Corneille se trouvait au rendez-vous télé de fin de soirée, soit Bonsoir Bonsoir, où il était présent afin de parler de son nouveau roman, La mélodie du pardon, dans lequel il échange avec son père et qui s’annonce bouleversant.
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Lors de son passage, l’artiste s’est d’ailleurs ouvert sur son père, tristement décédé lors du génocide au Rwanda. Une discussion touchante, au talk-show, qui lui a aussi permis de se confier, de façon émouvante, sur sa propre paternité et ce qu’il aurait voulu demandé à son papa.
C’est suite à une question de l’animatrice Marie-Claude Barrette, qui voulait savoir ce que son papa représentait pour lui, qu’il s’est confié sur le sujet.
Il a notamment dévoilé que c’était l’humain dont il se sentait le plus proche dans sa vie, abordant aussi le fait qu’il avait aujourd’hui cinq ans de plus que son père, en raison de l’âge qu’avait ce dernier au moment de son tragique décès.
«Puis c’est l’être duquel je me sens le plus proche, parce que je me suis rendu compte que la paternité, être père, c’était une identité en soi. Le jour où je suis devenu père, je suis devenu quelqu’un d’autre, j’ai cessé d’être celui que j’étais avant (…) Et comme il n’y a pas d’école pour être papa, il n’y a pas de formation, le réflexe, c’est d’appeler papa, de lui dire: J’ai changé beaucoup, mais après, on fait quoi? C’est tellement complexe, et puis la maternité, on n’en parle même pas. Mais, moi, dans mon cas, comme père, j’avais besoin de convoquer mon papa pour lui parler, parce que la paternité m’a beaucoup rapproché de lui (…) Je règle des comptes avec lui dans ce livre. Parce que j’ai 5 ans de plus que lui, ça fait que je peux me le permettre», se confie Corneille avec vulnérabilité, tout en ajoutant qu’il passe ses idées par les paroles de son papa.
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Un moment très touchant en compagnie de Corneille, dont le livre est maintenant disponible.
Un projet qui la stimulait et la rendait heureuse, mais qu’elle aurait pu être obligée d’abandonner en raison d’une condition physique importante: la perte de sa voix, pour la première fois.
La peur l’a gagnée, comme elle l’explique, une confidence faite lorsque Mélanie lui a demandé si elle avait eu la crainte de ne pas pouvoir se rendre aux représentations
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«Bien oui, j’ai eu peur aussi pour la suite parce que je n’ai jamais eu ces limites-là de toute ma carrière, je n’ai jamais perdu la voix. C’est ce qu’il y a de plus fiable chez nous : ma voix. Ça fait que c’est sûr que j’ai vraiment eu peur», dévoile la chanteuse.
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Un moment pénible pour Annie, et avec raison. Heureusement, les choses sont finalement rentrées dans l’ordre.
Il s’agissait de Murray Head, l’artiste britannique, qui est d’abord monté sur le plateau afin d’interpréter sa populaire chanson One Night in Bangkok. Ce dernier prendra d’ailleurs sa retraite très prochainement, et plusieurs étaient fort probablement ravis de le voir performer ici, au Québec, pour l’une des dernières fois.
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Lui qui parle très bien français a ensuite rejoint l’animatrice et ses invités pour une entrevue, mais le tout est rapidement devenu malaisant, et Marie-Claude a dû jongler avec, disons-le, le «personnage» assis en face d’elle.
«Je n’ai rien en commun avec mes enfants, et j’ai encore moins en commun avec mes petits-enfants (…)», débutait le chanteur.
C’est par la suite qu’il a dévoilé que la situation était difficile, puisqu’en présence de sa famille, il doit se taire et ne pas intervenir dans la discipline de ses petits-enfants. Il a également évoqué le fait qu’il avait choisi de déménager en France pour éviter qu’on lui demande de les garder.
Ils y sont toutefois allés une fois, et si l’on se fie aux paroles de Murray Head, ce moment a semblé catastrophique le temps d’un 24 heures.
D’ailleurs, il n’était pas tout à fait certain du nombre de petits-enfants qu’il avait.
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Fabienne Larouche, qui était présente à l’émission, a affiché des expressions faciales qui parlaient d’elles-mêmes en entendant les histoires discutables et peu populaires du chanteur. Et elle n’était pas la seule: Simon Boulerice avait lui aussi l’air découragé.
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Il y a toutefois eu quelques fous rires, provoqués par le personnage très coloré qu’est l’artiste international.
On lève notre chapeau à Marie-Claude, qui a certainement su garder son calme lors du passage de Murray Head!
Marie-Claude Savard, présente à Sucré Salé, a discuté de plusieurs sujets lors de son entrevue avec Mélanie Maynard, autant du côté professionnel que personnel.
C’est lorsque l’animatrice du talk-show a évoqué le fait qu’il s’agissait d’une longue cohabitation que Marie-Claude s’est confiée sur le sujet.
«Bien, c’est mon ami (…) C’est le père de mes enfants. Tu sais, je pense qu’il aurait eu mille occasions de partir en guerre. Tu comprends? Il y en a toujours un des deux qui lâche une bombe, il y a toujours un des deux qui a le goût de faire mal (…) Être enfant du divorce, c’est aussi d’avoir intégré ça quand tu es très jeune. Jean-Martin aussi, c’est un enfant du divorce. On s’était promis qu’on n’allait pas faire ça, puis ça nous est arrivé, ça fait que ça aussi, c’est un grand choc. Ça fait qu’on a fait une transition lente. Une séparation, là, quand on a des jeunes enfants, c’est de la m*rde, ok? (…) Ça fait qu’il n’y a personne qui réussit ça complètement. Ce n’est pas un échec non plus, c’est juste une affaire qui arrive.», répond Marie-Claude avec une belle vulnérabilité.
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Un bel exemple qu’une séparation peut-être harmonieuse, surtout pour les enfants.
Cependant, cette fois, il ne s’agit pas d’une vieille chicane, mais bien d’un commentaire sans filtre qu’elle a lancé il y a plusieurs années.
Des paroles qui sont ressorties dans le cadre de son talk-show estival, alors qu’elle accueillait Marie-Claude Savard, laquelle a abordé, une fois de plus, le sujet de la chirurgie plastique, plus particulièrement le Botox. Rappelons que les deux femmes ne se sont jamais caché avoir eu recours à cet élixir de jeunesse.
C’est Marie-Claude qui a rappelé à Mélanie un ancien commentaire qu’elle lui avait fait au sujet du fait qu’elle avait parlé ouvertement de ses modifications esthétiques dans la trentaine.
«D’ailleurs, une fois, tu m’as dit ça, toi, Mélanie Maynard… Je t’ai croisée dans un événement, il y a, je ne sais pas si ce n’est pas 15 ans ou 20 ans: Pourquoi tu l’as dit, dont, ça ne paraît pas», lui rappelle l’animatrice de radio prenant un ton questionnable.
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«Je t’avais dit ça?», lui demande-t-elle.
«Oui», ajoute Savard.
«Ah, je n’ai tellement pas de classe», répond cette fois Mélanie, qui semblait avoir l’air découragée.
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Marie-Claude ne semble, par contre, pas lui en vouloir du tout aujourd’hui.
«Moi, c’est vraiment ma drogue, là, tu sais, c’est épeurant. Des fois, mon chum dit: Va voir tes amies, fais une activité avec tes amies. J’allais à Montréal voir mes amies, et après souper, j’étais comme: Ah, je rentre, je suis fatiguée. J’allais au Bordel faire des numéros (…) C’était obsédant.»
C’est ce que dévoile Rosalie, qui est véritablement accro à son travail et à sa carrière humoristique!
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On se doute bien que faire rire lui apporte beaucoup de bonheur — autant qu’à ses adeptes, d’ailleurs.
Depuis qu’elle a confié avoir recours à des pratiques esthétiques, l’animatrice de radio se fait régulièrement crier des bêtises par monsieur et madame Tout-le-Monde. Et depuis la présentation de la série documentaire Beauté espérée, les insultes sont encore plus nombreuses.
Des commentaires méchants et réguliers à son égard continuent de lui être adressés. D’ailleurs, l’un des plus récents est particulièrement virulent, comme elle le dévoile.
«Ça dérange de manière intense, c’est comme la religion, la politique, ça polarise, ça rend violent. Ça fait qu’on a fait une série où l’on montre les opérations pour bien décrire ce que c’est, le sérieux de ça, puis je ne me suis jamais fait ramasser de même sur les réseaux sociaux (…) La semaine passée, je me suis fait traiter de charrue (…)», dévoile-t-elle, tout en ajoutant que maintenant, peu importe ce qu’elle fait, on lui catégorise l’étiquette du Botox.
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C’est aussi, au cours de cette discussion de cœur à cœur, puisque rappelons que Mélanie Maynard a elle aussi eu recours au Botox, ce qu’elle assume depuis un certain temps, que les deux femmes ont confié qu’un facteur important pourrait expliquer toutes ces injures.
«Il y a tu aussi une jalousie des gens qui font: Aille, si quelqu’un le paierait à ma place, je le ferais?», demande et constate l’animatrice du talk-show estival.
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«Voilà ! En fait, je pense que c’est la question économique qui blesse. C’est-à-dire: Si tu es riche, tu vas bien vieillir, si tu n’es pas riche, tu vas mal vieillir», lançait-elle sur ce constat.
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Marie-Claude ajoutait, par ailleurs, que bien vieillir est un ensemble de facteurs et que nous vivons dans une société accés sur l’image.
Au finale Marie-Claude invite tout le monde à la bienveillance!
D’une part, Maxence avait trouvé «quétaine» la demande de Nikolas de faire un mix and match vestimentaire lors de leur voyage à venir dans le Sud. Sans parler d’Anick Dumontet et Alain, qui semblent évoluer dans deux états d’esprit complètement différents.
L’animatrice de La roue de fortune avait même agi comme si son partenaire était un animal mort lorsqu’il lui a pris la main.
Et finalement, Joanie et Michaël ont mis plusieurs téléspectateurs mal à l’aise, alors que la comédienne s’est montrée insistante envers le pompier en le bombardant de questions lors d’un souper avec les amies de cette dernière. Nous étions donc impatients de savoir si le duo allait mettre un terme à leur histoire.
Ainsi, dans le plus récent épisode, nous les avons d’abord vus participer à un cours de cuisine avec Elena, la maman de Stefano Faita.
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C’est par la suite que Joanie a avoué à Louise Sigouin qu’elle aurait préféré vivre ce moment avec quelqu’un d’autre.
La comédienne a aussi reproché au pompier de parler trop souvent de pâtes et de trouver leurs conversations plutôt fades. Ils ont aussi eu une prise de bec à propos de leur dernier souper, alors que Michaël a évoqué le fait que Joanie avait été un peu trop pompette.
Des paroles qui, clairement, ne sont pas passées.
«Ben là, scuse, je vais t’arrêter tout de suite (…) Sur quoi tu bases? De quoi tu te mêles?», répondait Joanie, troublée.
Beaucoup trop de reproches, des pleurs et un véritable festival de malaises ont continué de rythmer leur aventure, sans oublier des conversations incroyablement lourdes.
Leur relation s’est ainsi terminée lors du dernier épisode, et Joanie a choisi de poursuivre son parcours avec l’un des garçons qu’elle avait rencontrés en blind date au tout début: Jérémie.
D’ailleurs, si son visage vous dit quelque chose, c’est parce qu’il a déjà été candidat dans 5 gars pour moi.
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Maxence et Nikolas ont, cette fois, eu des conversations profondes, et leur chimie semblait de retour. D’ailleurs, Nikolas a voulu savoir si Maxence avait eu envie d’aller voir ailleurs depuis le début de l’aventure… et la réponse est non!
Nikolas a aussi été fort touchant en révélant à Maxence qu’il avait vécu de l’abus. Il a également confié à Louise avoir eu des problèmes de drogue et d’alcool, pour oublier cette période de sa vie.
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Anick a, pour sa part, fait une mise au point avec Alain en mentionnant qu’en sa présence, elle avait relevé quelques red flags, comme la fois où il lui avait dit qu’une belle fille à l’extérieur se devait aussi d’être belle en dedans.
Elle lui a aussi demandé de ne plus utiliser les mots devoir et falloir en sa présence, et a ajouté qu’elle s’était sentie mal à l’aise lorsqu’il lui avait tenu la main. Un moment qui, une fois de plus, s’est avéré plutôt lourd durant l’émission.
Par ailleurs, Anick lui a avoué qu’il n’y aurait fort probablement aucune relation amoureuse possible.
Alain a alors choisi de ne pas poursuivre leur relation, puisqu’il cherche réellement l’amour, comme il le mentionne.
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Qu’adviendra-t-il de leur présence?…Un dossier à suivre!
Finalement, le couple formé de Sophie Bourgeois et de son prétendant Marc reste attendrissant à voir, mais la chimie physique n’est peut-être pas au rendez-vous, du moins pour comédienne. Ce qui nous laisse douter d’un réel potentiel amoureux.
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Bien que les malaises aient été de la partie, l’émission reste fort divertissante.
Pour ne rien manquer des évènements à venir, rendez-vous les lundis 20h sur les ondes de TVA et TVA+!
Jean-François Breau et Marie-Ève Janvierse trouvaient sur le plateau du talk-show de Mélanie Maynard, Sucré Salé, où les tourtereaux étaient invités notamment pour parler de leur animation à l’émission Si on s’aimait Célébrités.
C’est au cours de ce moment télévisé qu’ils ont abordé quelques petits problèmes de couple qu’ils ont rencontrés à leurs débuts amoureux.
Jean-François a dévoilé que ce que Marie-Ève avait aimé chez lui, à leur premier instant, soit sa spontanéité et sa folie. De son côté, Breau a été séduit par le côté rassurant et pragmatique de la chanteuse.
Mais il y avait tout de même de petits irritants pour le duo…
«Je pense qu’à un moment donné, ça fait que tu deviens un expert de ta profession (…) Puis, un moment donné, ma folie devient: E*ti, il n’est pas capable de se responsabiliser. Puis moi, bien le côté, au début, organisé devient: Là (…) Tu n’es pas ma mère. Puis, dépogne un peu (…)», raconte Jean-François, avec une Marie-Ève totalement en accord avec ses dires.
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Par la suite, ils sont revenus sur l’époque où tous deux jouaient ensemble dans la comédie musicale Don Juan. Il semblerait que Marie-Eve lui ait pardonné le fait qu’il était un player à l’époque. Une confidence faite après que Mélanie mentionnait que Janvier avait sans doute été charmée par cet aspect de Jean-François.
«Je suis un romantique, moi», lançait-il.
«Oui, mais tu étais romantique sur plusieurs tableaux en même temps», ajoutait Mélanie.
«(…) Mais tu étais Don Juan, c’est correct, tu avais 24 ans. Tu tiens le rôle principal d’une comédie musicale. Il y a des danseuses espagnoles, tu as de l’attention, on vit un rêve, c’est normal», témoigne Marie-Ève sur cette période un peu plus volage de Breau.
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Rappelons qu’aujourd’hui, ils sont mariés, parents de trois enfants, et semblent toujours filer le parfait bonheur.
Un moment très divertissant en compagnie du couple.
L’animateur et humoriste, qui devait aller porter des bananes en haut d’une glissade savonneuse avec ses coéquipiers Naadei Lyonnais et Marc-Antoine Dequoy, a fait une chute qui a mal tourné.
Effectivement, ce dernier a mal chuté et son genou en a payé le prix. De plus, on lui a annoncé qu’il devait mettre fin à l’épreuve, ce qui l’a attristé, en plus de raviver un douloureux souvenir d’enfance.
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«Ah que j’ai trouvé ça tough. Ça me rappelait, au primaire en fait, quand on faisait des équipes. Et quand ça arrivait à moi, c’était: Lui, on vous le laisse. J’avais l’impression de revivre ça», témoignait Jean-Michel avec tristesse.
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Un moment fort touchant à Sortez-moi d’ici! en compagnie de Jean-Michel. Rassurez-vous: malgré la douleur, Jean-Michel s’en sort plutôt bien et peut poursuivre l’aventure.
Pour ne rien manquer de l’émission, rendez-vous les dimanches dès 19 h 30 sur les ondes de TVA et TVA+.
