C’est entre deux performances qu’il a présenté son amoureuse à ses collègues, Marie-Mai, Anne Dorval et Serge Denoncourt. Une rare apparition des amoureux ensemble, bien qu’ils soient actuellement les vedettes d’une campagne de publicité de l’Aubainerie.
Celle qui adore les animaux et qui a eu deux chiens dans le passé a choisi de ne plus adopter de nouveaux pitous, notamment par manque de temps. Cependant, elle a décidé de devenir une dog sitters, ce qui signifie qu’elle garde les animaux de compagnie de ses amis lorsqu’ils en ont besoin.
Elle a mentionné que, toutefois, les maîtres oublient parfois de lui donner certains détails importants concernant leurs fidèles compagnons. C’était le cas pour la petite Ginger, qu’Élise a dû aller sauver.
«(…) Donc je la gardais à la maison, puis à côté, il y a un golf, puis il y a un étang (…) Alors, au mois de mars, les bernaches ou les outardes arrivent et prennent un petit break sur l’étang. Ginger, elle, je ne sais pas, c’est un enjeu d’identité, elle se prend tout à coup pour un oiseau. Alors elle part et elle se donne une espèce d’élan, comme si elle voulait s’envoler. Sauf que, qu’est-ce qui est arrivé? Elle est tombée dans l’étang. Je vous rappelle que c’est au mois de mars, alors elle est disparue sous la glace», raconte Élise.
C’est à ce moment qu’elle a dû venir à la rescousse de la petite chienne.
«Moi, j’ai déjà été lifeguard, alors qu’est-ce que j’ai fait? J’ai plongé! (…) Je ne niaise pas du tout et j’ai sorti la petite Ginger», termine-t-elle, ayant fait preuve de courage!
Un moment tout à l’honneur d’Élise, qui a sauvé la petite bête poilue.
Depuis le début des auditions, il n’est pas rare que le public l’encourage à appuyer sur le populaire bouton doré lorsqu’il livre des commentaires très élogieux après une prestation remarquable.
Il ne l’a toujours pas fait, mais lors du dernier épisode, après avoir vu une performance époustouflante du groupe de danseurs C4PITALS, qui a énormément plu à Serge, la foule s’est mise à scander Golden Buzzer.
Serge s’est alors levé et a dirigé sa main vers le bouton tant convoité, laissant planer le suspense.
C’était cependant une petite feinte, car Serge a une opinion bien précise sur ce bouton doré, qui permet non seulement d’envoyer un candidat en demi-finale, mais aussi de lui faire gagner une bourse de 3000$.
«Hey, non, mais, les Golden Buzzers, c’est quand on a peur que le monde passe pas, calmez-vous! », lance-t-il au public, qui a hué Denoncourt!
Un moment qui s’est toutefois fait tout en humour!
Le journaliste et chroniqueur, qui n’a pas la langue dans sa poche et qui a diverti le public à sa manière bien particulière, se confiait sur le sujet au journaliste d’enquête, Félix Séguin.
«D’un, tu es parti au top, mais pourquoi es-tu parti?», veut savoir Séguin.
Il mentionne avoir été influencé par ce grand joueur de hockey!
«(…) Moi, les grandes leçons que j’ai reçues, c’est de Maurice Richard. Maurice Richard, c’était tout un joueur de hockey, c’était une vedette. Il a participé à la Révolution tranquille, il a accroché ses patins. Il a dit: Ça va être correct… avant qu’il n’arrive quoi que ce soit. Moi personnellement, il y a eu la vente, la fin de TQS dans des conditions qu’on ne rappellera pas, ce n’est pas nécessaire. Et là, j’ai dit: Non, moi je ne m’embarque plus… Pourquoi je n’ai pas continué? Parce que j’avais peur de refaire… de devenir l’ombre de ce que j’étais. Alors il faudrait que ce soit une autre formule maintenant, ou quelque chose d’autre, mais là, il est trop tard», confie la star de Mongrain de sel, qui aurait pu toutefois rester, mais il s’agissait de son propre choix.
La fin de Mongrain, dans les formules où on le connaissait à l’époque, fut d’ailleurs une grosse perte pour le public québécois.
Rappelons qu’à notre plus grand bonheur, on peut le voir, cette saison, à titre de chakra occasionnel, au talk-showJe viens vers toi!
Un moment fort intéressant en compagnie de Jean-Luc!
Lors de ce moment télé, il a évoqué sa première rencontre surprenante avec le grand Luc Plamondon, qui a ensuite mené à une offre très importante pour lui, alors qu’il n’était pas encore connu à l’époque.
En fait, la première audition de sa vie s’est déroulée devant le producteur et parolier. L’animatrice, Julie Bélanger, a voulu en savoir plus sur cet instant et les souvenirs qu’il en garde.
Il ne s’agissait toutefois pas d’une audition pour Notre-Dame de Paris, mais bien pour Starmania, un moment où il avait un petit problème avec sa voix.
«Le souvenir déjà… moi, je n’avais pas l’intention de faire ça, puis je ne savais pas ce que je faisais là. Avant même d’avoir l’extinction de voix, c’est un ami à moi qui m’avait dit: vas-y quand même faire l’audition, juste pour le prétexte de rencontrer le grand monsieur Luc Plamondon. Puis j’étais vraiment dans un corridor et je voyais le monde se préparer, tu sais, avec un Walkman (…) Puis se préparer à regarder leurs textes (…) C’était vraiment comme dans un film, que je pouvais imaginer pour une audition. Mon Dieu, c’est vraiment de même, puis moi je suis out, je n’ai même pas deWalkman, même pas de texte, rien», débute Garou.
Une audition à laquelle il s’est présenté sans toutefois avoir l’intention de chanter.
«Puis je m’en venais juste vraiment dire: excusez-moi, je ne peux pas chanter, mais un chum m’a dit de venir vous rencontrer (…) Puis j’ai vraiment dit avant: si monsieur Plamondon est occupé, il n’y a pas de problème. Je ne peux pas chanter de toute façon. Puis j’étais le dernier dans le corridor (…) Luc a ouvert la porte, et il m’a dit: c’est toi? J’ai dit: c’est moi? …Bien, c’est toi qui ne peux pas chanter? (…) Là, il dit : tu ne veux pas essayer Puis là, j’ai commencé à chanter Le Blues du businessman. Puis ça allait bien (…) il y avait de la rocaille là-dedans. Quand je suis arrivé à: J’aurais voulu être un artiste… Ça a comme cassé. Luc a baissé ses lunettes, j’ai vu ses vrais yeux, qu’on ne voit pas beaucoup (…) J’ai dit: excusez, je ne suis pas capable de chanter. Puis il dit: c’est quoi, tu ne peux pas chanter? C’est quoi quand tu peux chanter, si tu n’es pas capable de chanter et tu chantes comme ça? Puis il était tout énervé!», ajoute le chanteur avec fougue.
Cette journée-là, Luc s’est confié à Garou en lui avouant qu’il était en train d’écrire une nouvelle comédie musicale et qu’il allait penser à lui.
Ce dernier ne croyait d’ailleurs jamais être rappelé un jour, mais finalement, on lui a passé un coup de fil pour le rôle mémorable auquel on l’associe aujourd’hui, celui de Quasimodo.
C’est lors de son tête-à-tête avec Luc Senay qu’il a abordé son histoire d’amour avec sa conjointe, Linda, et les épreuves qu’ils ont dû traverser au fil de leurs 36 ans de vie de couple, plus particulièrement au début de leur relation.
Il a notamment commencé par raconter qu’avant leur rencontre, tous deux avaient des pères gravement malades et qu’ils avaient vu leurs mères prendre soin de leurs maris. Cela a apporté une vision différente de l’amour pour Jean-Luc et il a voulu savoir si sa douce ferait la même chose pour lui.
«Ce que je voulais savoir d’elle, à part le coup de foudre, parce que le coup de foudre, ça tombe, puis après ça, la beauté vient. Mais c’est quand c’est le mauvais temps qu’il faut savoir avec qui on est. Vas-tu pousser ma chaise s’il m’arrive quelque chose?… Oui. Elle, elle m’a dit la même chose, moi, je lui ai dit la même chose», confie Mongrain.
C’est par la suite qu’il s’est confié sur le cancer de sa femme, qui est arrivé deux ans après cette discussion. Une épreuve qui a transformé le couple.
«Quand ton épouse que tu viens de rencontrer a 35 ans, puis qu’elle apprend qu’elle a un cancer dont tu ne connais pas l’issue (…) Que les médecins s’interrogent pour savoir ce que c’est. Puis qu’elle passe un an sans manger… qu’elle prend du gargarisme pour se geler l’œsophage, afin de pouvoir manger de la nourriture molle. Puis que tu es en radiothérapie, sans jamais savoir comment ça va finir (…) Et que tu es une famille reconstituée, que toi, tu as un petit gars, puis qu’elle a une petite fille, et qu’on vit ensemble tous les quatre. Je rentre de l’hôpital un soir, et les deux enfants me demandent ce qu’il va arriver. Eh bien, j’ai dit: Il n’arrivera rien, tout va bien aller, puis allez vous coucher. Moi, je me suis débouché une petite bière… Parce que c’est ça, il n’y en a pas de vue, tu attends que les choses se produisent et tu pries pour que ça marche», ajoute-t-il, évoquant cette période de début de couple qui n’a visiblement pas été évidente.
La suite s’est bien passée pour les amoureux, puisque les soins ont fonctionné pour Linda, et tout se déroule toujours très bien pour elle.
Un moment fort touchant en compagnie de Jean-Luc Mongrain!
Le majestueux Cygne s’est d’ailleurs grandement démarqué en interprétant la chanson I Can’t Help Falling in Love With You. Cette femme et artiste, qui se cache derrière le magnifique costume, a notamment fait pleurer l’enquêtrice Mélissa Bédard.
Il fallait toutefois faire nos adieux à l’un d’eux et découvrir un masqué. C’est donc Edgar la Girafe qui a dû se dévoiler. Les juges avaient leur petite idée de qui se cachait sous le costume, proposant Claude Meunier, Pier-Luc Funk et Ricardo.
À la finale, tous ont été surpris de découvrir qu’il s’agissait du seul et unique Jacques L’Heureux, qui a marqué de nombreuses enfances avec son rôle de Passe-Montagne!
Les enquêteurs ne l’avaient pas vu venir, et vous?
Pour ne rien manquer de Chanteurs masqués rendez-vous les dimanches, dès 18h30 sur les ondes de TVA et TVA+.
Bianca Gervais, Mel Charlot et Maxime Le Flaguais incarnent les juges impitoyables de la compétition, où les candidats devront tout donner pour se démarquer.
Nous suivrons le parcours de personnages touchants, dont Marco (Jeremyah Mogni), un jeune homme talentueux, qui vit des problèmes en dehors du concours, notamment des moments familiaux et amoureux qui ne sont pas évidents. Il formera d’ailleurs un tout nouveau duo avec Rémi (Xavier Malo), qui aura lui aussi ses propres problèmes, pouvant peut-être même le conduire à ne plus pouvoir danser.
On y retrouve un autre duo soit Kiki (Vanessa Boudrias), l’ancienne copine de Marco, qui dansera aux côté de son nouvel amoureux Clément (Tommy Tremblay alias PETiTOM).
Un univers à la fois savoureux, bouleversant et touchant! En plus du fait que ce soit rafraîchissant, notamment grâce à la présence de jeunes nouveaux visages sur nos écrans, qui ont d’ailleurs tous un talent remarquable.
La série, qui peut compter sur l’excellente Sarah-Maude Beauchesne à l’écriture, comprend six épisodes d’environ 20 minutes.
Elle s’écoute d’ailleurs rapidement et touchera certainement le cœur de nombreux téléspectateurs.
Pour voir ce petit bijou, rendez-vous sur Club illico!
Luc Poirier, que nous avons notamment connu il y a plusieurs années à Occupation Double en 2008, est comme nous le savons désormais un riche et très habile promoteur et homme d’affaires.
Il pourrait bientôt ajouter une nouvelle corde à son arc, cette fois en politique, à la tête du parti Ensemble Montréal, rapporte Radio-Canada.
Poirier se serait confié sur son intérêt potentiel à se présenter à la course de chefferie du parti d’opposition à l’Hôtel de Ville de Montréal, un sujet auquel il semble réfléchir sérieusement.
Après avoir vendu des terrains dans le cadre du projet Northvolt pour la somme impressionnante de 240 millions de dollars, plus rien ne semble arrêter l’homme d’affaires. Il considère notamment que Montréal devrait être géré par des entrepreneurs du secteur privé et que la ville doit être sauvée, car elle ne peut plus «dépérir» de la sorte, selon lui.
Il a d’ailleurs un slogan en tête, qui en dit long: «Sauvons Montréal!», rapporte également Radio-Canada.
Ce dernier ne réside cependant pas à Montréal… ce qui ne constitue pas nécessairement un obstacle pour poser sa candidature, puisque la loi n’exige plus une d’avoir une résidence permanente 12 mois avant la campagne. Son principal doute pourrait toutefois provenir de sa famille, lui qui ne souhaiterait pas s’éloigner de ses enfants, selon cette même source.
C’est dans le cadre d’une entrevue accordée à Radio-Canada Info que Pierre s’est confié sur la personne qui partage sa vie au quotidien. Une femme, dont le nom reste secret, qu’il a rencontrée il y a un an et demi par l’entremise d’amis.
Sa douce moitié exerce le métier d’avocate et elle est âgée de 57 ans.
Une femme qui, selon ses dires lors de cette entrevue, est capable de venir le chercher personnellement et de le faire parler, lui qui se qualifie d’introverti.
Pour faire de la place dans sa vie personnelle, ne voulant d’ailleurs pas brimer la carrière de cette dernière, il a choisi de quitter la politique avant la fin de son mandat, soit en décembre. Cependant, les choses se sont passées autrement, comme on le sait.
Nous souhaitons longue vie à Pierre et son amoureuse!