Ce n’est pas quelque chose à quoi je pense beaucoup.
Un sujet peu abordé, mais inévitable
Dès les premières minutes du podcast, Martin s’est ouvert avec sincérité sur ce sujet inévitable, mais souvent redouté.
«Ce n’est pas quelque chose à quoi je pense beaucoup, mais je trouve ça bien d’en parler. Je trouve que c’est quelque chose qui est inévitable, puis qu’on devrait aborder plus», affirme Martin, après que l’animateur lui ait posé la fameuse question sur sa relation avec la mort, fidèle au concept du balado.
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Le décès de son père
Je l’ai mal vécue.
Le créateur des Beaux Malaises s’est confié sur la première mort marquante dans sa vie: celle de son père.
«Ma première mort proche… bien vraiment importante, c’est mon père, puis je l’ai mal vécue. J’étais comme pas prêt (…) Puis après ça, dû à notre métier, j’ai pu écrire un numéro et en parler devant des milliers de personnes (…) Cela dit, tu sais, j’aurais aimé ça prendre, le digérer, l’absorber, épouser cette épreuve-là. J’ai été comme mal, donc il y a quelque chose là-dedans. C’est plate de parler de testament, parler de succession, de parler de… de perdre quelqu’un que tu aimes. Mais moi, je pense que ça devrait faire plus partie de nos discussions», enchaîne l’humoriste.
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La violence du sujet
Je ne suis pas si à l’aise d’en parler.
Il a ensuite confié qu’il ne s’était jamais vraiment vu atteindre un âge avancé:
«C’est violent, parler de ça. Tu sais, tu parles de ça avec ta blonde, juste imaginer tes enfants. Mais juste de… au moins dans la logique des choses. Ce n’est pas toujours logique, la mort, mais tu sais, une personne vieillissante, de dire qu’est-ce qui se passe, d’être à l’aise avec ça. Moi, ma mère a 83, puis elle est en santé, mais c’est sûr qu’il ne lui reste pas… Je ne suis pas si à l’aise d’en parler (…) On dirait que je ne me suis jamais vu vivre vieux, parce que mon père est mort à 64, puis c’est quand même jeune. Tu sais, moi, j’avais 32, donc c’était un vieux monsieur. Mais à 54 ans, tu fais comme: Ouais… il était pas si vieux (rires). Je ne sais pas pourquoi, mais on dirait que je ne me vois pas à 80 ou à 75. Puis là, tu sais, dans 10 ans, je vais avoir l’âge qu’il avait… donc j’y pense peu, j’y pense peu, mais… encore une fois, je pense que c’est bon de… bien de ne pas devenir fou avec ça (…) puis que ça t’angoisse, puis que ça t’empêche de faire des affaires (…)»
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Martin Matte a poursuivi en expliquant que beaucoup se demandent ce qu’ils feraient s’ils savaient que la fin approchait, partir en voyage, vivre une grande aventure… Pourtant, selon lui, il ne faut pas attendre ce moment pour oser réaliser ses envies.
Une philosophie qu’il essaie d’appliquer chaque fois qu’il doit prendre une décision.
Un segment porteur d’une belle leçon de vie: celle de profiter pleinement de chaque instant pour s’assurer, le moment venu, de partir en paix.
Égoïste? Jennifer Aniston remet les choses au clair!
Je ne vais pas raconter publiquement mes problèmes médicaux
Pendant des années, les médias l’ont accusée de privilégier sa carrière au détriment de la maternité, la qualifiant parfois d’«égoïste» ou de «travailleuse acharnée». Mais derrière ces jugements simplistes se cachait une réalité plus complexe: Aniston révèle qu’elle a suivi des traitements de fertilité, notamment la fécondation in vitro (FIV), sans succès, pendant plus de 20 ans.
«Ils ne connaissaient pas mon histoire, ni ce que j’ai traversé au cours des 20 dernières années pour essayer d’avoir une famille, parce que je ne vais pas raconter publiquement mes problèmes médicaux», affirme-t-elle, au sujet de ce que pensent les gens de sa situation.
Il arrive un moment où on ne peut plus faire la sourde oreille.
Cette dernière a aussi révélé qu’elle a été affectée par les nombreux commentaires négatifs à son endroit, elle qui rappelle aux gens qu’elle est humaine, elle aussi, après tout.
«Mais il arrive un moment où on ne peut plus faire semblant de ne pas entendre ce récit selon lequel je n’aurai pas de bébé, pas de famille, parce que je suis égoïste, une accro de travail», lance-t-elle, admettant s’être demandé franchement quel était le problème des gens.
«(…) À l’époque, je connaissais beaucoup de femmes qui essayaient d’avoir des enfants et qui avaient recours à la FIV. J’ai donc eu le sentiment que ce n’était pas seulement pour moi, mais pour toutes les femmes qui étaient confrontées au même problème», affirme Jennifer Aniston, toujours sidérée par la manière dont les gens ont réagi au fil du temps.
Dans une interview accordée à la version anglaise du magazine « Harper’s Bazaar », Jennifer Aniston s’est confiée sur son désir de maternité et de « fonder une famille », ainsi que sur son combat contre l’infertilité. https://t.co/YjTusigUIY
Le témoignage de Jennifer Aniston rappelle qu’on ne sait jamais vraiment ce que les gens traversent, et que les jugements peuvent blesser, surtout dans des moments déjà difficiles.
En se confiant ouvertement sur ses épreuves, ses tentatives et son chemin vers l’acceptation, elle met fin à des années de spéculations et redonne à ce sujet une dimension profondément humaine et libératrice.
Dès ses débuts, l’humoriste a été propulsé par un succès éclatant, entraînant son lot d’ajustements et de remises en question, qui n’ont trouvé leur équilibre qu’avec les années.
«Quand j’ai commencé à faire de la tournée, le show marchait fort, puis c’était plein à chaque soir, ça criait, ça riait. Puis là, je m’en allais dans ma chambre d’hôtel, puis le lendemain, ça criait, ça riait. Puis je me suis rappelé de m’être dit, au bout de 50, 60 ou 70 shows: Qu’est-cé que je fais là? C’est quoi ça? (…) C’était tellement fort, puis c’était plein, puis ça marchait, puis on dirait que je ne réalisais pas encore que je suis devenu connu vite (…) Y’a vraiment fallu que je fasse comme: Attends un peu. Faut que tu le revives, que tu le savoures. Mais ça a été une adaptation», lance Martin, en se comparant indirectement à des vedettes musicales.
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«Ça n’avait comme pas de sens comment ça hurlait, ça riait, puis comment qu’après, quand j’écoutais la télé dans ma chambre d’hôtel, c’était plate, tu sais. Il y avait comme un trou de… Puis là, je sortais, j’étais plus jeune, puis là, quand tu sors, t’es pucké (…) Puis là, je ne sortais plus, donc j’étais toujours dans ma chambre», lance-t-il, en admettant qu’il a dû s’ajuster avec le temps.
Martin a poursuivi en revenant sur les débuts de sa carrière et sur l’ascension fulgurante qui a suivi sa formation à l’École de l’humour.
«Ça a parti comme au Saint-Denis complet (…) Ce que je te raconte, j’étais à Québec. Je faisais cinq soirs à Albert-Rousseau, c’était la troisième fois que j’y retournais, puis c’était ça, il y avait quelque chose d’irréel là-dedans. Puis après, digérer ça… mais c’est long, ça m’a pris du temps avant de comprendre ce qui se passe (…) C’est quand je vais voir des shows là (Wilfrid-Pelletier), puis je vois tout ce monde-là, puis je me dis: Cr*sse, c’est ça que je faisais (…) Y’a quelque chose de fou là-dedans», témoigne Martin Matte, à propos de l’ampleur de son succès.
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Une manière de se protéger
Apprendre à gérer ça, ça m’a pris 30 ans.
Martin a longtemps vécu avec une forte anxiété de performance, qu’il a appris à apprivoiser et à mieux gérer au fil des décennies.
«Peut-être que c’est une façon de se protéger aussi, de ne pas trop le voir, puis de livrer son show (…) Aussi, moi, il y avait de l’anxiété de performance. Il fallait que ce soit LE SHOW à chaque soir (…) Pour la foule, ils ne savent pas, y’a pas de référence de… mais dans ta tête: *sti, j’étais-tu moins bon qu’hier? Puis les techs, ils ne s’en rendaient même pas compte, puis moi, je capotais. Apprendre à gérer ça, ça m’a pris 30 ans (…)», avoue Martin, à cœur ouvert.
Capture YouTube @Avantdemourir
Qu’il parle de ses succès sur scène ou de ses moments plus vulnérables, Martin Matte montre que même la réussite n’éloigne pas les doutes. En abordant franchement son anxiété de performance, il met en lumière une réalité encore bien présente dans le milieu artistique et ouvre la porte à une discussion plus vraie sur la pression de toujours être au top.
Preuve de l’impact grandissant de Katrine dans le paysage artistique québécois, celui qui incarne Léo MacDonald dans la série à succès Indéfendable a partagé la chanson en story, sur ses réseaux sociaux.
«Méchant hit radio. Bravo Katrine Sansregret», lance Sébastien Delorme, qui a visiblement apprécié l’écoute de cette nouvelle pièce.
Capture Instagram @delorme_sebastien
La chanson est maintenant disponible sur toutes les plateformes, comme mentionné par la jeune chanteuse.
«M’enfuir d’ici est disponible partout», annonce Katrine avec enthousiasme et fierté.
Sébastien Delorme n’est d’ailleurs pas le seul à avoir apprécié la chanson. Dans les commentaires de la publication où Katrine annonce qu’elle est désormais disponible partout, on retrouve une avalanche de réactions positives de la part d’auditeurs conquis, qui l’ont sans doute déjà ajoutée à leur playlist.
«Elle est vraiment bonne», commente un internaute.
«Grosse toune!! Bravo», souligne un autre.
Une étoile montante
Dans la vingtaine, Katrine Sansregret s’impose comme l’une des voix montantes les plus prometteuses de la scène musicale québécoise. Originaire de Saint-Hubert, elle s’est fait connaître du grand public grâce à sa participation à Star Académie 2025, où son authenticité et sa sensibilité artistique ont rapidement conquis le cœur des téléspectateurs.
Ses chansons, dont Minable et Par où partir, dévoilent une plume à la fois lucide et vulnérable, capable d’exprimer avec douceur des sujets puissants.
Si le concours musical télévisé lui a offert une vitrine exceptionnelle, c’est avant tout sa belle personnalité, empreinte d’humilité et de détermination, qui la distingue. Katrine n’hésite pas à aborder des thèmes universels, la quête de soi, la fragilité, la résilience, avec une maturité surprenante.
Sa chanson Laisse-moi revenir, sortie autour de septembre, a d’ailleurs fait un tabac à travers la province.
«Le vidéoclip de laisse-moi revenir est fraîchement sorti!!! L’as-tu écouté», demandait Katrine à ses abonnés.
Avec sa voix claire et son regard tourné vers l’avenir, Katrine Sansregret incarne une artiste entière, guidée par le désir de créer des chansons qui touchent, inspirent et rassemblent.
Félicitations à la talentueuse jeune femme, dont la lumière ne fait que grandir, pour ce nouveau titre tout en émotions. On lui souhaite une suite de parcours remplie de projets aussi beaux que passionnants!
Avez-vous écouté sa nouvelle chanson? Si oui, qu’en avez-vous pensé?
Entre anecdotes personnelles et réflexions inédites, Jean-Thomas s’est ouvert avec sincérité sur sa façon de percevoir l’argent et les aspects matériels de la vie.
«Je ne suis vraiment pas à l’argent. C’est-à-dire que je sais que je suis conscient de la chance que j’ai de… Dans le sens que je viens d’une famille… aisée, je ne peux pas le nier. Mais c’est une famille qui n’hésitait pas à donner au suivant. Mon père donnait beaucoup à des œuvres de charité chaque année. Ma mère aussi, très très généreuse (…) pour moi… c’est important de garder un prolongement de ça (…) d’essayer de pouvoir redonner au suivant quand tu en as la chance. J’ai la chance de bien gagner ma vie depuis des années, mais je ne suis pas à l’argent. C’est-à-dire que… je ne veux pas faire tel montant par année, dans le sens que je m’habille en hoodie, j’ai une vieille voiture 2017. Pas parce que je suis (…) ce n’est pas que je n’ai pas les moyens, c’est que ça ne m’intéresse pas de flasher. Mais tu sais, je réalise quand même ma chance de… tu sais, j’ai un chalet dans un bel environnement, puis je sais que je suis chanceux d’avoir ça», lance Jean-Thomas sur sa relation avec l’argent.
Capture YouTube @Le Temps d’une Bouffe
Comment gère-t-il son argent?
Je ne suis pas quelqu’un de si riche que ça
Jean-Thomas a également révélé qu’il n’est pas matérialiste, sauf pour une raison en particulier.
«Pour moi, je dirais que le côté matérialiste que j’ai, c’est plus par rapport aux endroits où je vis, puisque je suis très casanier, puis je réalise que je suis chanceux. Mais par rapport au reste… donc, j’ai un rapport avec l’argent un peu détaché. J’ai des placements, mais je ne les suis jamais. Je regarde les relevés une fois par quatre mois. Parce que je me dis: Bien que de toute façon, que ça ait descendu ou monté, m’a le laisser là pareil (…) Who cares? Je ne veux pas le dire de façon… ce n’est pas dans le sens que j’en ai trop, je ne suis pas quelqu’un de si riche que ça, je veux quand même préciser. Je suis chanceux (…) Je suis confortable, mais je ne peux pas faire n’importe quoi non plus avec mes sous, mais je trouve ça important aussi de donner quand je peux. À Big Brother, j’avais donné tout mon prix à la fondation après avoir gagné, parce que je trouvais ça important d’aider d’autres personnes. Je ne dis pas ça pour me vanter, mais c’est juste pour contextualiser que quand je peux, j’essaie de donner (…)», poursuit Jean-Thomas, sur comment il gère ses sous et son côté matérialiste réservé aux endroits où il vit.
Capture YouTube @Le Temps d’une Bouffe
Jean-Thomas a conclu cette parenthèse avec une anecdote sur son père:
«(…) Je pense que c’est vraiment mes parents qui ont instauré cette valeur-là. T’sais, mon père, il donnait beaucoup à… dans des œuvres de charité, mais, tu sais, il avait une Toyota Corolla… vieille de 15 ans. Il s’habillait très modestement. Mais encore là, c’était… il se disait: Si je peux amasser des sous pour en donner, à la place d’économiser pour des affaires qui ne m’intéressent pas, comme un char qui va du point A au point B, bien je suis un peu de même aussi (…) Je ne veux pas un décorum de… il faudrait que j’aie ça pour représenter ce que je vaux. Je m’en fous de ces affaires-là, complètement.»
Capture YouTube @Le Temps d’une Bouffe
Jean-Thomas Jobin ne se distingue pas seulement par son humour décalé et son univers singulier, mais aussi par sa générosité sincère lorsqu’il s’agit d’argent et de partage.
Derrière son personnage farfelu se cache un homme profondément humain, attentif aux autres et conscient de la valeur du don sous toutes ses formes, qu’il s’agisse de temps, d’énergie ou de ressources. Sa manière de redonner, souvent discrète, mais toujours empreinte d’authenticité, reflète une philosophie de vie fondée sur la bienveillance et la solidarité.
Croyez-vous que les célébrités devraient davantage donner de leurs sous aux bonnes œuvres, tout comme le fait Jean-Thomas?
Une publication pleine de tendresse pour souligner une étape marquante: les 16 ans de sa fille, un moment qu’elle tenait à célébrer en grand.
Un puissant témoignage
Ce dont je suis le plus fière…
Caroline n’a pas caché la grande fierté qu’elle ressent envers sa fille Emanuelle, partageant un message à la fois personnel et authentique.
«Belle Ema! 16 ans aujourd’hui. Déjà tant de vécu, de maturité, de rêves. Tu es passionnée, intelligente, ambitieuse… sensible, généreuse mais surtout tu as un grand cœur! Mais ce dont je suis le plus fière, c’est de notre complicité! De ta vérité. De savoir que tu es authentique. Dans tout ce que tu dis et dans tout ce que tu es. Je connais tes bons coups, tes moins bons, tes premières expériences… been there! Disons que je me sens profondément choyée d’avoir la chance de te voir évoluer, de te suivre dans tout ce que tu entreprends. Tu entres dans une grande étape: la fin du secondaire, le début de la conduite… une belle vie qui se poursuit! Je t’aime de tout mon cœur. Ta maman, toujours là pour toi», témoigne la maman, touchée par le parcours de la fille qu’elle a élevée.
La vie familiale de Caroline Néron révèle une facette très humaine de la femme derrière la personnalité publique.
Mère attentionnée et proche de sa fille, elle accorde une grande importance aux liens affectifs et au soutien mutuel, valeurs qu’elle place au cœur de son quotidien.
Un merveilleux anniversaire à Emanuelle, qui souffle déjà ses 16 bougies! Que cette année soit synonyme de bonheur, de découvertes, de rêves réalisés et de moments inoubliables en famille. Profite de chaque instant, les plus belles années sont devant toi!
Bad Bunny sera le chanteur qui performera à la mi-temps du Super Bowl 2026, et ça ne fait pas l’unanimité jusqu’à présent.
Ce que je ressens dépasse ma propre personne.
Les décideurs, un groupe mené par Jay-Z, ont vu cette opportunité pour claquer un coup de circuit, car avec ses plusieurs milliards d’écoutes sur Spotify, Bad Bunny est l’un des artistes les plus populaires de la planète actuellement. Le principal intéressé se dit très excité de performer au plus grand événement annuel en Amérique du Nord.
«Je suis très heureux. Et je pense que tout le monde en est heureux. Même Fox News», a déclaré Bad Bunny.
Bad Bunny a ensuite dit en espagnol: «Surtout tous les Latinos et Latinas du monde ici aux États-Unis qui ont travaillé pour ouvrir des portes. C’est plus qu’une victoire pour moi, c’est une victoire pour nous tous. Nos empreintes et notre contribution dans ce pays, personne ne pourra jamais nous les enlever ou les effacer.»
Trump réagit
Le Président américain était de passage à l’émission de Greg Kelly Reports de NewsMax TV, et il a révélé qu’il ne connaît pas le chanteur portoricain.
Il juge même que cette décision est ridicule.
Absolument ridicule.
-Donald Trump
«Je n’ai jamais entendu parler de lui. Je ne sais pas qui il est. Je ne sais pas pourquoi ils font ça. C’est complètement fou. Et ensuite, ils rejettent la faute sur un promoteur qu’ils ont engagé pour s’occuper du divertissement… Je trouve ça absolument ridicule», a lancé Donald Trump, pendant l’entrevue.
Donald Trump reacts to Bad Bunny headlining the Super Bowl halftime show:
“I’ve never heard of him. I don’t know who he is. I don’t know why they’re doing it. It’s crazy. And then they blame it on some promoter they hired to pick up entertainment— I think it’s absolutely… pic.twitter.com/i5ADPqgbOP
Aussi, Corey Lewandowski, ancien directeur de campagne de Donald Trump et figure récurrente du mouvement MAGA, a déclenché une vive polémique après avoir attaqué publiquement Bad Bunny. Il a même menacé d’organiser la présence d’agents de l’ICE (Immigration and Customs Enforcement) lors de l’événement, insinuant que les fans ou collaborateurs de Bad Bunny pourraient être contrôlés pour leur statut migratoire.
Donald Trump Says Bad Bunny Performing at the Super Bowl Is 'Absolutely Ridiculous' Even Though 'I've Never Heard of Him. I Don't Know Who He Is' https://t.co/B2RVCLAhbk
Après l’annonce que Bad Bunny sera la tête d’affiche du spectacle de mi-temps du Super Bowl 2026, une partie des fans américains, notamment issus de milieux conservateurs, ont lancé un boycott en ligne pour protester contre ce choix, invoquant des raisons politiques, culturelles ou linguistiques, certains estimant qu’un artiste chantant principalement en espagnol ne représente pas l’esprit américain de l’événement.
Des hashtags et pétitions ont circulé pour demander son remplacement, mais la NFL n’a pas réagi et maintient sa programmation. De nombreux observateurs y voient une nouvelle guerre culturelle reflétant les tensions identitaires aux États-Unis, tandis que Bad Bunny, populaire auprès des jeunes et du public latino, a répondu avec humour en affirmant que le public avait «quatre mois pour apprendre l’espagnol».
TRENDING: Thousands of #NFL fans have posted that they are “BOYCOTTING” the Super Bowl Halftime show because Bad Bunny is performing.
…
Fans are angry about Bad Bunny’s political views when it comes to immigration and his “criticism” of President Donald Trump. pic.twitter.com/bKM7SHOYOj
Quelques personnalités et amis ont pris un moment pour souligner la fête de cette dernière sur les réseaux sociaux, témoignant de l’affection et de l’admiration qu’elles lui portent. Les messages se sont multipliés tout au long de la journée, certains remplis d’humour, d’autres empreints d’émotion et de gratitude.
Bonne fête Guylaine!
«Joyeux anniversaire aujourd’hui à la belle Guylaine Tremblay», partage la chanteuse Gabryelle Frappier, que le public avait découverte grâce au populaire concours musical, La Voix.
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L’étoile montante du milieu artistique, la comédienne aux multiples talents Pascale Renaud-Hébert, s’est elle aussi jointe aux célébrations publiques.
«Bonne fête à ma meilleure Karen», souhaite Pascale Renaud Hébert, en marge d’une vidéo bien cocasse mettant en vedette notre star chouchou.
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Anne-Élisabeth Bossé a, elle aussi, tenu à souligner l’anniversaire de Guylaine en partageant une savoureuse archive de la comédienne, une vidéo qui semble l’avoir bien fait rire!
«Bonne fête Guylaine Tremblay! Je t’aime autant que tu aimes les bijoux. Tes nombreuses chaînes», lance-t-elle en marge d’un cliché où la star tient fermement entre ses mains un long collier de perles dorées.
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Un livre avec Denis Bouchard
Ils ont tout fait ensemble… sauf
Dans leur nouveau livre Un (faux) couple parfait, Guylaine Tremblay et Denis Bouchard ouvrent les portes de leur amitié exceptionnelle, forgée à travers les années, les projets et les épreuves. Ce duo complice, qui a partagé la scène et l’écran à de nombreuses reprises, raconte avec humour et tendresse les coulisses de leur relation unique.
Guylaine Tremblay occupe une place unique dans le paysage culturel québécois, marquant le public par son talent, sa sensibilité et sa profonde humanité. Depuis ses débuts, elle s’est imposée comme l’une des actrices les plus respectées et aimées du Québec, tant au théâtre qu’à la télévision et au cinéma.
Son interprétation dans des œuvres marquantes comme Unité 9 et Annie et ses Hommes a captivé le public, donnant une voix à des réalités humaines souvent passées sous silence.
«C’est la série que j’ai le plus écoutée», révélait Philippe Laprise à l’émission On va se le dire.
Nous tenons à souhaiter un joyeux anniversaire à Guylaine Tremblay, qui partage la même date de naissance que son ancien collègue et ami de longue date, Denis Bouchard.
Quel est votre moment préféré de la carrière de Guylaine Tremblay?
En effet, il a récemment partagé sur les réseaux sociaux, comme il le fait régulièrement, son autre passion coûteuse: les motos.
Un gars d’Harley
Elle est lourde, mais je l’adore!
L’entrepreneur en a profité pour dévoiler sa toute nouvelle moto: la Harley-Davidson Street Glide CVO 2025.
«Bonjour, tout le monde! Les gens me connaissent comme amateur de voitures, mais je suis aussi amateur de motos. Vous voyez quelques-unes de mes motos ici (…) Je viens d’avoir ma nouvelle Harley-Davidson Street Glide GVO 2025, que j’adore. Elle est pesante. Donc, non, je suis très fier. Je ne fais pas beaucoup de moto, je manque de temps un peu l’été. On dirait que tous les étés, je suis débordé. Mais, je vous fais entendre ça (…) Comme un enfant. Je l’ai reçu, ça fait quand même quelques mois. (…) Je l’ai utilisée juste une fois, mais sérieusement, j’adore les Harley, pas juste les Ducati. J’aime bien ça», lance Luc Poirier avec enthousiasme, en ouverture de vidéo.
Curieux, le caméraman lui a alors demandé la question suivante: «T’en as eu combien, à date, dans ta vie, des Harley?»
«J’en ai eu 4 ou 5 Harley. Celle-là, je pense que ça va être celle que je vais préférer. Donc, oui, ça va être le fun», répond Luc Poirier, avec le sourire aux lèvres.
Homme d’affaires prospère et investisseur bien connu au Québec, Luc Poirier ne cache ni son ambition ni ses passions. Parmi celles-ci, l’une se distingue particulièrement: les Ferrari. L’entrepreneur, reconnu pour son franc-parler et sa vision audacieuse, est aussi un grand amateur d’automobiles italiennes. Au fil des ans, il a constitué l’une des plus importantes collections de Ferrari au Canada, composée d’au moins une trentaine de modèles, soigneusement sélectionnés pour leur design, leur performance et leur histoire.
«POV: On part ensemble en Ferrari. Quelle serait la plus belle route à faire», demandait Luc Poirier, à ses abonnés sur Instagram.
Lors du Salon International de l’Auto de Montréal, Luc Poirier a fait sensation en présentant plus de 30 véhicules issues de sa collection personnelle. De la mythique F40 à la redoutable SF90 Stradale, en passant par des modèles plus rares encore, son exposition a offert au public un véritable voyage à travers l’évolution du constructeur de Maranello.
Selon lui, la réussite n’a de sens que lorsqu’elle profite aux autres. En exposant gratuitement ses voitures, il souhaite inspirer, créer de la curiosité et rappeler que l’ambition et la persévérance peuvent mener loin.
Derrière la carrosserie lustrée et le rugissement des moteurs, on retrouve donc un message de générosité et d’audace, à l’image de celui qui, depuis toujours, ose rêver grand.
Arnaud Soly commence sa vidéo en mentionnant que sa chanson préférée de «l’album» est la piste 4: «Shower».
«J’adore le texte, la musique, le piano, c’est envoûtant», lance-t-il suivie de paroles que seulement l’humoriste aurait pu imaginer:
«I sh*t myself in the shower. I Sh*t myself thinking about you. The water hid my tears and also my sh*t»
«Rusty Key Chain»
«Sinon, bien évidemment, en tant que Québécois, j’ai adoré son cover de La Bottine Souriante: «Rusty Key Chain». Vraiment, une belle réappropriation de cette chanson», poursuit-il.
«Son p’tit porte-clé tout rouillé, tout rouillé. Son p’tit porte-clé tout rouillé gaiement», nous fait-il écouter.
«RegularBillionaire»
Avec le plus grand des sarcasmes, Arnaud poursuit avec un extrait d’une chanson intitulée «RegularBillionaire»:
«J’ai aussi beaucoup aimé la chanson Regular Billionaire, où elle nous parle un petit peu d’enjeux qu’elle vit, qui nous prouve que Taylor est quand même une fille ordinaire. Comme nous, finalement.»
«Yes i’m a billionaire. But I still get torn apart. I’ve got a broken heart and a private jet to start. Sometimes i lose my phone while flying through the rain. Crying in first class. Yeah, pain’s the same (…)», fait jouer l’humoriste.
«C’est vrai que ça nous est tous arrivé de perdre notre cellulaire dans notre jet privé. Merci d’en parler, Taylor», affirme Arnaud, avec un ton sarcastique.
«Burp»
«Par contre, je dois dire que je la sens un petit peu éparpillée sur l’album. Des fois, on dirait qu’elle cherche son style. Elle fait des expérimentations, comme la toune «Burp», qui est une toune où est-ce qu’il n’y a aucune parole, puis c’est juste des bruits de rots», enchaîne Arnaud, avec un air dégoûté.
«Perso, c’est moins mon truc. Je comprends l’expérimentation, mais ça m’écœure un petit peu», poursuit-il.
«Bunny»
«Je dois aussi mentionner le cover avec Sean Paul. Ce n’est pas ma toune préférée, mais c’est quand même pour les nostalgiques. C’est le fun à entendre», enchaîne Arnaud.
Sa note…
Arnaud laisse son public en donnant une note personnelle de «l’album»: «Pour toutes ces raisons, je donne la note de 14. Bonne écoute!»
Encore une fois, Arnaud a frappé fort en tournant un sujet de l’actualité en sketch hilarant. Mais la vraie question: Swifties, avez-vous aimé ces extraits cocasses de l’humoriste?