France Beaudoin, qui est animatrice depuis de nombreuses années, était pour une rare fois sur le siège des interviewés. C’est dans le cadre de l’émission Pour une fois qu’elle était l’invitée spéciale et qu’elle a fait face à quatre entrevues en compagnie de personnalités publiques.
C’est lors de son moment avec la patineuse de vitesse Kim Boutin, qu’elle apprécie d’ailleurs grandement, qu’elle a abordé son burn-out, qui découle en partie d’une grande épreuve familiale.
Une phase de sa vie sur laquelle elle s’est confié suite à la demande de la sportive qui voulait savoir si, à un certain moment, France avait été trop loin.
«Oui, j’ai fait un burn-out. J’ai fait un épuisement, puis jamais je ne vais me ramener là. C’est… jamais, mais c’était circonstanciel aussi: le décès de mon père… bon, un paquet d’affaires. Puis, justement, un degré de performance qui n’avait pas de sens. En fait, c’est comme si j’évaluais la perfection dans ne pas te tromper, pas ci, pas ça, alors que quand tu te trompes… c’est ça que les gens aiment (…) Tout le monde aime le naturel (…) Je me suis poussée trop loin à être trop exigeante (…)», témoigne avec franchise l’animatrice par excellence.
Un moment de vulnérabilité très touchant en compagnie de la grande France Beaudoin!
En espérant que ce message fasse écho et qu’il poussera certaines personnes à aller chercher de l’aide en cas d’épuisement.
Lors du dernier épisode, il s’est passé plusieurs choses et c’est avec regret que nous avons dû dire au revoir à une candidate et un candidat! Les jeunes espions, c’est-à-dire les enfants des participants, ont dû décider qui avait atteint la fin de son aventure. Leur choix s’est arrêté sur Julie, qui avait d’ailleurs mentionné plus tôt qu’elle ne voyait pas de connexion possible avec les hommes présents.
Une décision plutôt logique, donc!
Le candidat sélectionné pour plier bagage fut Alain, qui, bien qu’il n’ait peut-être pas réussi à conquérir le cœur d’une femme durant l’aventure, a indéniablement conquis celui du public. Toujours vulnérable, touchant et respectueux tout au long de son parcours, Alain a quitté en véritable gentleman. Lorsque lui et Julie ont découvert l’existence d’une salle secrète, Alain a su trouver les mots justes pour s’adresser aux enfants de ses amis rencontrés dans l’émission.
«Je veux juste vous dire quelque chose (…) Vous avez des parents extraordinaires qui vous aiment. Si vous tenez de vos parents, vous allez toujours vous faire aimer dans la vie! Puis tout le monde va toujours vous respecter. C’est grâce à vous si on a vécu une belle aventure», témoigne Alain.
On l’adore et il va décidément nous manquer… On lui souhaite le meilleur pour la suite de son parcours!
Nous avons également eu droit à l’arrivée d’une nouvelle candidate, Karina, une grande et jolie dame de 45 ans qui a tapé dans l’œil de David et Maurice. Elle a eu un moment en tête-à-tête avec deux candidats, mais c’est David qui semble lui plaire le plus.
Rappelons que Maurice a aussi de l’intérêt pour Sandy!
C’est avec surprise que nous avons vu Jonathan bouleversé lors du dernier épisode, mentionnant même qu’il voulait probablement quitter l’aventure. Rappelons qu’il avait une belle connexion avec Isabelle, mais celle-ci a mis un terme à leur relation, car elle est physiquement trop éloignée de chez lui. Cependant, Jonathan semblait avoir retrouvé ses esprits à la fin de l’épisode et aurait décidé de rester pour la belle chimie qu’il avait avec le groupe de candidats et candidates…
Un dossier à suivre!
Parlons maintenant d’Isabelle et de son idée bien ancrée quant à la distance qui la séparerait de son futur amoureux. La candidate le répète constamment, mais nous l’avons compris depuis plusieurs épisodes déjà. Même ses fils jumeaux, espions à l’émission, semblent penser que la discussion tourne en rond et qu’elle se ferme ainsi des portes!
Mais est-ce vraiment la seule raison de sa fermeture à rencontrer un homme? Les aperçus de l’épisode à venir nous laissent croire que ce n’est pas le cas, car on la voit avoir une conversation sur le sujet avec l’animatrice Nathalie Simard.
On l’entend aussi déclarer qu’avant de partir pour l’aventure, on lui avait présenté quelqu’un, qu’elle a croisé.
La production joue-t-elle avec nous?
Nous le saurons très bientôt, mais, quoi qu’il en soit, nous espérons que la discussion sur la distance tirera à sa fin!
Pour ne rien manquer de Ma mère, ton père, rendez-vous les jeudis dès 20h sur TVA et TVA+!
Nous avons appris la triste perte de l’ancien membre de One Direction, Liam Payne, tragiquement décédé après avoir chuté de son balcon d’hôtel en Argentine.
Certaines stars ont réagi à cette mort prématurée en partageant leurs bons mots à celui-ci ou de beaux moments vécus avec le chanteur.
Reconnu pour sa grande carrière de journaliste scientifique, Charles a surpris tout le monde en racontant l’histoire derrière ce moment à la fois inquiétant et divertissant!
C’est à la suite d’une question à moitié sérieuse de l’animateur Marc Labrèche, qui voulait savoir quand il avait pour la première fois fumé «un bat», que Tisseyre a partagé cette expérience troublante.
«J’avais 21 ans, c’était une pipe de haschich (…) je n’avais jamais fumé de haschich avant, ni de marijuana», dévoile-t-il en premier lieu, tout en révélant qu’une personne de son entourage l’avait poussé à essayer.
Après une première pipe, l’effet ne s’est pas produit, mais, après la deuxième, Charles a vu automatiquement les effets, tel qu’il le raconte!
«Là, je regardais mes mains et mes bras, c’étaient des extensions de ma conscience, de mon cerveau. Je me disais: Mon cerveau est ici, puis mes mains sont là. Puis là, je suis parti sur un trip de trois jours; une psychose (…) J’ai fait un trip métaphysique où j’ai compris le sens de l’existence qui me marque jusqu’à aujourd’hui», ajoute Tisseyre sur cette histoire pratiquement invraisemblable.
Des propos qui ont clairement surpris le public, les chakras à l’émission, mais aussi Marc Labrèche!
Charles a également précisé qu’après ce moment étrange, il n’a plus jamais retouché à la drogue, ajoutant avec humour que, sinon il serait «parti au Népal».
Contrairement à ce qu’on aurait pu imaginer connaissant le cadre de l’émission, il n’a pas chanté. Il a plutôt reproduit une pièce tirée d’un film d’Al Pacino, Frankie & Johnny, qui a profondément marqué la comédienne!
Il a d’ailleurs rebaptisé le film Sophie & Charly!
«Je n’ai pas l’habitude de prendre des demandes spéciales à cette émission. Si je chantais, vous comprendriez pourquoi. Je suis peut-être fou, mais je crois encore à l’amour et ce clair de lune, Sophie, il est pour toi», témoigne Charles avec amour en faisant un clin d’œil aussi à une chanson que la mère de Sophie jouait au piano: Clair de lune.
«Ouf, il fait chaud», ajoute Sophie, visiblement émue par ses paroles qui l’ont touchée.
Un couple qui traverse les années, malgré les défis rencontrés, et qui continue de persévérer au fil du temps!
C’est sur Instagram que la chanteuse dévoilait avoir partagé un court moment avec ce chanteur très connu: Lionel Richie.
Un admirateur de Nathalie lui a permis de retrouver ce cliché pris au Forum de Montréal, en compagnie de la star américaine, à l’époque où elle était âgée de 14 ans.
«Wow! J’en reviens pas!! Merci merci à Josef Wheeler, un fan fidèle depuis tellement d’années qui a réussi à trouver la fameuse photo de Lionel Richie et moi, au Forum de Montréal, le 22 septembre 1983!!», écrivait-elle, très enthousiaste de cette trouvaille.
Un moment certainement mémorable pour Nathalie, comme on peut en déduire grâce à son sourire sur la photo!
Un nouveau projet cinématographique dans lequel il partage l’écran avec la comédienne Marianne Fortier. Selon la bande-annonce, leur chimie à l’écran semble très présente, ajoutant une profondeur à leurs performances.
Il a d’ailleurs dévoilé à l’animatrice du rendez-vous matinal qu’il a eu un coup de coup de foudre, professionnel, pour celle-ci!
Pier-Luc a commencé en mentionnant que les deux avaient débuté leur carrière à un jeune âge et qu’ils avaient toujours grandi dans le même milieu, en se connaissant sans réellement avoir travaillé ensemble. Cette grande première s’est donc passée à merveille.
«Je la connais, comme, depuis que j’ai douze ans. Là, on a 30, les deux. Puis là, c’était la première fois qu’on travaillait ensemble les deux (…) On se connaissait déjà, on savait que l’autre existait (…) Puis moi, j’adore le travail de Marianne. Ça fait que quand on a commencé à travailler ensemble… puis pour vrai, ça a vraiment été une espèce de coup de foudre professionnel», ajoutant que même s’ils paraissent différents, ils ont découvert qu’ils ont plein de points de similitude.
Qu’ils apprennent à se connaître sur le plateau a également créé de la magie lors des tournages, comme le mentionne Funk.
Un moment fort intéressant en compagnie du comédien!
Pour voir Pier-Luc et Marianne à l’écran dans cette comédie romantique, avec un côté mystérieux mettant en scène des extra-terrestres, rien de moins, rendez-vous dans une salle de cinéma près de chez vous dès le 18 octobre!
Celui qui a marqué l’univers de la musique a fait quelques confidences, dont une qui s’est avérée particulièrement touchante. C’est lorsque France a évoqué l’enfance de Paul, en parlant d’un souvenir poignant de sa mère qui avait voulu lui acheter une guitare, mais qui n’a pu le faire en raison de ses finances, que les émotions se sont dévoilées.
Il a commencé par raconter que sa mère et son père avaient eu de graves problèmes de santé et, comme à l’époque les soins n’étaient pas couverts, ses parents ont dû s’endetter. Son père baissait souvent le chauffage dans la maison, en plus que la famille n’avait plus rien à manger.
«On gelait, tu comprends. Ça fait que là, on n’avait plus rien à manger dans la maison. Mes parents me disaient: Si tu peux aller te chercher quelque chose quelque part, vas-y», confie Paul, dont les parents l’invitaient à aller chez ses amis pour se nourrir.
C’est ainsi qu’il est revenu à l’histoire de la guitare que sa mère n’a pas pu lui acheter…
«Ils ont tout fait pour sortir de cette misère-là (…) Donc, à un moment donné, ma mère… hey, là, tu vas me faire pleurer… on s’en va et là, elle m’amène m’acheter une guitare pour ma fête, mais là, elle voit les prix et elle se met à pleurer», raconte le talentueux auteur-compositeur-interprète, visiblement ému par ce souvenir.
C’est par la suite qu’il est revenu sur le décès de sa mère et s’est confié sur la peur constante qu’il avait à l’époque, celle de la perdre à tout moment. C’est finalement lorsque sa mère l’a quitté qu’une partie de ses angoisses est disparue.
«C’est parce que j’ai passé ma vie à avoir peur qu’elle meure parce qu’elle avait été malade dans mon enfance… et donc elle avait eu des cancers, elle avait eu des problèmes pulmonaires et tout ça (…) Donc, je me souviens d’arriver chez nous et puis j’avais peur que l’ambulance soit là (…) Elle est décédée finalement à 80 ans. Donc, elle a quand même bien vécu sa vie. Puis, pas longtemps avant de mourir, à l’hôpital, elle m’a fait un petit sourire, un sourire calme (…)», témoigne Paul avec beaucoup d’amour pour la femme qui lui a donné la vie.
Il termine en évoquant qu’à la suite de son décès, il a mis du temps avant de la pleurer comme il le fallait, soit un an, pleurant au départ pour elle, non pour lui.