Lors du dernier épisode, une candidate s’est particulièrement démarquée de ses compétiteurs, non seulement par ses talents musicaux, mais aussi par son histoire.
Elle était de retour, cette fois à Quel Talent!, où elle nous a offert une prestation époustouflante. Cette jeune femme, atteinte d’un léger trouble de l’autisme et d’un trouble du langage, défie de nombreux tabous grâce à son amour pour la musique.
C’est en interprétant la chanson This Is Me, tout en jouant du piano, qu’elle a réussi à éblouir, non seulement le public, mais aussi les juges.
Inutile de préciser qu’elle a obtenu quatre grands OUI pour passer à la prochaine étape, sans toutefois recevoir de Golden Buzzer de la part des juges.
Depuis quelque temps, Gino prend plus de temps pour lui et sa famille. Cependant, il n’est pas resté inactif pour autant puisqu’il a travaillé sur un livre qui sera publié très bientôt, soit au début octobre.
Son livre, intitulé 3800 matins, est un projet littéraire inspiré par ses nombreuses années passées à la barre de l’émission.
«Toutes ces histoires, dans ce livre-là, sont nées à Salut Bonjour ou du moins, Salut Bonjour a eu un impact dans ma vie personnelle et familiale, alors tout part d’ici. 3800 matins, ça raconte des trucs que je n’ai pas vraiment racontés au fil des années, sur l’envers de Salut Bonjour, sur des histoires à Salut Bonjour. Sur des entrevues réussies, des entrevues manquées aussi, parfois ça arrive. Alors j’explique comment je me sentais par rapport à ces événements-là», dévoile Gino, visiblement heureux de ce projet.
Il y abordera également l’aspect familial et personnel de sa vie, en parallèle avec le travail accompli au fil des ans. Des moments parfois particuliers, tout en devant exercer son métier sous les yeux du grand public.
C’est un livre qui se vendra certainement comme des petits pains chauds!
Toutes nos félicitations à Gino!
Vous pouvez d’ailleurs acheter dès maintenant cet ouvrage en vous rendant sur le site officieldes éditions de l’homme.
Lors de sa discussion avec Matthieu Pepper, elle a abordé sa relation évolutive avec l’amour après avoir partagé 20 ans de vie avec le père de ses deux enfants, Sébastien Delorme.
«Une des choses que tu avais le plus besoin dans ta vie, c’est l’amour. Est-ce que c’est ce que tu pensais, l’amour? Est-ce que c’est ce à quoi tu t’attendais à date dans ta vie?», lui demande Matthieu.
«Ça a tellement évolué (…) J’avais comme l’idée que l’amour, c’était quelque chose de… Tu choisis quelqu’un, tu as des enfants avec lui. C’est un compagnon, mais c’est toute la parentalité aussi qui est reliée à l’amour, ça devient un peu compliqué à décortiquer. Parce que là, le sentiment d’attachement est tellement fort que tu ne sais plus où se trouve l’amour là-dedans, parce que ça s’organise différemment. Ça fait que j’ai longtemps pensé que c’était ça, jusqu’à temps que je veuille le vivre autrement. Puis maintenant, pour moi, l’amour, c’est vraiment le partage. Pour moi, c’est une façon de ne plus être seule, en fait. Parce que quand tu es amoureux de quelqu’un, tu as envie de partager des moments avec cette personne-là. Il y a comme un sentiment qui est sécurisant de dire que tu n’es plus seule», dévoile Julie avec transparence.
C’est un peu plus tard qu’elle a révélé ne plus être inconfortable dans la solitude maintenant, même si cela n’a pas toujours été le cas.
«Je suis super bien maintenant dans la solitude. Je ne l’ai pas été bien longtemps parce que moi, j’ai été en couple longtemps. Puis, tout à coup, quand tu te retrouves seule après une séparation… moi j’ai été 20 ans avec le père de mes enfants. Bien, il faut que tu réapprivoises ton quotidien. Quand les enfants ne sont pas là, c’est dur; c’est dur de passer à côté de leur chambre», ajoute Perreault, qui souligne la difficulté d’une famille autrement, notamment lorsqu’elle sait que ses enfants participent à des activités sans elle, comme elle l’a mentionné.
Finalement, elle explique avoir pris la décision de se choisir, même si elle aurait voulu conserver sa vie familiale. Une confidence en réponse à la question de Matthieu, qui voulait savoir si elle faisait le lien qu’en se choisissant, on peut parfois blesser des gens.
«Oui, parce que moi, j’ai comme tout fait ça en même temps. Je ne l’ai pas fait volontairement, puis c’est peut-être un tournant de la quarantaine (…), mais je trouve ça bête de dire ça. Puis j’aurais préféré ne pas faire ces choix-là. J’aurais préféré rester dans un travail sécurisant où je n’étais pas décevante (…). J’aurais préféré garder ma famille parce que je l’aimais ma famille. J’avais une famille en santé, puis j’avais la vie que je voulais», termine-t-elle en ajoutant toutefois que c’était la chose raisonnable à faire.
Un moment de vulnérabilité fort touchant en compagnie de Julie Perreault.
Louis Morissette a assisté au 39e Gala des prix Gémeaux, cette fois sans être accompagné de sa conjointe, Véronique Cloutier.
Cette dernière était d’ailleurs absente, car elle était malade. Elle a donc tenu à rester chez elle afin de se reposer.
Cependant, malgré qu’elle n’était pas au meilleur de sa forme, Véronique Cloutier ne semble pas avoir perdu son sens de l’humour!
C’est dans une story Instagram qu’elle a tenu à s’excuser publiquement pour la terrible coupe de cheveux qu’elle a faite à son amoureux juste avant le gala. Oups!
Malgré tout, Louis ne s’est pas rendu au Gala des Gémeaux en solo!
C’est avec sa plus jeune fille, Raphaëlle, qu’il s’est présenté sur le tapis rouge dimanche soir.
France Beaudoin a assisté à la 39e soirée des prix Gémeaux, où elle a remporté le prix de la meilleure animation dans la catégorie variétés ou arts de la scène pour son émission En direct de l’univers – Spéciale du jour de l’an.
«Je voyais notre belle Janette qui nous a ouvert le chemin à toutes, tantôt. Je voyais France Castel, à 80 ans, sur notre plateau d’En direct de l’univers, hier soir, aussi. Ça me rappelait que, quand j’ai eu 40 ans, j’ai perdu une job parce que j’avais donné mon âge ouvertement sur les ondes, alors qu’on m’avait interdit de le faire. Quand j’ai eu 45 ans, on m’a dit: hey, tu es chanceuse, profites-en! Quand j’ai eu 50 ans, on m’a dit: pourquoi tu n’irais pas en production, parce que ça se peut que ça achève. Alors à 55 ans, je vous dis simplement: merci beaucoup!», témoigne-t-elle avec sagesse et reconnaissance de pouvoir continuer de faire ce qu’elle aime malgré l’âgisme parfois présent dans le milieu de la télé.
Un moment touchant et si pertinent, signé France Beaudoin!
Cette fois, Sébastien Benoit assure l’animation, remplaçant Guillaume Lemay-Thivierge et il a d’ailleurs rempli ce rôle à merveille. Une présence et une énergie hors du commun.
N’oublions pas que Mélissa Bédard faisait également ses débuts en tant qu’enquêtrice et il est clair qu’elle ajoutera une belle dimension à l’aventure, comme elle a pu nous le prouver ce soir!
Ce fut une soirée haute en couleur et en divertissement, grâce aux performances des quatre premières personnalités masquées, soit: La Banane, Le Zèbre, La Licorne et Le Rino.
Parmi eux, plusieurs noms ont déjà été soulevés par les enquêteurs, dont pour Monsieur le Zèbre (Pierre-Yves RoyDesmarais et Claude Bégin), pour le Rino (José Gaudet, Réal Béland et Georges Saint-Pierre) et pour la Licorne (Nathalie Simard, Virginie Fortin, Lara Fabian).
Nous avons malheureusement déjà dû dire adieu à notre première personnalité, la Banane, où se cachait Gino Chouinard!
Une belle surprise qui semble avoir échappé à l’esprit des enquêteurs!
Que pensez-vous de ce premier épisode?
Ne manquez pas la suite tous les dimanches sur les ondes de TVA et TVA+, dès 18h30!
L’iconique figure québécoise, qui a contribué à démystifier plusieurs sujets tabous et qui continue de laisser une empreinte marquante au fil du temps, a eu droit à un bel hommage.
Pierre-Yves n’a pas tardé à mentionner les 99 ans de Janette et à faire l’éloge de cette grande dame!
«39, ce n’est pas 40, mais c’est tellement absurde d’attendre pour fêter. Tu sais, c’est comme si une personne avait 99 ans, est-ce qu’on attendrait qu’elle ait 100 ans pour lui dire à quel point on l’aime?», lance PY.
C’est ensuite qu’il a rejoint Janette dans la salle pour lui dire combien on l’aime, le tout sur un air bien festif!
Sur le plateau, Roch Voisine est revenu sur son intervention d’urgence, dû à ce problème qui était plus grave et potentiellement bien plus dangereux que ce que la star et ses médecins le croyaient.
« J’ai eu une infection à l’oreille, ils ont été obligés de m’opérer. Un streptocoque A à l’oreille et puis quand ils sont allés voir à l’intérieur, j’avais un autre problème potentiellement très dangereux. C’est que j’avais une fissure au niveau du cerveau. Donc ça aurait pu monter… j’ai été vraiment chanceux (…)», témoigne Roch.
C’est par la suite qu’il a révélé devoir composer avec des séquelles, pas seulement dues à ce problème de santé, mais aussi à sa longue carrière.
«Mais, as-tu eu peur que ça affecte…?», voulait alors savoir la coanimatrice Julie Bélanger.
« Bien, j’ai eu peur. Honnêtement, j’entends moins bien de l’oreille gauche. Je suis déjà un peu malentendant, parce qu’on a tellement fait de musique avec ce qu’on appelait à l’époque les wedges (…) Ça, ça nous pétait les oreilles pas à peu près quand le monde criait (…) Moi, j’ai des appareils, mais je peux faire des concerts, j’entends le monde, j’entends la musique pareil. C’est juste gossant, pour l’instant. J’espère que ça va s’améliorer», termine le chanteur sur ces problèmes qui persistent.
Stéphane Rousseau était sur le plateau de Ça finit bien la semaine en compagnie des animateurs Jean-Michel Anctil et Julie Bélanger, où il a abordé divers sujets.
C’est à la suite d’une question de Julie Bélanger que Stéphane Rousseau a révélé comment il s’était senti avant d’annoncer publiquement qu’il avait trouvé l’amour avec Julie Perreault.
«Je sais que c’est un coup de foudre, tu l’as déjà dit. Vous avez eu le coup de foudre tous les deux. Puis, que là, la rumeur circulait, puis c’est vrai qu’on commençait à l’entendre dans le milieu. Vous avez voulu prendre les rênes là-dessus. Mais, vous êtes quand même deux personnes assez discrètes sur votre vie privée. As-tu eu un petit vertige au moment de peser sur le publier de cette vidéo-là?»
«Moi, oui, clairement! Parce qu’on s’est vraiment assurés que ça allait sortir. On nous disait souvent: Ils ne peuvent pas sortir la nouvelle si vous ne l’avez pas confirmée. Mais, en fin de compte, ils allaient la sortir quand même. Alors on s’est dit: Aussi bien contrôler le message, puis ça va sortir. Mais, bon, c’est vrai qu’il y avait un petit vertige qui venait avec ça, et en même temps, on était bien excités, exaltés par notre relation. Alors on s’est dit: Pèse dessus… Non, c’est toi qui pèses dessus… C’est moi qui pèse dessus, parfait!», témoigne un Stéphane qui semble visiblement très heureux de cette relation.
Nous souhaitons beaucoup de bonheur à Julie et Stéphane et longue vie aux amoureux!
Comme son amie, Hélène, était aussi présente sur le plateau, elles ont abordé leur première rencontre qui a laissé place aux confidences du passé.
À l’époque,Bourgeois-Leclerc travaillait comme réceptionniste dans le studio où Véro répétait pour Music Hall. Un jour, elle lui a demandé si elle pouvait lui emprunter sa place pour qu’elle puisse utiliser l’ordinateur à son poste de travail.
«Sais-tu pourquoi j’avais besoin de ta place?», demande Véro, continuant cette anecdote.
«Oui je le sais, mais on le dit?», lui répond Hélène.
«Bien oui (…) J’écrivais des courriels à Louis Morissette en cachette (…) Donc, j’écrivais pendant les répétitions, parce que c’était mon seul moyen comme d’avoir… de se parler dans la journée», confie Véro sur ce qui s’agit, nul doute, des balbutiements de sa relation avec Louis.
Elle avait d’ailleurs demandé, à l’époque, à Hélène de garder le tout secret!
«Tu m’avais dit: Il ne faut pas que ça se sache», affirme Bourgeois Leclerc.
«Tu ne veux pas que ça se sache, puis tu en parles à la réceptionniste?», ajoute avec justesse Antoine Bertrand, aussi présent sur le plateau et visiblement surpris par cette histoire.
Un instant sur le plateau qui a déclenché de bons éclats de rire!