque chose… Effectivement, Anthony n’avait que le goût de l’embrasser et Marie-Andrée sent qu’elle a enfin trouvé la petite étincelle en lui.
Rébecca et Mathieu P. sont aussi en train de s’attacher l’un à l’autre et souhaitent prioriser leur temps ensemble le plus possible. Ils ont aussi tellement de points en commun qu’ils sont tannés de se dire «moi aussi» sans arrêt!
Du côté de Mia et Simon, ça ne semble pas aussi simple. Celle-ci a hâte de tomber en amour avec Simon, mais elle doit constamment se faire rassurer qu’elle n’est pas avec lui par défaut et qu’il souhaite réellement être avec elle.
Bref, toujours pas de french pour l’instant…
Concernant l’élimination de la semaine, les garçons ont dû délibérer afin d’éliminer une fille de l’aventure.
Les filles en danger?
Il s’agissait de Laurence et Léa.
Les garçons ont longuement discuté et même si la décision n’a pas été unanime, c’est malheureusement Léa qui a dû partir.
Elle aura eu une très courte aventure, mais aura tout de même pu profiter d’un beau voyage au Danemark!
C’est en montrant une scène marquante de son personnage dans la série que Claudia a abordé le sujet.
«Les deux premières saisons, j’étais en couple avec Lou-Pascal, c’était mon amoureux (…) Nous, on était des meilleurs amis dans la série et on s’est laissés à la saison 2», explique Claudia.
«Dans la vraie vie, vous vous êtes laissés?», demande alors l’animateur André Robitaille.
«Dans la vraie vie, on s’est laissés à la saison 2 (…) Puis, c’était fou, parce que dans la vraie vie, on se posait la question si on était prêts à vivre en appartement ensemble. Puis, dans la série, nos personnages emménageaient ensemble au moment où on se séparait. À la saison 5, donc la dernière, nos autrices ont décidé de nous faire finir ensemble. Ça a été à la fois un grand défi, ça a vraiment été une personne importante et aussi une séparation difficile. Ça a été long pour nous deux se reconstruire après tout ça (…) à la saison 5, on recommençait à faire comme: Hey, on est good on peut être amis!», se confie la star.
Rappelons que les deux semblent très heureux dans leur vie respective, puisque Claudia est une étoile montante de la chanson et Lou-Pascal est l’un des acteurs les plus populaires du moment, en plus de vivre avec son amoureuse Marina Bastarache.
«De voir les producteurs poser dans leur château avec l’argent des contribuables, je trouve ça révoltant.»
L’acteur québécois François Arnaud, qui connaît une carrière impressionnante aux États-Unis et dans le marché anglophone, était de passage à l’émission Dans les médias où il abordait justement la grève des syndicats qui représentent les acteurs et les scénaristes à Hollywood.
Rappelons que les artistes hollywoodiens ont pris une telle décision en raison des droits résiduels et de suites, ainsi que de l’utilisation de l’intelligence artificielle au sein de productions, entre autres.
Mais, ici, un tel bras de fer se profile également dans le milieu québécois, sauf que nos artistes et producteurs semblent moins enclins à en parler ouvertement.
Pourquoi?
C’est notamment ce que François Arnaud nous a permis de comprendre lors de son entretien avec Marie-Louise Arsenault.
«Au Québec les revendications sont un peu…», débute François Arnaud timidement.
«Parlons-en, parce que la semaine dernière… il y a des revendications des techniciens aussi, ils sont des milliers à faire partie d’un regroupement qui s’appelle l’AQTIS, des gens avec qui on travaille d’ailleurs en font partie. Ce soir, ils ont lancé une pub pour leurs conditions de travail, qu’ils trouvent de plus en plus difficiles eux aussi! On en regarde un extrait?», explique Marie-Louise en prenant la balle au bond, en présentant une publicité qui met en vedette Vincent Bolduc et Marie-Hélène Thibault, montrant l’ironie des budgets attribués au Québec actuellement versus les demandes des producteurs.
«On entend ça depuis plusieurs années, autant de la part des techniciens que des acteurs et des scénaristes: Tout va de plus en plus vite, il y a de moins en moins d’argent, on travaille de plus en plus avec beaucoup de pression. Il y a une vraie grogne ici aussi, vous travaillez ici aussi, même si vous avez une vraie carrière aux États-Unis. Est-ce que vous la sentez cette grogne-là, François?», veut savoir l’animatrice.
«Moi, j’ai surtout travaillé au cinéma ici dans les dernières années, plus qu’en télévision. Alors, je n’ai jamais tourné 44 pages par jour! D’abord, je pense que je ne suis pas capable, je ne suis pas assez bon. En tout cas, je pense que je suis assez bon pour être au niveau de mes espérances à moi et de mes attentes à moi. Je pense qu’il y a des gens qui ont des dons pour ça, mais en même temps, ça fait des années que les gens se plaignent, puis c’est toujours, en bon français, un Catch-22… parce qu’on veut montrer qu’on fait bien notre travail, mais en même temps, si on s’époumone à réussir à faire quelque chose de bien dans des conditions épouvantables, après ils n’ont aucune raison… les producteurs n’ont aucune raison de nous en donner plus (…) C’est comme ça que ça se passe en quotidienne», répond avec la plus grande franchise l’acteur.
«Vous savez que Julie Le Breton a dénoncé ça et elle subit le courroux depuis ce temps-là?», lui mentionne Marie-Louise.
«Ah! Non, mais je vais l’appeler, parce que c’est ce qui m’attend (…)», lance avec un brin d’humour François Arnaud.
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«Je ne croirais pas, mais ce qu’on sent, François c’est… allons-y. Je crois qu’il y a une vraie grogne chez les acteurs et ils sont en négociations avec l’UDA à l’heure actuelle…», renchérit alors Marie-Louise Arsenault.
«Ça n’a aucun sens de tourner la répétition (…) c’est ridicule», avoue alors, visiblement outré, François Arnaud.
«Mais, ils sont frileux, parce qu’on essaie de les inviter, puis ils ne viennent pas parler. Pourquoi vous pensez? Est-ce qu’ils ont peur des représailles?», demande l’animatrice chevronnée, en dévoilant au passage beaucoup sur la situation actuelle.
«Moi, je pense qu’il doit y avoir des producteurs qui sont particulièrement vengeurs! Je ne sais pas… je ne sais pas», répond la star.
«Qu’est-ce que vous entendez autour de vous? Vous avez plein d’amis qui sont des stars, qui travaillent beaucoup», insiste alors Arsenault.
«Oui, oui, oui», acquiesce Arnaud.
«Qu’est-ce que vous entendez, est-ce qu’ils vont aller en grève, François?», renchérit l’animatrice.
«Je ne sais pas. Je sais que ça se passe très très mal, les négociations. Les négociations se passent mal entre… je ne suis pas au courant pour l’artiste, mais entre l’UDA et les producteurs de cinéma, de télévision, ça ne se passe pas bien», dévoile alors François Arnaud avec franchise.
Les producteurs auraient ici d’ailleurs de moins bonnes excuses qu’aux États-Unis, selon l’acteur.
«À Hollywood, ils ont quand même l’excuse d’être des capitalistes sauvages. Alors qu’ici, c’est de l’argent de l’état, c’est l’argent des contribuables (…) C’est un investissement de l’état dans sa culture et puis le fait que la répartition des profits… de voir après ça les producteurs sans gêne poser dans leur château avec l’argent des contribuables, je trouve ça comme révoltant», conclut un François Arnaud visiblement troublé par la situation.
La star mentionne aussi qu’il est important d’avoir de bonnes conditions pour faire ce métier et que le public a peut-être plus de misère à s’identifier aux revendications, vu l’idée du glamour, mais que la télé et le cinéma sont des vecteurs importants du bien-être chez plusieurs Québécois.
L’excellent talk-show Je viens vers toi est de retour pour une deuxième saison et chaque semaine des moments très divertissants sont de la partie.
C’est notamment le cas lorsque l’animateur Marc Labrèche était en compagnie de Vincent Graton (qui lui était présent à titre de chakra) et que les deux hommes nous ont partagé l’une de leurs pires critiques respectives reçues en carrière.
On se retrouve dans une semaine 😗✌️🍁Nouvelle case horaire pour l'émission : lundi et mardi 21h à Noovo et sur noovo.ca 🗓#jeviensverstoi #MarcLabrèche #fallvibes
Un sujet qui est arrivé à la table lorsque que l’invitée du jour, Magalie Lépine-Blondeau, affirmait plutôt bien vivre avec la critique, malgré le fait que Marc théorisait qu’une femme sous le signe astrologique du Lion vivait pourtant souvent mal avec la pression critique.
«Toi Vincent, tu es Taureau! C’est confirmé par France Beaudoin. Je n’ai rien à ajouter là-dessus. Sérieusement, toi, tu vis bien avec la critique, Vincent?», demande ensuite avec humour Marc Labrèche.
«Je m’en sacre pas mal! Je pense que je suis vraiment rendu là! Pas au début de ma carrière. Je me souviens d’une critique terrible de Robert Lévesque (…) Il avait écrit…», débute Vincent Graton.
«Robert Lévesque est le critique du devoir, du théâtre, il y a longtemps», précise alors Marc Labrèche pour le public et les téléspectateurs.
«Il avait écrit: Cet acteur… J’avais 22 ans genre… cet acteur à l’increvable superficialité (…) J’étais rentré dans le bain, je pense que j’ai failli me noyer (…) Il a réussi à détruire mon égo rapidement, mais je suis ressuscité!», lance Vincent.
«Toi, Marc, tu vis bien avec la critique?», veut alors savoir la chakra Pascale Renaud-Hébert.
Quoi de mieux que de retrouver sa grande chum autour de la table grande de l'amitié. 🫂Photo: Ève B. Lavoie
«Oui. Maintenant, oui. Mais, comme Vincent, j’ai eu moi mon premier show de théâtre… c’est un critique qui s’appelait Martial Dassylva dans La Presse, puis qui avait écrit… j’avais 17 ans, c’était au Rideau Vert. Puis, là, il disait: Quand tu as Marc Labrèche, le fils de Gaétan Labrèche, c’est une copie conforme en beaucoup plus pâle et en beaucoup moins bon. À cet âge-là, c’est épouvantable», explique le désormais légendaire Marc Labrèche.
En effet, l’humoriste et animateur nous offrait un moment de vulnérabilité en lien avec un souvenir qui a fait remonter des émotions chez lui.
C’est lors de la présentation d’une vidéo souvenir de 1990, le montrant dans une entrevue avec Serge Gainsbourg, dans son personnage de Raymond Beaudoin, que l’on a pu voir un Pierre très émotif, et il nous explique pourquoi!
«C’est la première fois que je le vois de cet angle-là, j’ai toujours vu le montage final de 100 limite. Ça me touche parce que mes parents étaient dans la salle et ils sont en Abitibi», dévoile Pierre, les larmes aux yeux.
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«Tu t’es vu travailler, en tout cas, que ça prenait un courage énorme?», lui demande alors Mélanie.
«Oui, c’est malade. Ça vient toujours me chercher des moments (…) Il y a derrière ça beaucoup d’histoire dans Raymond Beaudoin. Il y a eu beaucoup de travail aussi et étonnamment un peu de souffrance quand même. Parce que je disais que j’étais un peu groupie, peut-être pour me justifier, mais c’était énormément sortir de soi. Ce qui est venu me chercher, c’est que mes parents étaient dans cette salle-là (…) Je suis désolé, je vais reprendre mon souffle», termine Pierre avec beaucoup d’émotions.
Le chanteurKing Melrose a annoncé tout récemment l’arrivée de son fils, le petit Milo, et c’est mignon à souhait!
«Bonjour à tous, nous sommes fous de joie de vous présenter notre petit Milo! Sa venue au monde a été rendue spéciale grâce à Sophie (la mère lol), qui a été incroyablement exceptionnelle. Un énorme merci à tout le personnel du CHUM pour leur dévouement et leur gentillesse. Bienvenue dans nos vies, petit bonhomme», lançait-il, visiblement comblé.