Un spécial des Fêtes très croustillant
Je me suis fait tellement tromper dans ma vie
C’est lors d’un spécial du temps des Fêtes que l’émission Ça finit bien la semaine a accueilli trois invités de marque: Megan Brouillard, Alexandre Aussant ainsi que Serge Denoncourt.
Et pendant cette émission festive, nous avons eu droit à plusieurs moments croustillants qui ont certainement fait réagir les téléspectateurs!
C’est dans le cadre de l’émission qu’il a reçu un cadeau particulièrement apprécié de Jean-Michel Anctil, l’animateur. Chaque invité avait droit à un présent bien spécial sous le sapin, et pour Serge, c’était… un G.I. Joe.
Oui, oui, un G.I. Joe! Celui qu’il réclame depuis qu’il est tout petit et qu’il n’avait jamais eu.
Il s’agissait d’ailleurs du G.I. Joe personnel de Jean-Michel. Et honnêtement, on a rarement vu Serge aussi ému et heureux!

«On parle de 57 ans plus tard, j’ai mon G.I Joe», lançait Serge très content.

C’est aussi dans ce cadeau que se trouvait une question croustillante!
En effet, les animateurs ont voulu savoir à quel personnage de la crèche le metteur en scène — et notre Grinch préféré — s’identifiait le plus et pourquoi.
«Alors, je vais vous faire une réponse compliquée. D’instinct, j’aurais tendance à dire le petit Jésus, le sauveur. Mais je me suis fait tellement tromper dans ma vie que je dirais Saint-Joseph. Mais ça fait tellement longtemps que je n’ai pas baisé que je pense qu’on pourrait dire la Vierge-Marie», répondait-il.
Sa réponse a provoqué un éclat de rires général sur le plateau, et elle nous a permis de découvrir une petite parcelle de sa vie privée.
Avec son humour bien à lui, Serge a expliqué son choix d’une façon désarmante!
Le tout a débuté lorsque Jean-Sébastien a complimenté le veston de l’invité… ce qui a immédiatement donné lieu à une petite joute.
«Bien, écoute, c’est le même que toi, mais en plus cher», répondait Serge.
«Le mien coûte moins cher, mais au moins, il est à ma grandeur», avait répliqué Jean-Sébastien.

Un véritable fou rire a alors éclaté dans la salle — du pur Serge Denoncourt, avec une belle touche de Jean-Sébastien Girard. Une chose est certaine: il n’y en a pas deux comme Serge.




















