Patrice L’Écuyer était récemment l’invité de Ça finit bien la semaine, où il est venu discuter de son tout premier one-man-show, mais aussi de sa carrière, qui, il faut le dire, n’a pas toujours été de tout repos, avec tous les projets qu’il a réalisés.
Une carrière fructueuse et bien remplie qui l’a toutefois empêché de vivre bien des choses, une confidence qu’il a partagée suite à la question de l’animateur Jean-Michel Anctil, qui voulait savoir, à l’époque où il était 52 semaines par année à la télé, à côté de quoi il était passé?
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«Bien, ma vie. Je suis allé à des places, je ne m’en rappelle même pas. Je suis allé dans des villes, puis je pensais à ma job, je pensais à: OK. Je vais faire ça… il y a ci, il y a ça. Mais, j’aimais ça… mais ma vie personnelle, un moment donné… une chance que j’ai eu des enfants, ça m’a replacé, ça!», répond Patrice.
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Il ajoute toutefois qu’il n’a pas de regrets, après que la co-animatrice Julie Bélanger lui ait posé la question.
«Ça, les regrets, non, non. J’ai vécu des affaires extraordinaires (…)», ajoute-t-il en avouant aussi avoir eu des rencontres extraordinaires avec des gens à l’international.
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Patrice, qui a beaucoup d’histoires à raconter, offrira certainement un spectacle hors du commun, comme on a pu le voir lors de ce rendez-vous télé !
Pour vous procurer des billets pour son tout premier one-man-show à venir, rendez-vous sur son site officiel.
Malgré sa belle carrière et son immense talent naturel, Sonia a souvent été la cible de parodies et de moqueries.
C’est lors de son tête-à-tête avec Vanessa Destiné qu’elle a abordé un sketch produit par RBO il y a plusieurs années, qui l’avait grandement atteinte. Un souvenir qu’elle a évoqué après que la jeune femme ait soulevé le sujet des nombreuses caricatures dont elle avait été victime, comme si, selon les mots de cette Vanessa, le respect avait été plus difficile à atteindre pour Benezra.
«On te trouvait groupie, on te trouvait superficielle, un peu quétaine aussi. Est-ce que tu as ce feeling-là, toi? Est-ce que tu as senti que tu avais été snobée par l’industrie?», demande Vanessa.
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Elle confie qu’au début, oui, mais que toutes les choses qu’on lui reprochait l’avaient finalement propulsée au sommet. Elle explique aussi qu’au départ, les gens l’écoutaient par curiosité, mais qu’ils sont demeurés fidèles en voyant à quel point elle travaillait dur.
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«À l’époque, je me rappelle que Rock et Belles Oreilles avaient fait une imitation de tous les VJ, ouin, c’était quelque chose. J’ai été dévastée parce qu’on m’avait jouée, c’est Bruno Landry (…) La grosse perruque noire, ils m’avaient jouée genre comme une prostituée cheapette», dévoile-t-elle sur ce souvenir que l’on devine douloureux.
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L’humoriste s’était cependant excusé par la suite… 30 ans plus tard!
«Il m’a envoyé une lettre. Je dirais 30 ans plus tard (…) Pour s’excuser, et pourtant je l’avais reçu 20 000 fois à mon émission à TQS (…) J’ai dit: Ben voyons donc. C’est un métier être humoriste, ce n’est pas facile, il faut le faire comme il faut», ajoute l’ancienne reine des entrevues à Musique Plus et MusiMax.
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Un peu plus tard, elle a aussi répondu au fait qu’on lui avait souvent reproché d’être trop gentille.
«Est-ce que tu as déjà été victime de discrimination dans ta carrière, de sexisme, de racisme, d’âgisme ? Et si oui, laquelle t’a fait le plus mal?», lui demandait Vanessa.
Une question à laquelle elle a répondu «oui» à toutes les formes de discrimination mentionnées, mais en précisant qu’elle n’a pas été profondément heurtée par cela. Pour elle, ces critiques font partie de la vie et ont été une manière d’évoluer, d’ouvrir les yeux, pour elle.
Sonia a pris conscience que tout le monde ne voyait pas les choses de la même façon et que les opinions pouvaient varier.
Elle a ainsi toujours réagi avec douceur face aux critiques et à la méchanceté, un autre trait qu’on lui a parfois reproché, celui d’être trop gentille.
«Je pense qu’au lieu que moi je change, il y en a d’autres qui devraient peut-être changer aussi un petit peu et aller un petit peu vers la gentillesse», témoigne-t-elle avec sagesse et résilience.
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Une entrevue très touchante en compagnie de Sonia, qu’on aime beaucoup!
Bien que l’on connaisse à l’humoriste un humour très sarcastique et absurde par moment, il dévoile dans ce show des moments beaucoup plus sérieux, qui parlent de sa vie personnelle, plus particulièrement de sa vie de famille, de sa paternité et des problèmes qu’il a rencontrés pour avoir des enfants, ses deux filles, avec son amoureuse.
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Un sujet trop souvent tabou dans notre société, touchant l’infertilité et la procréation assistée, mais un sujet capital.
«Je parle beaucoup de mon parcours en procréation assistée, c’est quelque chose que j’ai moins partagé, parce que, bien, ç’a été des années et des années, avec ma blonde, à ne pas savoir si on allait arriver à avoir une famille. Puis, là (…) On est chanceux, je le raconte, on est du beau côté de l’histoire. On a deux filles en santé. Mais ç’a été vraiment, vraiment des années difficiles», témoigne avec vulnérabilité le père de famille.
Ainsi, il prend la plateforme de son spectacle pour aborder ce sujet délicat, et déjà plusieurs le remercient d’en discuter ouvertement, venant le voir après ses spectacles.
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Il était très touchant de voir l’humoriste sous cette autre facette, plus vulnérable, qui pourra permettre probablement à certaines personnes de se reconnaître face à cette épreuve de devenir parents.
Lors de l’entrevue, elle a été interrogée par l’animateur Guy A. Lepage sur les rumeurs de rénovictions la concernant, une pratique où un propriétaire expulse un locataire pour faire des rénovations, permettant ensuite d’augmenter le loyer, notamment.
«Je te cite: Les gens pensent que je suis dans l’immobilier depuis 15 ans et que je fais des rénovictions… D’ailleurs, j’ai même reçu des messages sur les réseaux sociaux: Parle-lui de ses rénovictions. Alors que tu n’as jamais fait ça de ta vie. Pourquoi les gens pensent ça?», demande Guy A.
Sarah-Jeanne explique alors que, comme elle avait souvent déménagé et rénové ses demeures, les gens avaient l’impression qu’une personne qui fait cela fait automatiquement du flipping.
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«À partir du moment où mon duplex est devenu une maison unifamiliale, là on a tout de suite crié à la rénoviction (…)», continue Sarah-Jeanne sur le sujet.
Jean-Sébastien Girard a par la suite voulu confirmer que ce genre de rénovation impliquait le fait d’avoir une porte de moins.
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«Ça fait une porte de moins. Là, maintenant, on a cinq portes de plus à côté, mais ça fait une porte de moins, sauf que c’est tout à fait légal. Ce n’est pas une rénoviction, tu as le droit de reprendre ton investissement de ton duplex, pour ta famille (…) Nous, on n’avait pas assez de chambres légales pour les enfants. On avait juste une chambre avec deux sorties. Il fallait déménager ou aller au bout de notre immeuble. On est allé au bout de notre immeuble, dans les règles de l’art, avec les papiers qu’il faut, dans les délais qu’il faut. Je n’ai jamais fait de rénoviction, ce n’est pas compliqué. Mais, je ne pense pas que tout le monde pense ça, mais des fois il y a des gens…», se livre-t-elle.
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Elle termine également en mentionnant que certaines personnes croyaient parfois qu’elle possédait un parc immobilier et qu’elle faisait les choses de façon «tout croche», dont mettre des gens dehors de façon illégale.
«C’est illégal une rénoviction…», lance Labrosse à Lepage.
«Oui», répond l’animateur de TLMEP.
«C’est ça, je n’ai pas fait ça!», ajoute ensuite avec détermination la jeune maman.
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Toute une mise au point de la part de la comédienne!
Un moment télé marquant qui a mis en compétition quatre personnalités costumées: Le Zèbre, Le Cygne,Betty Beth, et Le Rhino. On n’espérait rien de moins que des prestations musicales spectaculaires, hautes en couleur et touchantes.
Et la soirée a tenu toutes ses promesses… quelle soirée incroyable!
Les voix des quatre demi-finalistes étaient absolument enivrantes et éblouissantes, avec des mises en scène impressionnantes et un sens du spectacle incroyable de la part des participants.
D’ailleurs, la performance du Zèbre a donné des frissons à l’enquêtrice Mélissa Bédard.
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«C’était bon (…) c’était comme un orgasme!», témoignait Mélissa (et nous sommes d’accord avec elle).
Elle a aussi fait sentir les battements de son cœur à son collègue Sam Breton, dévoilant à quel point elle avait aimé!
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Cependant, sur une note moins festive, comme à chaque épisode, une fois de plus, nous avons dû faire nos adieux à l’une des vedettes se cachant sous son masque.
Il s’agissait du Rhino, derrière lequel se cachait Jonas, comme l’avaient justement deviné Stéphane Rousseau et Mélissa Bédard.
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Cette fois, toutefois, nous avons dû dire au revoir non pas à une, mais à deux personnalités…
Rappelons, dans ce sens, la présence du masqué Jack Spi-rat, qui participait hors compétition et qui a semé des indices sur l’identité de certains candidats. Et ce soir, son tour était venu d’être démasqué, révélant ainsi qui se cachait derrière son personnage mystérieux.
Mais avant tout, il nous a offert une spectaculaire prestation de The Show Must Go On de Queen. Sans contredit, il s’agissait d’un artiste au talent grandiose, captivant tout le monde.
Après plusieurs spéculations, on démasquait Marc Dupré!
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Une soirée qui nous a reconnectés avec l’ampleur de la grande production qu’est Chanteurs Masqués. Nous avons même eu droit à un moment amusant avec Sébastien Benoit, qui a tenté un move de push-up à une main aux côtés de Jonas!
Enfin, un peu de piquant de la part de l’animateur…
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La grande finale se tiendra dimanche prochain, et nous découvrirons enfin l’identité des trois finalistes restants!
Qui l’emportera parmi Le Cygne, Betty Beth ou Le Zébre?
Michel Jean se trouvait à l’émission Les enfants de la télé où des moments de sa carrière ont été revisités. L’ancien journaliste, qui n’a clairement pas chômé au fil de sa carrière, est revenu sur un moment marquant et très terrifiant, où sa vie a été mise en danger.
C’est lors de sa présence sur le plateau qu’il a évoqué ce moment très stressant, après le visionnement d’une vidéo présentée dans le cadre de cette couverture journalistique.
Dans cet extrait, on comprend que, lors d’une mission journalistique à l’étranger, soit en Haïti, Michel a frôlé la mort. Bien que le caméraman qui l’accompagnait ait détourné la caméra à ce moment pour ne pas provoquer ses interlocuteurs, l’un des individus a tiré deux coups, au-dessus de son collègue.
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C’est par la suite qu’un autre a braqué une arme sur lui, comme on peut l’entendre dans cet extrait.
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Après la diffusion de ce souvenir de 2004, Jean explique qu’à ce moment-là, la veille, des rebelles auraient pris possession du poste de police, avant que les autorités ne reprennent le contrôle par la suite, mentionnant que, lorsqu’il s’y est rendu, il était accompagné de policiers.
Mais, les choses ont rapidement tourné au cauchemar, comme le témoigne l’ancien journaliste sur la façon dont les événements se sont déroulés:
«Quand je suis arrivé vers le jeune, moi j’ai pris mon micro, je l’ai mis comme ça… J’ai dit: Bonjour, je suis Michel, je suis du Canada. Puis là, il sort un fusil comme ça et il le pointe dans le ventre de mon caméraman. Puis, moi, mon réflexe, ça a été de dire: Calme, calme, calme. Puis, j’ai comme déposé mon micro comme si c’était une arme. Là, ils ont tiré au-dessus de Sylvain, le caméraman. Puis là, quand je me suis retourné, j’avais le fusil comme ça dans ma face. Ce qui nous a sauvés, en réalité, c’est quand la caméra, ils se sont rendu compte qu’elle tournait, là ils ont lâché, ils ont arrêté de tirer, ils ont pris la caméra.»
C’est ainsi qu’ils ont pu se dépêcher et s’enfuir dans l’immeuble policier, où, par la suite, plusieurs balles ont été échangées entre les rebelles.
Michel et son équipe s’en sont finalement sortis.
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La fusillade aura toutefois duré pas moins de sept minutes…
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Un événement clairement terrifiant et traumatisant pour l’équipe de Michel Jean et ce dernier.
Un moment très attendu, car ce sont les couples composés de Félix et Solène, ainsi qu’Aleksa et Kristina, qui devront débattre pour décider qui les accompagnera en France. Ce choix risque de provoquer des discussions intenses, surtout puisque Félix est connu pour ses arguments solides tout au long de l’aventure et souhaite qu’Alex et Alix soient du voyage final. En revanche, Kristina et Aleksa préfèrent voir ceux avec qui elles ont tissé des liens forts, soit Anna et Michaël, décrocher cette place tant convoitée.
Selon un aperçu présenté aux Vendredis OD, ainsi qu’une mise en garde de la production, cette délibération ne sera pas seulement féroce, mais elle sera aussi la plus longue de l’histoire de la télé-réalité.
Sur la page Instagram de Noovo, on conseille même au public d’enregistrer l’émission qui suit, pour ne rien manquer de ce moment télé prometteur, qui devrait dépasser l’horaire prévu d’environ 13 minutes.
Qui gagnera sa place en finale?
Pour le savoir rendez-vous dès 18h30 sur les ondes de Noovo et Noovo.ca!
Le comédien est, selon ses dires, réellement attristé de s’être moqué de certaines personnes, ou d’avoir été arrogant, notamment dans le cadre de l’émission Les enfants de la télé, qu’il coanimait à l’époque.
Une confidence faite lorsque l’animateur Marc Labrèche lui a demandé son meilleur coup et son pire coup.
«Le meilleur d’avoir traité tout le monde égal, puis d’avoir essayé de traiter tout le monde comme j’aime être traité. Puis, le pire, d’avoir blessé certaines personnes au nom du rire», débute Antoine.
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«Ah oui, ça t’est arrivé, ça?», veut savoir Boucar Diouf, présent sur le plateau à titre de chakra.
«Oui, ça arrive tout le temps, parce que par la nature de mon job, que j’ai eu, tu sais, aux Enfants de la télé… un moment donné, on devient un peu prisonnier de son clown aussi. Et là, les gens s’attendent à ce que: Lui, il est vite… Comme si tu n’avais pas le droit de réfléchir avant de répondre. Donc, inévitablement, une fois de temps en temps, tu dépasses les bornes et là, tu blesses quelqu’un», ajoute le comédien.
C’est par la suite qu’il avouait que cela le rongeait «comme un cancer», et qu’il regrette aussi un moment sur un tapis rouge où il a fait un commentaire qui a certainement blessé une personne en arrière-plan.
«J’ai des souvenirs, moi, de faire une blague sur un tapis rouge ou whatever… Il y a toujours un photographe qui a l’air moins professionnel que les autres et là, je fais une blague (…) Et là, cette personne-là, je la vois, après mon commentaire quitter, la tête un peu entre les jambes. J’y pense encore… à cette fille-là tous les jours», ajoute-t-il en dévoilant aussi qu’il n’a jamais pu s’excuser.
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Un moment pour le moins particulier, mais franc, en compagnie d’Antoine Bertrand!
Bernard Derome était l’invité de marque à l’émission Pour une fois, où il a eu droit à un tête-à-tête avec quatre personnalités publiques qui ont chacune mené de petites entrevues avec lui.
L’ancien chef d’antenne a d’ailleurs abordé sa relation passée avec ses filles, ainsi que son rôle de grand-papa, dont il a davantage la chance de profiter par rapport à son rôle de papa à l’époque.
C’est à la demande deChristian Bégin, qui voulait en savoir plus sur le sujet, qu’il s’est confié!
«Est-ce que, selon toi, tu es un meilleur grand-papa que tu as été un papa?», demande son intervieweur.
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«Oui. Je pense que j’ai plus de temps pour être grand-papa que je l’ai été pour être papa. Ça, il faut bien le dire. Oui, bien sûr, avec le métier que j’ai choisi de faire… puis dans lequel on m’a permis de rester longtemps. On m’a enduré bien longtemps. Moi, j’arrivais les week-ends, bien sûr, j’arrivais toujours avec du travail, tu prépares tes émissions spéciales qui s’en viennent, etc (…) L’autre fait aussi, c’est qu’il y a eu un moment donné une séparation entre la maman de mes filles et moi… Bon, et moi, je prenais mes filles à tous les week-ends, toutes les vacances, je les avais avec moi», souligne Bernard avec transparence, tout en ajoutant également que, tous les matins, il allait reconduire ses filles à l’école, et ce, jusqu’à l’université.
Il spécifie ainsi que c’était sa façon de combler les choses!
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«Je sais que les enfants ont pu en souffrir un peu (…)», ajoute-t-il, précisant que, tous les soirs, il leur lançait toutefois un coup de fil.
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Ainsi, il terminait en témoignant son amour pour sa famille, précisant aussi qu’il avait du temps pour être grand-papa, que ce n’était pas non plus les mêmes responsabilités… quoique qu’il ressente une responsabilité envers ses enfants, mais aussi envers les petits.
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Un moment fort touchant et unique en compagnie de Bernard Derome.
C’est jeudi qu’a finalement eu lieu l’annonce des grands gagnants de la première saison de Quel Talent!. Rappelons qu’après une panne survenue lors des votes, un prolongement de ceux-ci a eu lieu, et les vainqueurs devaient être annoncés plus tard.
Après un regard dans les coulisses et un petit 30 minutes de longueur, nous avons appris que les grands gagnants de la saison et du 100 000$ étaient la troupe de jeunes danseurs Stardust. De jeunes artistes au talent incroyable, dont l’énergie est électrisante. Il s’agit d’une victoire pleinement méritée.
Il est maintenant certain que c’était le cas, puisque nous pouvons voir une vidéo sur la page même de l’émission, réunissant le groupe de danse dans une même pièce pour la vraie annonce du gagnant, en direct.
Capture Instagram @dansestbrunodelaval
Pourquoi avoir fait toute une mise en scène pour, au final, être transparent sur la situation? Un manque de temps, d’organisation?
Il me semble que cela aurait été beaucoup plus agréable de voir un vrai moment télé en direct, même s’ils n’étaient pas sur le plateau.
Quoi qu’il en soit, c’est dans cette vidéo que nous avons pu voir la véritable réaction de Stardust, et le moment était, cette fois, réellement magique, sans le côté stagé de la production!
