C’est sur Instagram qu’elle a décidé de se confier davantage sur cette période de grands changements alors que quelques rumeurs couraient à son sujet et sur sa situation amoureuse.
«Vous êtes plusieurs depuis hier à m’envoyer un profil Tinder de Fabrice et me demander si c’est vrai! Eh oui!! J’ai décidé de prendre un break, une pause… et remettre en perspective ce que je veux vraiment. On est tous les deux sur les applis de rencontre… histoire d’échanger… se changer les idées… Les derniers mois sont fous… Papa est parti… il y a plein de changements et d’adaptations dans ma vie et j’ai de la difficulté à être transparente sur les réseaux. Je suis limitée à montrer ma réalité parce qu’elle inclut d’autres gens qui ne veulent pas être montrés ou mis sur les réseaux. Vous ne pouvez pas tout comprendre… et vous ne pouvez pas tout voir malheureusement. Mais je me sentais trop mal de ne pas vous faire part de ce détail. C’est une année de m*rde, mais j’ai confiance que le soleil va revenir», s’est exprimée Khateconcernant sa relation amoureuse.
Il semblerait donc que le couple ait décidé de prendre une pause afin d’explorer de nouvelles avenues.
On lui souhaite beaucoup de courage pour passer à travers ces moments douloureux…
…et beaucoup d’amour afin de l’aider à retrouver le bonheur.
«Petite fin de semaine sans réseau au chalet de mes parents. Histoire de prendre une pause et d’essayer de respirer dans ce tourbillon d’émotions. C’est si beau le Québec au cœur de l’été. Les couleurs, les odeurs enracinées dans mon cœur comme un parfum de nostalgie d’enfance et de doux souvenirs. Mon papa a eu 74 ans ce week-end. Il n’est pas du tout réseaux sociaux, mais il est un être de lumière et de résilience, qui m’a inculqué de belles et bonnes valeurs. Je voudrais avoir le quart de sa forme, sa vivacité et sa volonté quand j’aurai son âge», a écrit Mirianne sous plusieurs jolies photos de son séjour.
Korine Côté a partagé plus de 15 ans de sa vie avec cet homme avec qui elle a également eu un enfant en janvier 2019; un petit garçon qu’ils ont nommé Henri.
Heureusement, elle peut compter sur ses parents pour l’aider dans sa nouvelle situation familiale puisqu’elle habite dans un duplex multigénérationnel avec ces derniers.
Rappelons que Korine Côté animera son premier gala ComediHa! le 11 août prochain.
Geneviève Schmidt passe un été occupé, entre la promotion du film Nos Belles-Sœurs et les tournages de la quotidienne STAT, qui reprendront le 22 juillet.
La semaine dernière, en plein marathon d’entrevues pour le film de René-Richard Cyr, où elle tient le rôle principal de Germaine Lauzon, la comédienne n’avait même pas encore eu le temps de lire les textes du début de la troisième saison de STAT, qu’elle a récemment reçus. Elle n’avait parcouru que ceux de la première demi-heure, dont l’action, promet-elle, s’annonce captivante.
Rappelons que son personnage d’Isabelle Granger, au dernier épisode de STAT diffusé au printemps, recevait un diagnostic de cancer du sein, qui tombait évidemment comme un coup de massue.
«On commence sur les chapeaux de roue. Ça commence fort!», s’est bornée à répondre Geneviève au sujet du retour de STAT, bien décidée à ne pas en révéler davantage.
L’interprète comptait profiter des déplacements entre les différentes villes où l’équipe de Nos Belles-Sœurs devait aller rencontrer le public, pour se plonger plus profondément dans les prochaines histoires concoctées par l’autrice Marie-Andrée Labbé.
Pourquoi elle?
Geneviève Schmidt s’est fait beaucoup plus loquace en entrevue lorsque nous avons abordé le sujet des fameuses Belles-Sœurs qui constituent certainement l’une des curiosités culturelles de l’été au Québec.
«C’est un grand film», a lancé la sympathique artiste de 45 ans, qui se trouvait de prime abord trop jeune pour incarner la mythique Germaine Lauzon de Michel Tremblay.
Lorsque René-Richard Cyr (qui l’avait dirigée dans son premier contrat sur scène à sa sortie de l’École nationale de théâtre, dans la pièce L’effet des rayons gamma sur les vieux garçons, au Théâtre du Rideau Vert, en 2009) a insisté pour lui confier le rôle, Geneviève a fait confiance au scénariste et réalisateur et n’a pas cherché à savoir ce qu’il voyait en elle pour l’identifier à pareille figure importante de la littérature d’ici.
«René-Richard a réussi son défi. En une heure quarante, on rit, on pleure, on réfléchit. Il y a de quoi être fiers, de montrer pour la première fois à l’écran l’œuvre québécoise la plus jouée dans le monde…! On l’a fait, et je trouve qu’on l’a bien fait!»
Il s’agit d’un premier rôle central au cinéma pour Geneviève Schmidt, mais du 14e film auquel elle participe.
«Je ne rêvais pas à ça! Je ne suis pas carriériste. Chacun fait sa route», a complété celle qui dit avoir eu un plaisir fou à travailler avec ses camarades des Belles-Sœurs, notamment Steve Laplante, qui personnifie son mari à l’écran.
«Je suis confiante à 99,9 % que le film va fonctionner!»
Et elle a probablement raison, alors que le film a engrangé pas moins de 500 000$ au box-office québécois en un seul week-end depuis sa sortie.
«À la fin de la journée, les vrais resteront toujours ceux qui se choisissent mutuellement. So cheers to my chosen ones», lançait-elle définitivement reconnaissante d’avoir des gens sur qui compter.
C’est d’abord un hommage sincère, senti et plein de cœur à Rose Ouellette, alias La Poune. Avec de petites pointes de leçons d’histoire du Québec. Et c’est, en somme, une très belle pièce de théâtre musical.
Le spectacle La Géante, mettant en vedette une émouvante Gabrielle Fontaine dans le rôle-titre, est un magnifique objet créatif, instructif, sur une géante dont on sous-estime collectivement le legs.
Les multiples couches de l’histoire encapsulent des pans de la culture québécoise, dans une facture audacieuse et peu conventionnelle, appelant l’intelligence et l’imagination du spectateur. Il faut toutefois une certaine maturité pour en apprécier la finesse et le propos, d’autant plus que l’enchaînement est long (deux heures trente, avec entracte). En oubliant certains discours un peu plaqués, La Géante se révèle un petit bijou que, gageons-le, Rose Ouellette n’aurait pas renié!
L’équipe du Théâtre de l’Oeil Ouvert (idée originale, textes et paroles de Geneviève Beaudet, mise en scène de Jade Bruneau, également comédienne, et musiques d’Audrey Thériault) n’offre pas une biographie traditionnelle de La Poune. On ne la relate pas linéairement, de son enfance à son trépas, avec un comédien pour chacun des visages importants rencontrés dans sa vie.
La troupe a plutôt choisi de créer une sorte de conte fantastique à forte tendance onirique. Le chemin de Rose Ouellette s’expose parfois en dialogues, parfois en chansons de groupe ou solo appuyées de chorégraphies, parfois à travers les mots du narrateur, un cheminot incarné par Simon Fréchette-Daoust qui, à bord de son tramway, traverse les époques.
Le tout, en tableaux relativement courts et défilant rondement, où se distillent une foule d’informations intéressantes sur Rose Ouellette et le contexte social et politique où celle-ci évoluait.
Du Faubourg à aujourd’hui
C’est ainsi qu’on découvre Rose Ouellette enfant, «la p’tite tannante du Faubourg à m’lasse», surnom qui lui collera longtemps. Rose Ouellette, petite comique délurée qui faisait rire tout le monde, même le curé chargé de la sermonner, au grand désespoir de sa mère (Jade Bruneau). Le mot «actrice» ne rimait-t-il pas alors avec «vice»…?
Les premiers concours et auditions, l’atmosphère (et l’odeur!) du Faubourg à m’lasse, le séjour obligé à la Duchess Shoes Factory, les Guerres 14-18 et 39-45, le snobisme du milieu théâtral dramatique (au Monument-National!) envers le théâtre populaire (le National!), le krach boursier de 1929, l’élection de Rose à la tête du Théâtre Cartier, puis du Théâtre National, les numéros burlesques : voilà tant d’épisodes de la vie de La Poune qui se déploient concrètement ou poétiquement dans La Géante.
Bien sûr, on consacre de consistants et délicats segments à sa douce et pure romance, cachée au grand jour, mais connue dans leur garde rapprochée, avec sa secrétaire Gertrude Bellerive, rebaptisée Gigi (Jade Bruneau).
La Poune est souvent flanquée de sa camarade Juliette (Stéphanie Arav). Béliveau, Huot, Pétrie? Toutes les Juliette de Rose Ouellette se contiennent en une seule personne. Aucun acteur ne personnifie Olivier Guimond, mais la complicité de La Poune et Ti-Zoune se dépeint dans une mélodie à l’unisson… où volent les tartes à la crème! Les «vilains» Colette Monté (Rita Tabbakh) et Gabin Solent (Christian Laporte), eux, se présentent sporadiquement comme les antagonistes des volontés de notre héroïne; ils sont les commères de la bien-pensance ou les patrons licencieurs… En fin de piste, Gabrielle Fontaine, en tenue de 2024, s’exhibe en actrice-humoriste-femme d’affaires moderne, digne descendante de Rose Ouellette.
Et, avec ses musiciens en fond d’espace, sa grande passerelle planchée de bois et son jeu de chaises manipulées par les acteurs, La Géante revêt un côté «fait maison» faisant justement écho aux années de cabaret de Rose Ouellette. La boucle est bouclée.
Gabrielle Fontaine ne manque pas de tonus dans la peau de la fantaisiste Ouellette. Bien sûr que l’interprète de Passe-Carreau arbore la chevelure rousse et le gabarit physique nécessaires, mais elle matérialise aussi efficacement la gestuelle rustre et un peu empêtrée de son alter ego née en 1903. Respectueusement, sans verser dans la caricature.
Rose Ouellette s’est estampée dans l’imaginaire populaire récent comme l’amuseuse au «petit chapeau» et aux blagues de vaudeville, comme une porte-étendard des années de gloire de l’humour salace. Ses célèbres paroles «J’aime mon public et mon public m’aime» , et le slogan qu’elle scandait dans une publicité de bière Molson particulièrement marquante («La rousse, ‘est douce!») dans les années 1990 ont aussi traversé le temps.
Pourtant, il y a beaucoup à connaître sur cette femme, menue de corps, mais tellement grande de caractère, de détermination et d’indépendance d’esprit. «Vous faire rire, c’est ma vie», répète-t-elle souvent dans La Géante, tel une fatalité que Rose Ouellette imposait silencieusement et sans violence : elle ne serait jamais autre chose qu’une artiste. La Géante constitue le coup de chapeau et la révérence empreints de considération que le Québec ne lui avait encore jamais adressés.
La Géante tient l’affiche du Centre culturel Desjardins de Joliette jusqu’au 10 août, du Carré 150 de Victoriaville du 15 au 31 août, et partira ensuite en tournée, avec un arrêt au Théâtre Maisonneuve de la Place des Arts le 5 juin 2025. Pour informations: lageante.ca.
En effet, celle qui avait l’habitude de partager plusieurs photos et vidéos avec celui-ci sur ses différents comptes de réseaux sociaux n’a rien publié le concernant depuis un moment.
De plus, la créatrice de contenu ne semble plus être abonnée à son compte sur Instagram…
De son côté, Andy l’était toujours au moment d’écrire ces lignes.
On peut aussi remarquer que quelques photos les concernant ont disparu du compte d’Élisabeth, dont celle-ci.
Dès le tout début de l’épisode, Marie-Claude a abordé le rôle qu’à tenu Hubert dans Indéfendable, émission dans laquelle il incarnait Pierre Poirier, un personnage qui a de lourds problèmes de santé mentale.
Puisque l’on n’a pas l’habitude de voir Hubert incarner ce genre de personnage, l’animatrice lui a demandé si le fait de l’avoir joué avait changé quelque chose dans sa carrière.
«Oui, ça a changé beaucoup, beaucoup, beaucoup de choses! (…) Il y avait eu Léo, où j’avais réussi à montrer tout mon côté funny (…) survolté, comique, drôle et puis là, on est dans le registre complètement contraire; dans le tragique. C’est un personnage extrêmement tragique et il y a la complexité dramatique aussi, tsé jouer un rôle qui a des personnalités multiples, dans le contexte de faire ça en quotidienne, où est-ce qu’on n’a pas beaucoup de temps (…) le début du tournage d’Indéfendable, c’était quand même assez tout croche, c’étaient de drôles de conditions de travail», expliquait-il en ajoutant qu’en plus, il n’était pas supposé jouer ce rôle, puisqu’il avait été confié à un autre acteur, mais que finalement deux semaines avant les débuts du tournage, il avait appris qu’il l’incarnerait.
Il mentionne ensuite que ce rôle a changé le regard que les téléspectateurs posent sur lui.
«(…) Avant, on faisait juste m’interpeller pour Pouliot, donc les gens s’en permettaient beaucoup, mais des fois là, les gens à cause de Pierre Poirier dans Indéfendable (…) ils ont juste envie de me prendre dans leur bras», racontait-il visiblement touché et content d’avoir maintenant ce genre d’interaction avec le public.
Hubert a continué en expliquant que sa réputation avait aussi changé dans le métier, auprès des diffuseurs et des producteurs, qui savent maintenant ce dont il est capable.
Ils comprennent qu’il peut sortir du moule que lui ont créé ses anciens rôles et qu’il est capable de jouer autre chose que des «tout croches».
Il mentionne aussi le bien que ça lui fait d’avoir la chance, depuis quelques années, de jouer des rôles plus diversifiés.
Petit conseil; si vous avez aimé son rôle de Pouliot dans Léo, ne lui demandez pas de reproduire son rire si vous le croiser la rue!
«(…) Quand les gens m’arrêtent dans la rue, en général je suis gentil, mais des fois ça me fait… toujours bizarre parce que moi je suis passé à autre chose, donc le rire de Pouliot je n’ai pas le goût de te le faire dans la rue, ça je ne le ferai jamais!», lançait-il en affirmant qu’on le lui demande toujours.
Il explique d’ailleurs que, parfois, les gens sont trop à l’aise avec lui et qu’une fois en particulier, il s’était fâché contre un admirateur qui lui avait parlé de son rôle de Pouliot de façon maladroite.
«Je fais le spectacle Dehors novembre sur Les Colocs. Je suis en tournée partout à travers le Québec (…) C’est un spectacle quand même hommage à Dédé Fortin qui s’est enlevé la vie… Là, on venait de faire la chanson La Comète; on voulait mettre de l’espoir dans le spectacle et après ça, on vient faire un rappel et on met le party dans la place et là, il y en a un dans la salle il fait: Hey Pouliot, envoye Pouliot! Là, je me suis comme fâché sur scène (…) j’ai dit: Hey, celui qui m’a appelé Pouliot, ferme ta gueule man! », racontait-il en affirmant s’être ensuite expliqué et excusé auprès du public.
Il conclut en expliquant que parfois, malgré l’enthousiasme, il faut savoir choisir le moment où parler de certaines choses.
Un superbe entretien, encore une fois, mené par Marie-Claude Barrette.
C’est sur Instagram que le propriétaire du Beachclub et fils de l’homme d’affaire Dominique Primeau a partagé un texte dans lequel il s’insurge contre le peuple québécois qu’il qualifie de jaloux.
«La relation du Québec avec l’argent est tellement malsaine», lançait-il en marge du fameux message où il mentionne que la jalousie est un fléau dans notre province… au point d’empêcher l’économie de croître!
À notre grande surprise, plusieurs vedettes commeGuy A. Lepage,Simon-Olivier Fecteau et Caroline Néron ont mentionné être d’accord avec ses propos, pourtant somme toute assez vagues et clichés, il faut bien le souligner.
D’autres internautes estiment quant à eux qu’il est important de nuancer et mentionnent que la frustration peut provenir du fait qu’il est difficile de voir des gens réussir en étant privilégiés grâce à des ressources et à un support financier qui ne sont pas nécessairement accessibles à tous et toutes.
D’autres ajoutent que le problème peut aussi venir de l’attitude qu’ont les gens fortunés et populaires…