Cette fois, Sébastien Benoit assure l’animation, remplaçant Guillaume Lemay-Thivierge et il a d’ailleurs rempli ce rôle à merveille. Une présence et une énergie hors du commun.
N’oublions pas que Mélissa Bédard faisait également ses débuts en tant qu’enquêtrice et il est clair qu’elle ajoutera une belle dimension à l’aventure, comme elle a pu nous le prouver ce soir!
Ce fut une soirée haute en couleur et en divertissement, grâce aux performances des quatre premières personnalités masquées, soit: La Banane, Le Zèbre, La Licorne et Le Rino.
Parmi eux, plusieurs noms ont déjà été soulevés par les enquêteurs, dont pour Monsieur le Zèbre (Pierre-Yves RoyDesmarais et Claude Bégin), pour le Rino (José Gaudet, Réal Béland et Georges Saint-Pierre) et pour la Licorne (Nathalie Simard, Virginie Fortin, Lara Fabian).
Nous avons malheureusement déjà dû dire adieu à notre première personnalité, la Banane, où se cachait Gino Chouinard!
Une belle surprise qui semble avoir échappé à l’esprit des enquêteurs!
Que pensez-vous de ce premier épisode?
Ne manquez pas la suite tous les dimanches sur les ondes de TVA et TVA+, dès 18h30!
L’iconique figure québécoise, qui a contribué à démystifier plusieurs sujets tabous et qui continue de laisser une empreinte marquante au fil du temps, a eu droit à un bel hommage.
Pierre-Yves n’a pas tardé à mentionner les 99 ans de Janette et à faire l’éloge de cette grande dame!
Capture TVA
«39, ce n’est pas 40, mais c’est tellement absurde d’attendre pour fêter. Tu sais, c’est comme si une personne avait 99 ans, est-ce qu’on attendrait qu’elle ait 100 ans pour lui dire à quel point on l’aime?», lance PY.
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C’est ensuite qu’il a rejoint Janette dans la salle pour lui dire combien on l’aime, le tout sur un air bien festif!
Sur le plateau, Roch Voisine est revenu sur son intervention d’urgence, dû à ce problème qui était plus grave et potentiellement bien plus dangereux que ce que la star et ses médecins le croyaient.
« J’ai eu une infection à l’oreille, ils ont été obligés de m’opérer. Un streptocoque A à l’oreille et puis quand ils sont allés voir à l’intérieur, j’avais un autre problème potentiellement très dangereux. C’est que j’avais une fissure au niveau du cerveau. Donc ça aurait pu monter… j’ai été vraiment chanceux (…)», témoigne Roch.
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C’est par la suite qu’il a révélé devoir composer avec des séquelles, pas seulement dues à ce problème de santé, mais aussi à sa longue carrière.
«Mais, as-tu eu peur que ça affecte…?», voulait alors savoir la coanimatrice Julie Bélanger.
Caoture TVA
« Bien, j’ai eu peur. Honnêtement, j’entends moins bien de l’oreille gauche. Je suis déjà un peu malentendant, parce qu’on a tellement fait de musique avec ce qu’on appelait à l’époque les wedges (…) Ça, ça nous pétait les oreilles pas à peu près quand le monde criait (…) Moi, j’ai des appareils, mais je peux faire des concerts, j’entends le monde, j’entends la musique pareil. C’est juste gossant, pour l’instant. J’espère que ça va s’améliorer», termine le chanteur sur ces problèmes qui persistent.
Stéphane Rousseau était sur le plateau de Ça finit bien la semaine en compagnie des animateurs Jean-Michel Anctil et Julie Bélanger, où il a abordé divers sujets.
C’est à la suite d’une question de Julie Bélanger que Stéphane Rousseau a révélé comment il s’était senti avant d’annoncer publiquement qu’il avait trouvé l’amour avec Julie Perreault.
«Je sais que c’est un coup de foudre, tu l’as déjà dit. Vous avez eu le coup de foudre tous les deux. Puis, que là, la rumeur circulait, puis c’est vrai qu’on commençait à l’entendre dans le milieu. Vous avez voulu prendre les rênes là-dessus. Mais, vous êtes quand même deux personnes assez discrètes sur votre vie privée. As-tu eu un petit vertige au moment de peser sur le publier de cette vidéo-là?»
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«Moi, oui, clairement! Parce qu’on s’est vraiment assurés que ça allait sortir. On nous disait souvent: Ils ne peuvent pas sortir la nouvelle si vous ne l’avez pas confirmée. Mais, en fin de compte, ils allaient la sortir quand même. Alors on s’est dit: Aussi bien contrôler le message, puis ça va sortir. Mais, bon, c’est vrai qu’il y avait un petit vertige qui venait avec ça, et en même temps, on était bien excités, exaltés par notre relation. Alors on s’est dit: Pèse dessus… Non, c’est toi qui pèses dessus… C’est moi qui pèse dessus, parfait!», témoigne un Stéphane qui semble visiblement très heureux de cette relation.
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Nous souhaitons beaucoup de bonheur à Julie et Stéphane et longue vie aux amoureux!
Comme son amie, Hélène, était aussi présente sur le plateau, elles ont abordé leur première rencontre qui a laissé place aux confidences du passé.
À l’époque,Bourgeois-Leclerc travaillait comme réceptionniste dans le studio où Véro répétait pour Music Hall. Un jour, elle lui a demandé si elle pouvait lui emprunter sa place pour qu’elle puisse utiliser l’ordinateur à son poste de travail.
«Sais-tu pourquoi j’avais besoin de ta place?», demande Véro, continuant cette anecdote.
«Oui je le sais, mais on le dit?», lui répond Hélène.
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«Bien oui (…) J’écrivais des courriels à Louis Morissette en cachette (…) Donc, j’écrivais pendant les répétitions, parce que c’était mon seul moyen comme d’avoir… de se parler dans la journée», confie Véro sur ce qui s’agit, nul doute, des balbutiements de sa relation avec Louis.
Elle avait d’ailleurs demandé, à l’époque, à Hélène de garder le tout secret!
«Tu m’avais dit: Il ne faut pas que ça se sache», affirme Bourgeois Leclerc.
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«Tu ne veux pas que ça se sache, puis tu en parles à la réceptionniste?», ajoute avec justesse Antoine Bertrand, aussi présent sur le plateau et visiblement surpris par cette histoire.
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Un instant sur le plateau qui a déclenché de bons éclats de rire!
C’est à ce moment-là que nous avons appris avec surprise qu’ils avaient vécu une brève relation amoureuse.
Une rencontre amoureuse qui date du secondaire!
«En 1990, je vais au secondaire. Je suis amie avec une fille qui s’appelle Pascale, qui connaît Sébastien. Puis on se met à se tenir ensemble, on sort ensemble un mois, un mois et demi», débute-t-elle.
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«Vous êtes ensemble, ah oui?», demande, visiblement surprise, la co-animatrice Mélanie Maynard en faisant un geste qui veut laisser sous-entendre qu’il s’agissait d’une relation intime à ce moment.
«Oui, oui», confirme Benoit.
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«Il me faisait des cassettes», ajoute Véro.
C’est à ce moment que l’animateur de la prochaine saison de Chanteurs masqués a dévoilé comment il avait réussi à charmer Véro à cette époque.
«La manière de rejoindre le cœur de Véro, à l’époque (…) c’était de lui faire des cassettes», avoue Sébastien.
Nathalie Simard était sur le plateau de Salut Bonjour en compagnie d’Ève-Marie Lortiepour parler de sa nouvelle émission, Ma mère, ton père, qui débutera ce soir sur les ondes de TVA.
«Absolument, ma fille m’aime tellement (…) Souvent elle a levé des red flags, tu comprends? (…) Puis moi, ça ne me tentait pas (…) Je me remettais moi en question en disant: j’ai trop vécu d’affaires. Puis là, arrête d’être marquée, puis laisse-toi aller, donne une chance. Mais j’ai trop donné de chances dans la vie à mon détriment. Alors, ma fille, je lui laisserais cette manette-là de mon cœur avec toute la confiance que j’ai pour elle. Parce que je l’aime, je l’ai élevée, elle me connaît, elle sait ce que je veux (…)», témoigne celle qui a annoncé, il y a quelques mois, sa rupture avec son amoureux des dernières années.
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Ce n’est pas tout, puisqu’elle a également confié à Ève-Marie comment elle parvenait à toujours croire en l’amour.
«Comment continuer de croire en l’amour quand on arrive en âge, Nathalie?», lui demandait Lortie.
«Je pense que c’est d’apprendre à se faire confiance en vieillissant et d’apprendre à se respecter aussi. Je pense que c’est là les enjeux. Moi honnêtement je ne l’ai pas encore fait, mais je pense que je vais me faire une liste. Je vais me la faire ma liste: qu’est-ce que je veux et qu’est-ce que je ne veux pas? Je l’ai de même vite fait (…)», ajoute Nathalie avec sagesse.
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Nous lui souhaitons le meilleur pour le suite autant professionnellement, que personnellement!
Rappelons également que nous avons récemment eu l’occasion de nous entretenir avec Nathalie Simard, où elle s’est confiée sur sa vie amoureuse. Pour en savoir plus, nous vous invitons à lire notre article précédent!
L’émission Quel Talent!, qui a récemment fait son entrée sur nos écrans de télévision québécoise, nous divertit avec les performances variées de ses candidats.
L’un des juges de cette première saison, Serge Denoncourt, a d’ailleurs permis à l’une des candidates vivant avec un handicap visuel de réaliser un rêve.
En effet, Marie-Christine Ricignuolo, qui montait sur scène pour interpréter un numéro à saveur humoristique, avait comme souhait de faire rire Serge, qui on le sait, n’a pas le rire facile et est plutôt très critique dans ses propos.
«Mon plus grand rêve aujourd’hui, en toute transparence, ce serait de faire rire Serge Denoncourt», dévoile celle qui a perdu la vue à 30 ans. Elle était aussi, à l’époque, la maman du petit Liam qui n’avait que deux ans lors du triste événement.
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Un souhait qui a tout de suite fait rire les juges!
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C’est par la suite qu’elle a appris que son rêve avait été réalisé, en plus d’avoir une ovation du public.
Ne pouvant malheureusement pas voir le visage de Serge, Marie-Mai a tenu à lui partager la bonne nouvelle.
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«Marie-Christine, j’ai deux bonnes nouvelles pour toi (…) La première c’est que tu as eu une ovation debout (…) Et la deuxième, Serge a ri».
Serge a confirmé ce fait, en lui avouant qu’il l’avait trouvée drôle et qu’il avait adoré son numéro.
Ce n’est pas tout, puisque Rachid Badouri, également juge à l’émission, lui a proposé de venir éventuellement faire une première partie, un soir, lors de son spectacle actuellement en écriture.
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Un moment à la fois magnifique, touchant et humoristique!
Et le meilleur dans tout cela, c’est que Marie-Christine passera à la prochaine étape de la compétition!
Un moment l’a d’ailleurs profondément émue lors de sa présence sur le plateau.
Il s’agit de la présentation d’une vidéo où certains parents expriment leur profonde gratitude envers elle et son mari, Louis Morissette. Ces parents, reconnaissants, expliquent que leurs jeunes adultes atteints d’un trouble d’autisme ont la chance de résider dans des maisons construites grâce à la Fondation Véro & Louis.
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Une cause importante que le populaire couple a à cœur!
«Bon, je veux dire…Je suis vraiment super touchée. C’est une très jolie idée, merci beaucoup! Parce qu’il se dit beaucoup de belles choses sur moi ce soir, vraiment très gentilles, mais ça tu sais, c’est des vraies affaires. Ce n’est pas du showbizz, puis du divertissement. C’est de vraies familles qui existent et qui ont besoin de ça, puis y’en a encore beaucoup…Je m’excuse, ça me touche vraiment beaucoup, je ne sais pas pourquoi, je suis désolée. Non je sais pourquoi, parce leur réalité me touche (…) Puis aussi parce que, je vais le dire super honnêtement, puis je ne veux pas que ça ait l’air prétentieux au quoi que ce soit… Je suis super fière de Louis et moi qu’on fasse ça», témoigne une Véro les larmes aux yeux, touchée par ces remerciements.
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Une fondation qu’ils n’ont pas fondée pour eux, mais bien pour offrir l’aide nécessaire.
«Tu as dit tantôt: vous aviez un rêve…Ce n’est pas mon rêve, c’est celui de Guylaine Guay, c’est pour elle et toutes les familles comme la sienne qu’on le fait», répond-elle à l’endroit de l’animateur André Robitaille avec beaucoup d’émotions.
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Quel moment touchant en compagnie de Véro.
Rappelons qu’il est possible de faire un don en tout temps pour leur fondation en vous rendant sur le site officiel.
Le journaliste et chroniqueur de carrière, connu pour son franc-parler, a lancé la discussion sur cet enjeu de société délicat qui lui tient à cœur et selon l’une de ses dernières expériences vécues, chez lui, à Montréal.
«L’autre jour, je me promène dans la rue chez nous (…) Puis, je vois le facteur. Je dis au facteur: Écoute, je suis à trois quatre portes de chez nous, j’attends mon passeport (…) Puis, je m’aperçois que je parle tout seul. Le gars il dit: What? Je dis: Pardon?You don’t speak french?(…) No. J’ai dit: You should, tu devrais! Il dit: Ah, you know…ce n’est pas nécessaire. Il a écouté le président d’Air Canada, c’est clair! On peut vivre à Montréal sans parler français. C’est épouvantable, je m’en veux de ne pas avoir porté plainte à PostesCanada (…)», témoigne Mongrain avec entrain et une dent certaine contre les propos passés du PDG d’Air Canada… ainsi que son facteur.
«La problématique que nous avons et depuis toujours (….) Nous nous sommes confortés dans une majorité au Québec se disant que nous autres ici c’est français. Mais, nous sommes traités comme une minorité. La plus importante minorité canadienne. Comment on traite les minorités, posons-nous la question, pour les minorités que nous avons et que nous côtoyons. Je ne suis pas sûr qu’on leur donne toute la place qu’ils méritent. Parce qu’ils participent aussi à ce que nous sommes. Alors, le président d’Air Canada qui nous dit ça, l’autre jour, j’aimerais ça avoir une petite conversation avec lui, juste pour voir s’il est fluide», ajoute Jean-Luc avec la fougue qu’on lui connaît.
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Par la suite, Louis Morissette a appuyé l’opinion de Jean-Luc, révélant qu’il tient souvent le même discours lors de soupers entre amis.
«On dirait qu’il n’y a pas d’urgence. Les gens ne voient pas le problème. Ils sont comme: Mais, ce n’est pas grave on va parler deux langues (…) Moi, je prends l’avion…what you wanna drink? Hum, on part de Montréal! Pardon? Je sais très bien ce que tu m’as demandé, mais tu vas me demander: Qu’est-ce que tu veux boire? De l’eau! I dont’ speak french. De l’eau, d’après moi c’est écrit sur la bouteille. Donc, fait une petite recherche, tu vas le trouver. Je viens mauvais!», ajoute Louis tout aussi sensible sur le sujet.
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«(…) Ce qui nous appartient collectivement c’est notre culture, notre identité, notre langue et notre survie. J’ai peur qu’on soit condamné à disparaître, ça serait épouvantable», termine Jean-Luc Mongrain.
Un moment qui, disons-le, suscitera certainement des réactions, mais qui s’avère un important débat de société!
