Auteur : Jessica Therrien

Élise Guilbault, qui est sans contredit l’une des chakras les plus importantes de l’émission Je viens vers toi, a toujours de bonnes anecdotes pour le public, qui s’avèrent d’ailleurs très souvent… croustillantes.

Lors du plus récent épisode du talk-show animé par Marc Labrèche, l’actrice émérite est revenue sur une histoire datant de son enfance, évoquant ses premières découvertes concernant le sexe opposé.

Une confidence qui s’est déroulée dans le cadre d’un segment où elle met sur la table un moment gênant qui peut marquer une vie et être regrettable, à la demande de Marc.

Dans le cas, d’Élise, un certain monsieur Paquet l’a bien bouleversée!

«Moi, j’ai été prise en flagrant délit, les culottes à terre (…) Au sens propre, oui, avec mon petit voisin (…) Je jouais au docteur. En fait, c’est que je voulais comprendre la véritable différence entre les petits gars et les petites filles. Alors, ça a été dans une boîte de pick-up (…) Une espèce de cours à scrap… Le fait est que le traumatisme ne vient pas du fait que j’ai vu de visou la différence entre les petits gars et les petites filles, ce n’est pas ça, c’est que monsieur Paquet nous a poignés (…) La honte, je me rappellerai toujours, évidemment, du regard de monsieur Paquet», dévoile Élise sans tabou, qui ajoute par ailleurs que le dit monsieur leur a dit de sacrer leur camp.

Heureusement il a été discret et la rumeur ne s’est pas rendu au village (comme elle l’explique)!

Une autre histoire pour le moins surprenante de la part d’Élise Guilbault!

Christine Beaulieu était invitée à Je viens vers toi cette semaine, où elle a discuté avec Marc Labrèche de sa mère, malheureusement décédée l’année dernière.

Une femme visiblement exceptionnelle, restée elle-même jusqu’aux derniers instants de sa vie.

Des confidences qui ont été partagées après que Marc Labrèche ait abordé le sujet, cherchant à comprendre ce qu’elle voulait dire en affirmant que sa mère lui avait appris à vivre, mais aussi à mourir.

«Ma mère, elle est morte d’une façon exemplaire. C’est plate, ce n’est pas un mot qui lui va bien. Elle ne voudrait pas être une personne exemplaire. Ma mère, elle haïssait les affaires parfaites. Elle ne faisait pas le ménage, elle ne voulait pas qu’on fasse le ménage. C’était vraiment quelqu’un qui n’avait pas de règlements», dévoilait Christine sur sa maman, qui voulait profiter d’être en famille quand l’heure était à la fête.

«Elle est décédée dans… bien, moi, je ne vois pas comment on peut mieux faire ce passage-là, qu’on va tous faire. Parce qu’elle a comme été formidable avec tout le personnel (…) alors qu’elle ne voulait pas mourir. Elle a accepté ce qui se passait (…) on était tous là et c’était juste vraiment beau (…) On était tous là dans sa chambre, puis c’était comme une chambre de fin de vie. Elle voulait que le frigidaire soit rempli pour ses invités. Tu sais, elle voulait que tout le monde vienne la voir, ça fait que là, il y avait toujours un verre de vin pour les invités. On a fait un mimosa la dernière journée, puis là, je trempais la petite éponge… je trempais ça dans mon mimosa, puis je lui mettais dans la bouche», racontait Christine sur ce moment à la fois difficile, mais où sa mère était toujours aussi impressionnante.

La comédienne partageait par ailleurs que lorsque les gens lui disaient qu’elle ressemblait à sa maman, c’était l’un des plus beaux compliments qu’elle pouvait recevoir. Elle ajoutait qu’elle essaie d’être une femme aussi admirable et joyeuse que cette dernière l’était.

«Moi, depuis son décès, je veux être davantage joyeuse. Parce que pour moi, si je suis davantage joyeuse, je me rapproche encore plus d’elle», termine Christine.

Un moment très touchant en compagnie de Christine.