Robert Brouillette, qui a marqué la télévision québécoise par le passé notamment avec son rôle de Louis dans le populaire téléroman 4 et demi, était présent sur le plateau des Enfants de la télé, justement dans le cadre du spécial de cette série culte.
Comme nous ne voyons plus Robert à la télévision depuis plusieurs années, l’animateur André Robitaille a voulu savoir s’il était un homme heureux à ce jour. C’est ainsi qu’il a abordé le domaine dans lequel il travaille maintenant!
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«Oui, je travaille dehors et ça là pour moi, c’est la joie», répond Brouillette.
«Qu’est-ce que tu fais dehors?», veut savoir André.
«Je suis en construction!», dévoile-t-il visiblement heureux!
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Un métier qui fait jaser ses clients, car lorsqu’ils le voient arriver chez eux, ils le reconnaissent souvent et parfois ils vont jusqu’à inviter leurs voisins pour leur montrer que Robert Brouillette est chez eux, comme il le confie.
Un beau domaine, mais on s’ennuie toutefois de voir Robert à la télé!
Lors du dernier épisode, un moment émouvant s’est déroulé entre Maurice et Sandy, tandis qu’Alain a eu droit à un tête-à-tête mémorable lors d’une date sur l’eau.
Alain, qui n’avait pas été choisi pour un moment seul avec une dame lors du premier épisode, a finalement eu l’occasion de faire bonne impression. Il est parti en paddleboard avec Chantal, sous l’œil attentif de leurs enfants respectifs, qui les espionnaient.
Ces derniers ont même pu souffler des consignes à l’instructrice, présente sur l’eau, pour créer des moments aussi loufoques que mignons.
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Une date qui s’est plutôt bien passée. Chantal appréciait d’ailleurs le côté rassurant d’Alain, mais rappelons qu’elle a également un œil sur Yanick. Qu’adviendra-t-il? Le temps nous le dira certainement!
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C’est un peu plus tard à l’émission que nous avons eu droit à un moment touchant entre Sandy et Maurice, qui se sont retrouvés pour une discussion seul à seul.
Les deux se sont confiés plus en profondeur, notamment Sandy, qui a partagé qu’elle avait trois enfants de trois pères différents, soulignant qu’elle ressent souvent du jugement à ce sujet. Elle a ensuite évoqué ses doutes concernant son attrait pour la gent masculine. C’est alors que Maurice s’est ouvert à son tour sur l’intimidation qu’il a subie dans sa jeunesse, notamment en raison de son apparence physique de l’époque. Cette expérience a laissé des traces, au point qu’il se demande parfois aujourd’hui si quelqu’un peut réellement s’intéresser à lui. Une confidence qu’il révélait pour l’une des premières fois, se sentant visiblement à l’aise en compagnie de Sandy.
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Des traces du passé qui perdurent dans l’esprit et que Sandy arrive à comprendre, puisqu’elle a ensuite confié à Maurice avoir déjà été dans une relation malsaine où son conjoint la rabaissait à propos de son apparence physique.
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Un moment diffusé dans la salle des enfants des candidats qui a profondément ému Ève-Amélie, la fille de Sandy.
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Des confidences qui semblent avoir bouleversé Sandy, que l’on a vue pleurer dans la cuisine par la suite. Maurice est toutefois venu la consoler en la prenant dans ses bras.
Un moment très touchant et un duo que l’on adore voir ensemble!
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N’oublions pas l’arrivée d’une nouvelle candidate, Manon, qui semble être déjà tombée dans l’œil de quelques hommes, en plus d’avoir eu une belle discussion en tête à tête avec Jonathan.
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Un autre dossier à suivre!
Pour ne rien manquer de Ma mère, ton père, rendez-vous les jeudis dès 20h sur les ondes de TVA!
Rappelons que Cogeco avait choisi de racheter le contrat du chroniqueur économique, une triste nouvelle annoncée qui lui a été annoncé à la fin juin.
C’est lors de son passage au talk-show de Marc Labrèche qu’il a déclaré ne pas avoir su les véritables raisons derrière ce congédiement, tout en dévoilant si cette décision lui avait fait de la peine ou non.
«Je ne sais pas la raison pour vrai, puis je vais… Je peux juste dire ça pour vrai, c’est qu’un moment donné, j’ai reçu un appel puis: On va racheter ton contrat. Alors, pour un instant, je me suis senti comme un joueur du Canadien», dévoilait McSween en premier lieu.
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«Bien, au travail, pour vrai, sans joke… Donc, disons que le contrat est terminé. Tu arrives chez toi, puis là ton contrat est fini, bien c’est comme quand tu te fais laisser par ta famille. Tu te dis: Écoute, je pensais faire partie d’une famille, finalement c’est fini (…) Tu te dis: Je vais m’en retourner et me faire une nouvelle famille. C’est un peu la même affaire», affirme Pierre-Yves.
Un homme important avec qui il a vécu cette expérience radio a toutefois permis à McSween de mieux faire passer la pilule. Une confidence qu’il a faite suite à la question de Léane Labrèche-Dor, présente sur le plateau, qui voulait savoir si cette étape lui avait fait de la peine.
«Je me levais à 4 heures du matin tous les jours, pour écrire des chroniques et faire de la radio avec Paul Arcand. Je me levais tous les matins de ma vie pour travailler avec Paul Arcand, on s’entend-là. J’écoutais Paul Arcand à la radio quand j’étais comptable et maintenant, bien, j’étais dans l’émission, c’était incroyable, donc j’étais content. Puis, là, comme Paul a pris sa retraite, disons que ça me fait moins mal. Il n’a pas pris sa retraite, excusez-moi, Paul fait d’autres projets. Mais, ça me fait moins mal que si c’était lui qui avait dit: Je ne veux plus de McSween. Là, tu sais, ça, ça m’aurait fait de la peine (…)», confie-t-il avec vulnérabilité et une part de reconnaissance.
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Paul Arcand aura définitivement joué un rôle important dans la vie de Pierre-Yves… que pensez-vous de son départ?
Quel Talent! est l’un des rendez-vous télévisuels en semaine au Québec, où plusieurs performances ont lieu et où certaines nous émeuvent d’une manière particulière. C’est le cas d’un grand-papa venu rendre un dernier hommage à son petit-fils décédé du cancer, lui-même maintenant atteint de la maladie.
C’est sa fille, Caroline, la mère du jeune garçon décédé, qui est montée sur scène en surprenant son papa, Claude, en lui annonçant que c’était son moment de réaliser son rêve, soit chanter et tenir sa promesse.
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«Je voudrais réaliser le rêve de quelqu’un ce soir, qui m’est très cher, qui est mon père. Il y a 16 ans, on a vécu un moment difficile en famille: on a perdu mon fils Maxence, puis il a promis de chanter pour lui, donc ce soir ce sera son moment, pour lui», témoignait sa fille.
Un moment auquel il ne s’attendait pas du tout.
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«Raconte-nous cette promesse que tu voulais…», demande le juge Rachid Badouri à Claude une fois sur scène.
«Ça va être dur pour moi de vous l’expliquer. J’ai perdu mon petit-fils qui est décédé dans mes bras et je lui ai dit: un jour grand-papa va chanter pour toi. Et présentement, j’ai un cancer et je suis en traitement. Je ne sais pas si je vais passer au travers ou pas, mais je vais tenter de chanter pareil malgré la situation (…) Puis la chanson que je vais chanter, c’est La quête, pour tous ces gens ici qui ont perdu quelqu’un de près ou de loin, un enfant», témoigne-t-il avec une émotion plus que compréhensible.
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C’est suite à sa performance que Claude a tenu à faire des remerciements des plus touchants.
«Merci, grâce à vous j’ai réalisé mon rêve pour mon petit-fils. Maintenant, je peux partir en paix, mais je tiens à vous remercier beaucoup», disait-il, reconnaissant.
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Un moment complètement bouleversant et nul besoin de vous dire que les larmes étaient présentes dans le public.
Nous souhaitons à Claude et sa famille de doux moments!
Un moment où les animateurs revenaient sur des moments marquants de cette série culte, mais aussi sur des instants de carrière des vedettes de l’émission qui jouait sur nos écrans de 1994 à 2001.
C’est lors du segment publicitaire qu’on a présenté la vidéo d’une publicité qu’Isabelle a faite par le passé en étant l’égérie d’Olay, où elle joue une femme coquette qui prend bien soin de sa peau.
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Une offre à laquelle elle ne croyait pas du tout et a même ri lors de son annonce pensant qu’il s’agissait d’une blague.
«Ça, cette pub-là… dans ce temps-là, je savais que… (…) l’émission Surprise Surprise, me cherchait. Je savais qu’ils voulaient me prendre quelque part. Et quand j’ai reçu cette proposition-là, j’étais avec mon agent. On prend l’avion, on s’en va à Toronto rencontrer les gens de Procter & Gamble, moi, je suis sûre que c’est une joke (…) Ils ont dit: on cherche l’effigie de Love Olay (…) On a fait un sondage pour savoir laquelle représentait la santé. Moi, je pars à rire, mon agent me pinçait. J’étais là: Claudia Schiffer n’était pas disponible, hahahaha? Je te jure là! Mon agent était là: mais tais-toi, Isabelle. Moi, j’étais sûre que c’était une joke! (…) », dévoile Isabelle sur ce moment de carrière.
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Un moment très divertissant qui a bien fait rire les artistes et le public présent sur le plateau!
C’est lors de sa présence qu’il s’est confié sur un moment fort surprenant et cocasse qui s’est déroulé lors d’une scène en compagnie de France Castel.
Une confidence faite suite à la présentation d’un extrait vidéo d’une scène avec la comédienne provenant du film Karmina.
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Avant le tournage de la scène où les comédiens se trouvaient dans un lit, ils ont dû patienter dans cet élément de décor afin que la production puisse installer un rail. Un moment qui a peut-être été un peu trop long pour Robert, qui s’est endormi dans un endroit plus que particulier.
«Moi, je me suis endormi entre ses deux seins… comme un petit oiseau», dévoile Brouillette.
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Un moment télé qui a suscité de vives réactions et beaucoup de fous rires sur le plateau!
Emmanuelle Balmori, âgée de 51 ans, gagne sa vie en pratiquant le cerceau aérien, un fait que nous avons découvert suite à la question d’Anne sur son âge, ce qui a d’ailleurs grandement impressionné la juge.
«Ayayaye…Vous êtes jeune en même temps… là bon, on va revenir de ça», souligne Anne.
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«Hey, c’est toi qui lui as demandé son âge», fait remarquer Serge Denoncourt.
«Oui, non, mais c’est parce que je suis impressionnée. Je voulais que tout le monde l’entende, surtout, et beaucoup d’hommes qui pensent qu’on est passée date à 40 ans. C’est tout ce que je veux dire, c’est mon petit commentaire», ajoute Anne, qui tenait à passer un message.
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Emmanuelle tient d’ailleurs à inspirer les femmes en leur montrant qu’elles peuvent poursuivre leur passion sans date limite!
Finalement, la candidate a bien impressionné les juges et passe à la prochaine étape.
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Un moment important et une performance remarquable d’Emmanuelle!
Julie Perreault était l’invitée de marque à l’émissionPour une fois, où elle s’est confiée sur plusieurs aspects de sa vie, y compris son rapport à la mort après avoir perdu des personnes importantes au cours de la dernière année.
Un moment particulièrement touchant avec l’une de ses intervieweuses de la soirée, la journaliste Isabelle Richer, qui a frôlé la mort avant d’être réanimée. Après une brève discussion sur l’expérience de la journaliste, nous en avons découvert davantage sur la façon dont Julie perçoit les choses face à la fin d’une vie.
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«Alors parlant de mort, est-ce que tu y penses? C’est quoi ton rapport avec la mort? Est-ce que tu penses à la tienne, à celle des autres, à celle des gens que tu aimes? Qu’est-ce que tu entretien comme rapport avec la mort?»
«Étonnamment, c’est une bonne question parce que cette année, il y a deux personnes qui sont mortes près de moi, qui avaient mon âge ou même moins, puis ça a changé ma vie. Je vais t’expliquer pourquoi (…) Eh bien, c’est que moi je ne pense pas à ça, la mort, parce c’est comme je suis vivante, je suis jeune, je suis en santé, mais de perdre, comme mon ancien beau-frère de 50 ans dans une mort d’accident tragique ou un ami photographe qui est mort subitement, très jeune, avec de jeunes enfants… C’est comme si là, tout à coup, il y a comme un message qui m’indique que je peux mourir demain (…) Il y a deux choses que je me dis depuis ce temps-là: règle ce que tu as à régler, parce que je trouverais ça bien plate de laisser des situations ou des relations désagréables ou détestables. Puis profite dont de tout parce que tu ne le sais pas», témoigne Julie sur la mort, qui peut parfois arriver plus vite qu’on le pense.
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Un moment en compagnie de Julie et Isabelle qui pousse à la réflexion, tout en étant profondément touchant.
Le pro de l’économie, Pierre-Yves McSween, était l’invité spécial de l’émissionJe viens vers toi, où il a jasé un tantinet de politique et de la possibilité de se lancer dans le milieu.
Lors de sa discussion sur la fin de son contrat radio, il a sous-entendu qu’il pourrait être intéressé à remplacer l’ancien ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie du Québec, Pierre Fitzgibbon. Une confidence faite à la suite d’un commentaire de l’ancien maire Régis Labeaume.
«Tu es vraiment fait pour la politique… je t’écoute», souligne Régis, envoûté par le discours de Pierre-Yves.
«Il y a un monsieur Fitzgibbon qui est parti, et puis là je suis un agent libre. Je ne veux pas lancer de rumeur, mais ministre…», répond McSween avec un geste de tête qui laissait sous-entendre un pourquoi pas.
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Cependant, il a précisé qu’il n’était pas intéressé à devenir superministre, en réponse à une question de l’animateur Marc Labrèche, qui lui demandait s’il serait prêt à occuper ce poste, mentionnant au passage qu’un poste de député du NPD à l’opposition au fédéral était aussi payant que celui de ministre au provincial.
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«Et c’est bien moins de travail!», termine McSween, qui sait bien compter son temps et son argent.
Plus tard dans l’émission, il a également mentionné qu’il avait toujours affirmé haut et fort qu’il ne se lancerait jamais en politique, et qu’il devrait maintenant passer outre cette promesse si tel était le cas dans le futur.
Tout en ajoutant qu’au moment de ses promesses il avait un emploi, mais les choses ont changé et il ne semble plus fermé à cette potentielle future carrière.
Celle qui réussit toujours à nous surprendre par ses grivoiseries a fait une confidence surprenante sur la manière dont elle aimerait que le monde embrasse le sexe.
Ce moment a eu lieu après une question de l’animateur, Marc Labrèche, qui souhaitait savoir si ses invités pensaient que l’argent dominait davantage le monde que le sexe.
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«Non, mais si… je me dis, tout le monde, s’adonnait à des expériences comme ça, sexuelles, soit seul ou en groupe ou à deux, le monde irait tellement mieux. On pourrait mener le monde d’une manière (…) Mais ça mène le monde effectivement parce que ça reste quelqu’un de frustré qui nous met en danger (…) Donc si ça se met à aller mal, souvent c’est des frustrés probablement qui n’ont pas assez exulté, puis assez joué du bassin», témoigne Élise qui considère que la vie serait mieux ainsi.
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On ne sait toutefois pas si elle applique elle-même cette vision.
