Le syndicaliste de la Côte-Nord, affilié au local 791 et connu depuis de nombreuses années pour ses méthodes pour le moins drastiques afin de défendre les droits de ses membres, vient d’être expulsé par la FTQ-Construction.
C’est une nouvelle rapportée par le Journal de Montréal, qui révèle que Bernard «Rambo» Gauthier s’est vu retirer sa carte de représentant, l’empêchant désormais d’agir comme porte-parole sur les chantiers affiliés à la FTQ.
Ce dernier aurait fait l’objet de nombreuses plaintes concernant ses agissements, lesquels incluent, entre autres, selon un communiqué interne de la FTQ-Construction, un manque de respect, de loyauté et de discernement envers ses collègues, ses officiers, les affiliés, ainsi que les travailleurs et travailleuses.
Dans un deuxième article publié par le même média, quelques heures après cette annonce, on en apprenait davantage sur les raisons de ce désaccord avec le syndicaliste. En plus des plaintes déposées à son égard, certaines vidéos publiées par Bernard sur ses réseaux sociaux auraient poussé la FTQ-Construction à prendre sa décision finale.
On rapporte que Rambo aurait tenu des propos virulents envers la FTQ, critiquant sévèrement les dirigeants pour leur inaction alléguée concernant la sécurité des travailleurs, un enjeu crucial.
Bernard Gauthier a ensuite décidé de prendre la parole sur ses réseaux sociaux, accusant les dirigeants de la FTQ d’être« dans le plat de bonbons» et de gérer la centrale syndicale «comme un gouvernement». De plus, il compare la FTQ-Construction à un «avion mal piloté» et déplore que des dirigeants aient actuellement un «ego démesuré».
Il s’agit donc de la fin d’une ère pour celui que l’on surnomme Rambo et qui était devenu une star depuis la tristement célèbre Commission Charbonneau, qui enquêtait sur la collusion et l’influence du crime organisé dans le domaine de la construction et l’octroi de contrats, en 2015.
Il s’agissait de la chanteuse Kim Richardson, présente sur le plateau pour parler de son spectacle Mon Noël, où elle se produira, durant trois soirées, pour interpréter des chansons qui plongent dans l’ambiance magique du temps des Fêtes.
Après une magnifique discussion entre les deux femmes, Kim a offert une prestation a cappella de la chanson Amazing Grace, tout en étant assise aux côtés de l’animatrice.
Ève-Marie, profondément touchée par ce moment d’émotion, n’a pu retenir ses larmes.
«Je vais me gérer là, et je vais revenir», témoigne Lortie après cette performance incroyablement divine.
Un moment très touchant, qui donne parfaitement le ton à l’ambiance des Fêtes.
Nous étions impatients de découvrir quelles personnalités allaient se lancer dans cette aventure palpitante, qui se déroulera dans la jungle panaméenne. Bonne nouvelle, l’attente est terminée, puisque la production vient de dévoiler l’identité des courageux participants!
Rappelons que chacun d’eux jouera pour remporter le grand prix, qui sera remis à une œuvre caritative ou à une fondation de leur choix.
Vous serez heureux d’apprendre que Gino Chouinard sera de la partie qui jouera pour la Fondation du Centre jeunesse de la Montérégie, ainsi que Jean-Michel Anctil pour Au Trait d’Union Québec, en plus de Sonia Vachon, qui soutiendra Autisme Estrie.
À ceux-ci s’ajoutent de nombreux grands noms issus tant du milieu sportif que du milieu artistique, notamment Marc-Antoine Dequoy (Fondation québécoise du cancer), Brigitte Lafleur (Allergies Québec), Naadei Lyonnais (Lacourse pour l’autisme), Jeff Boudreault (Fondation Le Havre du Lac Saint-Jean), Chloée Deblois (Maison Source Bleue), Kim Rusk (Parkinson Québec) et Pascal Morrissette (Regroupement des maisons des jeunes du Québec).
Que pensez-vous de ces choix?
Cette troisième saison débutera au printemps 2025, sur les ondes de TVA et le tout ne risque pas d’être ennuyant du tout.
C’est lors de son passage qu’elle a aussi discuté du temps des Fêtes qui s’en vient à grands pas et du fait, qu’avec sa famille, il s’agit d’un moment très important, autant avec son conjoint, ses enfants, ses petits-enfants, mais aussi ses arrière-petits-enfants.
Elle a commencé par partager que sa famille était le fondement de tout pour elle:
«C’est ma base, sur laquelle je construis tout… s’ils n’étaient pas là… je ne peux même pas envisager leur absence.»
«Ils sont là, et puis c’est ma base (…) Tant que je vais être bien, à Noël, c’est moi qui reçois et je vais faire mes tourtières», confie Janette, laissant transparaître tout l’amour qu’elle porte à sa famille.
Il faut saluer cette grande dame, qui, malgré ses 100 ans qu’elle fêtera en mars, continue d’accueillir chez elle les tous les membres de sa famille, pour célébrer ce moment festif.
OD Tentations au soleil a fait son arrivée au grand bonheur de plusieurs sur Crave et comme nous vous en avions parlé préalablement, le premier épisode était déjà très divertissant. Le deuxième a quant à lui mis le ton encore plus à ce qui nous attendait pour le reste de l’aventure et c’est très loin d’être ennuyant.
Nous avons eu droit à l’arrivée de celle qui ne laisse pas sa place,Jenny, connue à OD dans l’Ouest, et on a tout de suite pu constater que son côté croqueuse d’hommes n’a pas disparu. Dès les premières minutes dans la maison, elle a immédiatement pris les choses en main et s’est dirigée vers les candidats avec son côté très séducteur. Ce n’est pas tout, car juste avant son entrée, les garçons avaient la chance de miser sur une date en sa compagnie, dont l’identité était secrète à ce moment.
C’est Mathieu B., d’OD Andalousie, qui a remporté un rendez-vous solo avec Jenny, en misant 3000 $ de sa cagnotte. Lui qui était déjà très intéressé par la présence de Jennifer, d’OD Afrique du Sud.
Jennifer semble, par ailleurs, déjà très attachée à Mathieu B. et elle a fait monter la chaleur rapidement entre eux, la veille, avant son départ pour un tête-à-tête avec Jenny. Bien qu’aucun french n’ait été échangé à ce moment, leur chimie physique était plus que palpable.
Ne passons pas sous silence que Mégane et Dragos semblent déjà bien affichés ensemble. Bien que Jenny ait démontré son intérêt pour lui, le jeune homme n’a d’yeux que pour celle qui aime le luxe et l’argent.
Revenons maintenant à la date prévue entre Mathieu B. et Jenny, sur un yacht qui favorisait les rapprochements. Bien que ce dernier ait manifesté l’intention de l’embrasser, elle a choisi de ne pas le faire. Elle lui a d’abord donné l’opportunité de voir avec Jennifer avant, et lui a expliqué que, s’il voulait vraiment l’embrasser, il devrait le faire devant tous les candidats.
Nul besoin de vous dire que Mathieu était déjà dans l’eau chaude et allait devoir faire un choix, lui qui se retrouvait, dès le deuxième épisode, pris dans un triangle amoureux.
C’est par la suite que les candidats ont joué au populaire jeu « vérités ou conséquences » et le moment était très hot, puisqu’on est passés du léchage d’oreilles, au miel sur le corps, jusqu’à la révélation de qui chacun d’eux souhaiterait embrasser.
C’est d’ailleurs suite à la conséquence de Jennifer, qui devait déguster de la crème fouettée dans le cou de Mathieu, et que la friandise est tombée sur son entre-jambe, que le duo est monté à l’étage pour que celui-ci puisse se nettoyer.
Un moment qui a été propice, une fois de plus, aux rapprochements, et le tout s’est finalement concrétisé lorsqu’ils ont échangé leurs fluides en s’embrassant langoureusement.
La bisbille n’était d’ailleurs pas loin, puisque, après cet événement, Jennifer a eu une discussion un peu plus intense avec Jenny, supposant que cette dernière était fâchée, sans qu’on sache réellement pourquoi, ce qui ne semblait pas être le cas pour Jenny.
Les deux jeunes femmes ont ainsi eu un échange un peu moins cordial, mais au final, tout semble avoir été réglé.
Ce deuxième épisode a certainement mis en valeur le trio Jenny, Jennifer et Mathieu, mais il faut également mentionner que plusieurs autres candidats semblent avoir des intérêts communs, comme Audrey, Walide et Dragos avec Mégane.
On peut aussi parler d’un possible triangle amoureux entre Antoine, Ophélia et Virginie, bien que tout laisse supposer qu’Antoine ira de l’avant avec Ophélia… Un dossier à suivre…
D’ailleurs, en toute fin d’épisode, les garçons devaient faire un choix concernant la candidate qu’ils voulaient sauver de l’élimination… Un dossier qui, lui aussi, reste à suivre, et c’est lors du prochain épisode que nous découvrirons qui des filles devra quitter l’aventure!
Au final, on peut le dire, l’émission a tout pour plaire aux adeptes de télé-réalité de ce genre.
Pour ne rien manquer de la suite, rendez-vous sur Crave!
Phil Roy, papa de deux jeunes enfants, deux petites filles, a vécu un petit incident lié au début du décompte de Noël, impliquant également l’une d’elles.
«Accident de calendrier de l’Avent. Dans l’excitation de voir les autocollants derrière la porte 1… Billie vient me sacrer le coin du calendrier sous l’œil», a-t-il partagé.
«Ti-oeil au beurre noir. Mais c’est un accident et pour se faire pardonner, elle m’a offert une boule du sapin, ça fait que tout est correct», ajoute Phil.
C’est donc à quelques jours de son animation au Gala Cinéma Québec qu’il devra, peut-être, vivre avec un œil au beurre noir… Espérons que non pour lui!
Comme quoi, les calendriers de l’Avent peuvent être dangereux!
C’est d’ailleurs dans le deuxième épisode d’OD Tentations qu’elle est revenue sur le sujet en dévoilant combien elle gagnait par mois. En effet, celle qui, dès les premières minutes de cette nouvelle télé-réalité présentée sur Crave, a immédiatement cliqué avec un candidat, Dragos, confiait qu’elle souhaitait poursuivre l’aventure avec lui. Elle a également précisé qu’elle n’était pas là pour jouer une game afin de remporter le prix de 25 000$, jugeant ce montant minime à ses yeux.
«Moi, ce n’est pas 25 000$ qui va changer quelque chose dans ma vie. C’est un mois de travail. Dans ma job, je peux faire jusqu’à 45 000$ par mois», débute Mégane.
«C’est quoi ta job?», veut savoir Ophélia, qui écoute le discours de la jeune femme aux côtés d’Audrey.
«Je vends dans les autos in and out, puis mes selles, c’est extrêmement payant», ajoute-t-elle.
Comme quoi, la jeune femme n’a pas réellement changé, du moins sur le fait de parler ouvertement d’argent!
Elle expliquait d’abord qu’elle était aussi transparente, en racontant des anecdotes sans tabous sur sa vie, car avec les derniers événements qui se sont déroulés dans les dernières années, elle souhaite faire preuve de franchise et de transparence, tant pour les gens qui l’aiment que pour ceux qui la détestent.
«Je n’essaie pas d’être quelque chose que je ne suis pas (…)», lance Maripier.
Morin a alors répondu en dévoilant qu’elle avait vécu la même chose de son côté, puisqu’elle travaillait, comme on le sait, à WKND et a été remerciée lorsque la station a simplement fermé et a été remplacée par QUB Radio. Une mise à pied qui a eu lieu la veille des funérailles de son petit frère. Un adieu à ce poste de radio avec lequel elle était en paix, comme elle le mentionne, après avoir vécu un accouchement difficile, en plus de la perte de son frère juste après, un terrible deuil.
«Finalement, quand Cogeco a appelé et que j’ai su que ce serait avec Marie-Eve Janvier, on dirait qu’intérieurement, il y a une cloche qui a sonné, parce que le deuil d’un frère, ce n’est pas tout le monde qui connaît ça. Puis, pour faire l’histoire courte, mon chum, son meilleur ami, c’était le frère de Marie-Eve Janvier. Ça fait que là, on dirait que je voyais les deux frères en haut qui se disaient: Peut-être que ça leur ferait du bien de les mettre ensemble. Je n’ai pas réfléchi bien, bien plus que ça. J’ai eu envie d’aller me coller sur Marie-Eve», ajoute Maripier sur cette alliance qui avait visiblement du sens.
«As-tu eu l’occasion de parler à Patricia?», voulait aussi savoir Guy A. étant donné les circonstances qui ont fait énormément jaser.
«Non, malheureusement», répond-t-elle avec franchise.
Un instant télé fort intéressant en compagnie de Maripier.
La grande chanteuse a débuté en parlant des funérailles de Ferland, où elle a chanté. Elle a également confié avoir été l’une des premières à apprendre sa mort.
C’est par la suite qu’elle a tenu à préciser un point important, semble-t-il, mais qui a tout de même surpris. Ce partage a été fait après que l’animatrice Julie Bélanger lui a demandé comment elle s’était sentie face à la perte du chanteur.
«C’est très difficile pour moi (…) tu sais, c’est comme… à chaque fois que quelqu’un que j’ai été proche de… je n’ai jamais fait l’amour avec (…) Non, mais j’aurais pu (…) j’aurais pu faire l’amour avec (…) Tu sais-tu quoi? Le Noël d’avant (…) qui venait de passer, il m’appelle. Puis, sa blonde est là, elle est avec lui. Puis, il me dit: Je veux juste te souhaiter, parce qu’il disait qu’il aimait ça être saoul. Il disait: Je ne suis pas un alcoolique (…) j’aime juste boire et être saoul (…) Ça fait que là, il dit: Ginette, je veux te souhaiter un Joyeux Noël (…)Tu sais que tu aurais pu être ma femme. J’ai dit: Ben oui, mon beau Jean-Pierre, je suis sûre. C’était adorable», raconte Ginette.
Maripier Morin était sur le plateau de Tout le monde en parle pour discuter de la nouvelle télé-réalité OD Tentations au soleil, qu’elle anime. Lors de son passage, Guy A. Lepage s’est permis de sortir du cadre du sujet principal pour lui poser des questions plus personnelles.
«C’était comme de vivre presque simultanément une naissance et un décès?», demande Guy A.
«Ça va faire cinq mois cette semaine. Je pense que ça fait plus mal là que sur le coup, parce que, quand tu viens d’accoucher, tu as le corps plein d’hormones de bonheur (…) Ç’a mis un espèce de paravent, puis je pense que le corps est bien fait parce que ça m’a protégée, parce que, moi, je devais m’occuper d’un bébé naissant. Donc, j’ai été apte à m’occuper de mon garçon et de ma fille (…) », confie en premier lieu Maripier.
Elle enchaînait par la suite en lançant un cri du cœur, un message qui pourrait aider les personnes aux prises avec des dépendances tout en contribuant à démystifier le visage de cette maladie.
«Dans les fraternités anonymes, ils disent toujours cette phrase-là. La phrase que les gens qui sont atteints de la maladie de la dépendance se ramassent à trois places si on ne s’en occupe pas: à l’hôpital, en psychiatrie ou à la morgue. Puis moi, je la trouve grosse, cette phrase-là… Je suis comme: Ben là, capotez pas, la morgue, la morgue. Mon frère est allé aux trois, dans cet ordre-là. Il faut arrêter de minimiser les impacts de la dépendance. Il faut arrêter de penser que c’est des soulons, puis des drogués qui ne sont pas capables d’arrêter parce qu’ils n’ont pas de bonne volonté. C’est une maladie, il faut en prendre soin, mais il faut d’abord et avant tout que la personne ait le souhait d’arrêter (…) Ouin, ça a été raide, ça l’est encore», termine celle qui a aussi vécu, par le passé, des problèmes de dépendance.
Un témoignage bouleversant.
Toutes nos sympathies, une fois de plus, à Maripier et sa famille.