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Kim Richardson dévoile un projet spécial pour les Fêtes

Avec le temps des fêtes qui arrive à grands pas, les chansons de Noël commencent à se faire entendre un peu partout au Québec, notamment à la radio, en concert ou sur les playlists de vos téléphones.

Pour célébrer l’arrivée des fêtes en grand, la chanteuse Kim Richardson, l’une des plus belles voix de la province, prépare un projet spécial pour ses fans.

Mon Noël

Dès le 26 novembre prochain, Kim Richardson lancera sa tournée Mon Noël au Cabaret du Casino de Montréal, à 14h et à 19h30. Un total de 15 concerts sont offerts au public à travers le Québec et quelques-uns en Ontario.

Accompagnée de musiciens talentueux, dont John Sadowy au piano, Karl Surprenant à la contrebasse, Joanna Peters aux percussions et le quatuor à cordes ESCA, Kim Richardson revisite les plus beaux classiques du temps des fêtes, de Winter Wonderland à Amazing Grace, en y insufflant sa touche unique de gospel, de jazz et de soul.

La tournée se poursuivra à Lorraine le 28 novembre au Centre culturel Laurent G. Belley, avant de s’arrêter à Laval le 3 décembre à la Salle André-Mathieu. Le 6 décembre, le spectacle affichera complet au Centre Marcel Dulude à Saint-Bruno-de-Montarville, puis prendra la route vers Rockland (ON) le 7 décembre à la Salle de spectacle Optimiste.

Le périple des fêtes se poursuivra à Sherbrooke le 11 décembre, au Théâtre Granada, puis à Baie-du-Febvre le 12 décembre au Théâtre Belcourt. Mon Noël fera ensuite escale à Québec, le 14 décembre, à la Salle Octave-Crémazie du Grand Théâtre, pour deux représentations, à 15 h et 20 h, où il reste encore quelques billets disponibles.

Kim Richardson se produira également à Orléans (ON) le 16 décembre à la Salle Harold-Shenkman, puis à Mont-Laurier le 19 décembre à l’Espace Théâtre. Devant la forte demande, une représentation supplémentaire a été ajoutée le 20 décembre au Zénith Promutuel Assurance de Saint-Eustache. La tournée se conclura par deux soirées empreintes d’émotion, le 21 décembre à Terrebonne, au Théâtre du Vieux-Terrebonne, et le 22 décembre à Brossard, au Théâtre Manuvie.

Une feuille de route impressionnante

Récipiendaire de trois prix Juno, Kim Richardson se distingue par une carrière remarquable, jalonnée de collaborations prestigieuses et de moments d’exception. Véritable force de la musique canadienne, elle a eu le privilège de chanter devant Nelson Mandela et la reine Elizabeth II, deux figures marquantes de l’histoire mondiale. Sa voix, à la fois puissante et profondément émotive, a résonné sur plus de 550 albums, témoignant de la confiance que lui accordent depuis des décennies les plus grands artistes.

Polyvalente et généreuse, Kim Richardson a partagé la scène avec une impressionnante liste de musiciens et d’interprètes: Céline Dion, Barry White, Stevie Wonder, Ginette Reno, Diane Dufresne, Lara Fabian, Richard Séguin, Bruno Pelletier, Roch Voisine, Jonathan Roy, et tant d’autres.

Chacune de ces rencontres a contribué à enrichir son univers musical, à la croisée du jazz, du soul, du gospel et de la chanson francophone.

Avec Mon Noël, Kim Richardson invite le public à vivre une expérience intime et lumineuse.

Entre émotion et éclat, Mon Noël promet une soirée scintillante et inoubliable, où le public est convié à se laisser emporter par la beauté, la générosité et l’âme de Kim Richardson.

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Luc Poirier: «Soyez respectueux et indulgents»

Il fait des erreurs, mais…

Bien que le Canadien de Montréal connaisse un début de saison extraordinaire avec une fiche de 10-5-2, tout n’est pas seulement rose au sein de l’organisation.

Notamment en ce qui concerne le gardien Samuel Montembeault, dont le rendement se situe en dessous des attentes cette saison, avec une fiche de 4-4-1, une moyenne de 3,61 buts accordés et un taux d’efficacité de 0,857.

Le numéro 35 ne semble aucunement en confiance devant son filet, lui qui fait l’objet de nombreuses critiques de la part des médias et des partisans depuis quelques semaines.

Heureusement pour lui, il reçoit aussi de l’amour et des encouragements de certaines personnalités connues, comme le footballeur Marc-Antoine Dequoy, qui n’a pas hésité à prendre sa défense publiquement.

Au tour de Luc Poirier

Soyez respectueux et indulgents.

L’entrepreneur Luc Poirier, bien connu pour son attachement indéfectible à la Sainte-Flanelle, a tenu à prendre la parole durant le match opposant le Canadien de Montréal aux Stars de Dallas. Voyant la grogne d’une partie des partisans à l’égard de Samuel Montembeault, il a voulu intervenir publiquement afin de défendre le gardien québécois, qu’il estime grandement, visiblement.

Poirier a rappelé que Montembeault représente, non seulement un élément important de l’organisation, mais également une fierté locale. Il a invité les amateurs à faire preuve de respect, de mesure et surtout d’indulgence envers le jeune portier, rappelant que tous les joueurs, peu importe leur niveau de talent, traversent inévitablement des moments plus difficiles au cours d’une saison.

«Montembeault, les amis. Soyez respectueux et indulgents. L’année passée, il nous a permis d’accéder aux séries. On le voyait déjà aux Jeux olympiques en février prochain. Donc… son début de saison est moins intéressant, il est moins bon, il fait des erreurs, mais soyez gentils avec. Donc, soyons fiers. Et juste d’être dans la Ligue nationale là, vous ne savez pas là, mais c’est déjà un exploit. Donc, on souhaite bonne chance cette année. Go Habs go, puis vive le Canadien», s’exprime Luc Poirier, dans une vidéo hautement populaire.

Terminé les réseaux sociaux

Les gens auront toujours quelque chose à dire.

Cherchant visiblement à se sortir la tête de l’eau, Montembeault prend tous les moyens nécessaires pour redevenir la meilleure version de lui-même sur la patinoire. Ça passe en premier par la confiance et la concentration.

Avec tout le bruit qui circulait sur les réseaux sociaux et les commentaires désobligeants de certains amateurs de hockey à son endroit, Montembeault a dû prendre des mesures plus radicales pour se protéger: il a supprimé son compte Instagram.

«Surtout sur les réseaux sociaux, il faut mettre ça derrière soi. J’ai supprimé mon compte Instagram parce qu’évidemment, après une défaite, on ne peut pas continuer à l’utiliser. Beaucoup de choses qui s’y disent ne sont pas agréables. Il faut juste ignorer tout ce bruit et passer à autre chose. J’essaie simplement de me concentrer sur moi-même, sur mon jeu, et de ne pas écouter ce que tout le monde a à dire. Que les matchs soient bons ou mauvais, les gens auront toujours quelque chose à dire. Je veux juste me concentrer sur moi-même», a avoué le gardien aux journalistes.

En plus de devoir composer avec l’adversité sur la glace, le moral de Montembeault s’en trouve lui aussi affecté…

N’oublions pas qu’au-delà de l’athlète, il y a un être humain, avec ses forces, ses failles et ses limites. Et au bout du compte, le hockey demeure… un sport.

Et de toute façon, la haine n’a jamais marqué un but pour les Canadiens, pas même en prolongation! Si vous aimez vraiment votre équipe, pourquoi ne pas l’encourager plutôt que faire l’inverse?

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Christy Martin défend haut et fort Sydney Sweeney

Je tiens donc à clarifier qui est Syd.

Sorti en salles depuis le 5 septembre 2025, le film Christy a connu un démarrage timide au box-office, dans un contexte où Sydney Sweeney fait beaucoup parler d’elle.

Le film met en lumière la vie mouvementée de la boxeuse Christy Martin, avec Sweeney dans le rôle de cette dernière.

Ayant été impliquée de près dans le film et aux événements médiatiques, Christy Martin s’est d’ailleurs liée d’amitié avec Sweeney au fil du temps.

Des critiques sévères

Pour tant d’autres qui souffrent en silence.

Sydney Sweeney a fait l’objet de nombreuses critiques sévères depuis la sortie du film, certaines remettant en question son jeu, d’autres s’attaquant à son implication dans le projet.

Devant cette vague de commentaires souvent durs, Christy Martin n’a pas hésité à prendre la parole pour défendre l’actrice. Elle a tenu à souligner l’ampleur du travail que Sweeney a accompli en amont du tournage, rappelant qu’elle s’est investie corps et âme dans la création du film, tant sur le plan émotionnel que professionnel.

«J’ai toujours été une battante. Ma vie en est le reflet à tous les égards, et aujourd’hui, je me bats pour les autres. Ces derniers jours, j’ai vu certaines personnes s’en prendre à mon amie Sydney Sweeney. Syd s’est non seulement donné à fond pour ce film, mais elle s’est aussi donné à fond pour moi. Pour mon histoire. Pour tant d’autres qui souffrent en silence. Je tiens donc à clarifier qui est Syd. C’est mon amie et mon alliée», écrit Christy Martin sur Instagram.

Un film important pour Sweeney

Merci Christy. Je t’aime.

L’actrice américaine a récemment pris la parole pour exprimer à quel point le film Christy l’a remplie de fierté, non seulement en tant qu’interprète, mais aussi en tant que créatrice profondément impliquée dans le projet.

«Je suis extrêmement fier de ce film. Fière du film que David a réalisé. Fière de l’histoire que nous avons racontée. Fière de représenter une personne aussi forte et résiliente que Christy Martin. Cette expérience a été l’un des plus grands honneurs de ma vie. Ce film symbolise la survie, le courage et l’espoir. Grâce à nos campagnes, nous avons contribué à sensibiliser le public à la cause des nombreuses personnes touchées par la violence domestique. Nous avons tous participé à ce film avec la conviction que l’histoire de Christy pourrait sauver des vies. Merci à tous ceux qui ont vu, ressenti et cru en cette histoire, et qui continueront d’y croire pendant de nombreuses années. Si Christy a donné à ne serait-ce qu’une seule femme le courage de faire le premier pas vers la sécurité, alors nous aurons réussi. Alors oui, je suis fier. Pourquoi? Parce que nous ne faisons pas toujours de l’art pour les chiffres, nous le faisons pour avoir un impact. Et Christy a été le projet le plus marquant de ma vie. Merci Christy. Je t’aime», s’exprime Sweeney sur Instagram.

Des chiffres médiocres

Le film a connu un accueil extrêmement froid au box-office, ne récoltant que 1,3 million de dollars (US) en Amérique du Nord lors de son premier week-end, un démarrage très en dessous des prévisions pour un long-métrage doté d’un budget de 15 millions de dollars (US).

Ce contraste frappant entre l’investissement de départ et les recettes réelles a surpris autant les analystes que les cinéphiles, d’autant plus que le film avait suscité un certain enthousiasme avant sa sortie, notamment en raison des éloges préliminaires entourant la performance de Sydney Sweeney et des murmures qui la plaçaient parmi les possibles candidates à la course aux Oscars.

L’écart entre les attentes initiales et les résultats obtenus a renforcé la perception d’un échec commercial inattendu, soulignant à quel point la réception du public peut parfois être imprévisible, même pour un projet bénéficiant d’une vedette montante et d’un buzz médiatique considérable.

Les récents scandales entourant la star auraient-ils joué un rôle dans ce résultat?

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Stéphane Rousseau fait appel aux partisans du CH

Stéphane Rousseau n’est pas seulement un humoriste, un animateur et un comédien, mais également un peintre, un dessinateur et un concepteur.

Le conjoint de Julie Perreault offre régulièrement sur son site internet des œuvres d’art qu’il a créées, notamment comme gagne-pain, mais aussi pour de bonnes causes.

Sa plus récente création à saveur sportive en est une preuve.

La Sainte-Flanelle

Dès le 15 novembre, Stéphane Rousseau lancera officiellement sa nouvelle œuvre intitulée Sainte-Flanelle, un vibrant hommage au Canadien de Montréal qui marie style artistique et passion sportive.

Deux formats seront proposés au public: une version plus petite de 8 par 10 pouces, vendue au prix accessible de 50$, dont 10$ seront directement remis à la Fondation des Canadiens pour l’enfance, ainsi qu’une grande édition de 24 par 30 pouces, offerte à 775$, dont 100$ par œuvre seront versés à la Fondation du CH pour l’enfance. À noter que toutes les peintures sont signées à la main par Stéphane Rousseau lui-même.

«Je vous présente Sainte Flanelle Nouvelle œuvre qui sera mise en vente le samedi 15 novembre dès 10 h sur mon site stephanerousseau.com Juste à temps pour vos cadeaux de Noël! Petite version: 8 x 10 po, au coût de 50 $, signée à la main (don de 10$ par œuvre vendue iront à la Fondation des Canadiens pour l’enfance). Grande version signée et numérotée (édition limitée à 10 exemplaires): 24 x 30 po, 775$ (don de 100 $ à la Fondation)», annonce Stéphane Rousseau sur les réseaux sociaux.

L’œuvre est une illustration riche et dynamique en rouge et bleu représentant une pyramide de personnages inspirés des Canadiens de Montréal, où se mêlent joueurs de hockey, créatures fantastiques et figures stylisées; au sommet trône un joueur en uniforme rouge sous une fleur-de-lys, tandis que des visages, des monstres et des éléments surréalistes s’entremêlent plus bas, créant une composition foisonnante qui mélange passion sportive, imaginaire héroïque et esthétique de bande dessinée.

Avec cette initiative, l’artiste allie création, engagement communautaire et soutien à la jeunesse, faisant de Sainte-Flanelle une pièce artistique qui porte autant de sens que de couleur.

Un succès monstre

Ayant visiblement un talent remarquable pour la peinture, Stéphane Rousseau ne cesse de confirmer qu’il est autant artiste visuel que comédien.

La demande pour ses tableaux en témoigne clairement: chacune de ses collections connaît un engouement fulgurant, au point où l’ensemble de ses stocks a été complètement écoulé sur son site internet.

Ses œuvres, souvent colorées, détaillées et empreintes d’un style qui lui est propre, séduisent un public toujours plus large, attiré par la sensibilité, l’humour et l’énergie qui s’en dégagent.

Cette popularité grandissante démontre non seulement l’appréciation du public pour son univers artistique, mais aussi la place de plus en plus importante qu’il occupe dans le milieu des arts visuels, où il réussit à allier spontanéité, maîtrise technique et imagination débordante.

Saviez-vous que Stéphane Rousseau était un artiste aussi versatile?

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Grosse nouvelle concernant Adele

Selon ce qui circule actuellement dans les médias…

Adele possède une feuille de route impressionnante dans le milieu musical, cumulant de nombreux Grammy Awards ainsi qu’un Golden Globe, entre autres.

En 2024, l’interprète de Hello et Rolling in the Deep avait toutefois confié vouloir explorer de nouvelles avenues artistiques, choisissant du même coup de s’accorder une pause musicale.

Elle aurait finalement arrêté son choix sur le cinéma, prête à troquer la scène pour les plateaux de tournage et à plonger dans un tout nouvel univers créatif.

Une distribution cinq étoiles

Selon ce qui circule actuellement dans les médias spécialisés, l’artiste britannique Adele s’apprêterait à faire ses premiers pas dans le monde du cinéma en intégrant le casting du film Cry to Heaven, réalisé par Tom Ford.

Ce projet s’inspire du roman du même nom publié par Anne Rice et s’appuie sur un univers dense et peu exploré au cinéma: celui de l’Italie du XVIIIᵉ siècle, au cœur du monde de l’opéra et des «castrati», ces chanteurs d’origine masculine castrés dans leur enfance pour conserver une voix de soprano.

Le rôle que jouera Adele n’a pas encore été divulgué, ce qui ajoute au suspense et alimente les spéculations: certains suggèrent qu’elle pourrait incarner un personnage central à forte dimension musicale, tandis que d’autres imaginent un rôle de soutien ou une apparition symbolique marquante.

Elle retrouvera à l’affiche un casting prestigieux comprenant Nicholas Hoult, Aaron Taylor‑Johnson, Colin Firth, Paul Bettany, Thandiwe Newton et Hunter Schafer, entre autres. Une distribution qui témoigne de l’ampleur et de l’ambition du film.

Le projet, dont le tournage est fixé pour début 2026 à Londres et à Rome, est déjà évoqué comme un tournant potentiellement significatif dans la carrière d’Adele, mais aussi comme une œuvre susceptible de marquer l’histoire du cinéma grâce à son cadre historique, sa dimension musicale et sa réalisation assurée par Tom Ford.

Ce n’est pas le premier rodéo d’Anne Rice

Si vous ne le savez pas, plusieurs œuvres d’Anne Rice ont effectivement été adaptées au cinéma ou à la télévision, tant son univers riche et gothique a marqué la littérature contemporaine.

L’exemple le plus célèbre demeure Interview with the Vampire, porté à l’écran sous le même titre, un film devenu culte qui mettait en vedette Tom Cruise, Brad Pitt, Antonio Banderas et Kirsten Dunst. Cette adaptation a non seulement connu un immense succès au box-office, mais elle a également contribué à populariser une nouvelle vision du mythe vampirique, plus intime, sensuelle et psychologique.

Le style très atmosphérique et l’écriture profondément introspective d’Anne Rice se prêtent particulièrement bien au cinéma, ce qui explique pourquoi ses romans ont souvent attiré l’attention de réalisateurs en quête d’histoires denses et visuellement marquantes.

Au fil des années, ses œuvres ont inspiré d’autres projets, tant en films qu’en séries, et l’intérêt pour ses univers ne faiblit pas, comme le démontre l’adaptation à venir de Cry to Heaven.

Cela témoigne de l’impact durable de son imaginaire et de la fascination continue qu’exercent ses récits sur le public et l’industrie du divertissement.

Croyez-vous qu’Adele sera une bonne actrice?

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Grosses rumeurs sur Kim Rusk et Rémi-Pierre Paquin: Ils réagissent!

Moi, je ne peux pas le dire…

Dans un récent segment de l’émission Le Boost!, diffusée sur les ondes du 94,3 Énergie, Rémi-Pierre Paquin et Kim Rusk, notamment, se sont amusés à décortiquer plusieurs rumeurs farfelues qui circulent à leur sujet, récentes ou datantes.

Dans un climat décontracté et empreint d’autodérision, ils se sont amusés à répondre à ces histoires, disons-le, très cocasses qui, malgré leur absurdité, semblent tout de même trouver écho auprès de certaines personnes.

Parmi les rumeurs abordées, l’une concerne Rémi-Pierre Paquin, à qui l’on prête la savoureuse anecdote de s’être fait expulser de plusieurs bars.

De son côté, Kim Rusk a dû composer avec une autre rumeur étonnante… À découvrir plus bas! ⬇️

Du brasse-camarade dans un bar?

Ça s’est mis à dégénérer.

L’acteur et animateur s’est prêté au jeu en revisitant le tout avec humour et confirmant qu’il a effectivement vécu du brasse-camarade dans un bar.

«Il paraît que tu te serais fait mettre dehors de plein de bars dans ta vie», se fait demander Rémi-Pierre.

«(…) Escarmouche en 2007? (…) Bien… poussailler… Il y a eu du poussaillage, ouin (…) Il y a eu de l’escarmouche (…)», confirme Rémi-Pierre.

«Est-ce que tu t’es déjà fait mettre à la porte d’un bar, c’est ça la question», rectifie Kim.

«Oui (…) C’est ça, escarmouche, il y a un gars qui n’était pas fin avec une fille, puis, là, moi et mes amis ont… on s’est poussé, puis ça s’est mis à dégénérer (…) Ça vient peut-être de ça», raconte l’animateur.

«Moi, un gars qui défend une fille, c’est oui», affirme Kim.

Capture Instagram @energie943

Au tour de Kim!

Je te confirme qu’ils mont manquée.

Avec franchise et légèreté, Kim a remis les pendules à l’heure, profitant de l’occasion pour rire de ces spéculations parfois très éloignées de la réalité et pour rappeler à quel point les ragots peuvent circuler rapidement lorsqu’on est une figure publique.

«Il paraît que… tu es siphonnée à la grandeur? (…) Elle est bien liposuccionnée. Il paraît qu’elle s’est fait liposuccionner à la grandeur», se fait annoncer Kim.

«Bien, m’a te dire, si je me suis fait liposuccionner, je te confirme qu’ils m’ont manquée, parce qu’ils en ont laissé trop, là. Non, mais moi, j’en rêverais de me faire liposuccionner. Regardez-moi bien! (…) J’ai pas dit que je suis dégueulasse, mais si je m’étais fait liposuccionner, mettons, un mommy tuck (…) Si je m’étais fait liposuccionner les cuisses, j’en aurais fait enlever plus que j’en ai, là. Je n’ai jamais eu de liposuccion de mon corps, ni de chirurgie esthétique. C’est mes seins, c’est mes fesses (…) tu sais, c’est magané, là… je vais avoir 42 ans», confie Kim.

Capture Instagram @energie943

Rémi-Pierre, un faux fin?

Celle-là, je trouve que ça fait mal.

Reconnu pour son tempérament agréable, Rémi-Pierre Paquin fait pourtant l’objet d’une autre rumeur voulant qu’il ne serait pas réellement une personne gentille.

«Autre rumeur sur Rémi: il ne serait pas un… vrai fin. Il serait un faux fin, comme on dit dans le milieu», lance Maxime Roberge, aussi présent en studio.

«Moi, je connais Rémi depuis trois ans, puis celle-là, je trouve que ça fait mal, parce que, ce n’est tellement pas ça», témoigne Martin Tremblay.

«Moi, je ne peux pas le dire… c’est une affaire de perception, là, j’imagine», mentionne Rémi-Pierre.

«Bien, vraiment, assurément. C’est peut-être une fois, tu étais à quelque part, puis tu n’as pas regardé une personne, puis cette personne-là a interprété que tu étais bête avec elle, alors que ce n’est pas ça», propose Kim.

«C’est peut-être quelqu’un qui m’a vu faire de l’escarmouche dans le bar à l’époque. C’est peut-être la même personne», ajoute-t-il, à la blague.

«(…) Les gens pensent que parce qu’on fait de la télé, on est à l’aise. Tu es un peu quelqu’un qui est réservé, plus, mettons, que moi et Martin, *sti de grande gueule, tu viens me parler, tu es tanné que je te parle», soutient Kim.

«(…) c’est sûr que je suis moins crinqué», ajoute Rémi-Pierre.

Capture Instagram @energie943

Aviez-vous déjà entendu ces rumeurs au sujet des animateurs? S’agit-il de croyances populaires? Peu importe: vous avez maintenant la réaction des personnalités au cœur de celles-ci.

Des rumeurs énormes… mais côté fiabilité, on repassera!

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Déboires de Samuel Montembeault: il peut compter sur Marc-Antoine Dequoy

Pour une seconde fois en trois ans, les Alouettes de Montréal sont en finale de la Coupe Grey, eux qui affronteront les Rough Riders de la Saskatchewan.

Rappelons que les Moineaux avaient remporté les grands honneurs en 2023 face aux Blue Bombers de Winnipeg, par un score de 28-24, dans le cadre d’un match spectaculaire et émotif.

Pour reproduire les exploits du passé, les Alouettes auront besoin d’une grande performance de leurs meilleurs atouts, dont Davis Alexander (si en santé), Tyson Philpot, Marc-Antoine Dequoy et cie.

Les joueurs des Alouettes sont actuellement en préparation en vue du plus grand match de l’année, eux qui sont déjà arrivés en territoire hostile, à Winnipeg.

Un clin d’œil à Montembeault

Une vidéo de l’atterrissage des joueurs circule abondamment sur le Web depuis quelques heures, suscitant à la fois la fierté et la curiosité des partisans. Ce moment, apparemment anodin, attire surtout l’attention en raison de Marc-Antoine Dequoy, dont le geste a rapidement conquis les réseaux sociaux.

À sa descente d’avion, le joueur québécois, visiblement ému et fier, arbore un chandail du gardien des Canadiens de Montréal Samuel Montembeault. Un détail simple, mais hautement symbolique, qui n’a pas échappé aux observateurs. Ce clin d’œil à un compatriote va bien au-delà de la mode ou du hasard: il traduit un véritable attachement à ses racines et une solidarité sincère envers un autre athlète québécois qui brille sur la scène nationale.

Dans un contexte où les joueurs évoluant à l’international sont souvent perçus comme déconnectés de leur province d’origine, ce geste authentique de Dequoy agit comme un rappel éloquent de la fierté québécoise et du sentiment d’appartenance qui unit les sportifs d’ici.

Avec le début de saison difficile de Monty, il s’agit d’une belle marque d’amour à son endroit, qui risque de lui servir de motivation pour la suite!

Un discours encore bien frais en mémoire

Qui pourrait oublier le discours enflammé de Marc-Antoine Dequoy à la suite du triomphe des Alouettes de Montréal lors de la Coupe Grey 2023?

Son cri du cœur, lancé avec toute la fougue et l’émotion du moment, avait transcendé le simple cadre sportif pour devenir un manifeste d’orgueil québécois. On y voyait un joueur habité par la passion, la fierté et la conviction de représenter bien plus qu’une équipe: un peuple, une culture et une ville qui vibraient à l’unisson avec lui.

Gardez-la votre anglais!

Son authenticité brute, son franc-parler et sa manière spontanée de célébrer avaient marqué les esprits, faisant de ce moment un instant d’histoire dans le sport canadien.

«Ils n’ont jamais cru en nous, jamais. Tu regardes partout et c’est écrit en anglais! À TSN, ça disait Toronto contre Winnipeg. Mais savez-vous quoi? Gardez-la votre anglais! On va ramener la coupe à Montréal, on va la ramener au Québec, la ramener chez nous, parce qu’on est des f*cking champions», s’était exprimé Dequoy, complètement déchaîné en entrevue.

Ce moment, capté en quelques secondes à peine, illustre à merveille la personnalité de Marc-Antoine Dequoy: fidèle, passionné et profondément enraciné dans sa culture.

Les Als remporteront-ils la 112e Coupe Grey?

Et Monty se sortira-t-il du creux de vague actuel?

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Sylvain Marcel: «Je suis allé dans les drogues dures»

Je n’étais pas loin de la seringue.

Le comédien et conférencier Sylvain Marcel était récemment de passage au balado Sans Limite, animé par Hugo Girard, où il s’est ouvert comme jamais sur ses démons du passé.

Il y partage son parcours mouvementé pour devenir comédien à temps plein, marqué par une lutte contre la consommation excessive d’alcool et de drogues dures, ainsi que par les aspects négatifs de la popularité.

La maladie et la timidité

Pour accéder au paradis, il a fallu que je passe par l’enfer.

Sylvain affirme avoir emprunté le chemin de la sobriété depuis maintenant 16 ans. Il explique que sa consommation était liée à une véritable «maladie», tout en admettant souffrir, encore aujourd’hui, d’une certaine timidité.

L’animateur lui a demandé si sa difficulté à communiquer avait pu, d’une certaine façon, le mener vers la consommation.

«Oh boy! Oui, mais en même temps… (…) l’Organisation mondiale de la santé (…) ça fait longtemps que c’est une maladie (…) J’ai un gène qui est déréglé à quelque part, tu sais. Il y a quelque chose qui se déclenche en dedans de moi. Ils pensent aussi, peut-être, que ce serait… une carence (…) en endorphine, qui fait que, quand je stimule cette glande-là, ça devient… je perds la carte. Je perds la carte carrément (…) Ils disent que c’est une maladie de l’âme (…) Je ne crois pas à ça. Je pense que c’est une vraie maladie, comme le diabète, comme d’autres maladies (…)», explique l’invité, avant de nommer qu’il a commencé à consommer à l’adolescence.

«(…) C’est une grande illusion, l’alcool et la drogue. Ça te donne l’impression que tu es une meilleure personne ou que tu es plus drôle, ce qui est totalement faux. Je vais te donner juste un exemple, qui est très fort pour moi: j’ai quatre trophées. Je suis très fier. J’ai trois Gémeaux, puis j’ai un Artiste (…) Mais ces quatre trophées-là, je les ai gagnés abstinent (…)», dit-il avec fierté.

«(…) C’est un gros message de: Ne recommence pas, mon grand. Pas juste parce que: Tu ne gagneras pas de trophées ou whatever (…) Pour accéder au paradis, il a fallu que je passe par l’enfer (…)», souligne-t-il, en expliquant que tu ne sais pas que tu es malade, alors tu continues de boire.

Capture YouTube @Hugo Girard Sans Limite

La consommation et le travail

J’étais sur le crack.

Ayant incarné l’un des personnages principaux du tout premier Bon Cop, Bad Cop, le comédien témoigne que ses problèmes de consommation de drogues dures ont eu un impact direct sur son travail.

«Tu sais, moi, je suis allé dans les drogues dures… pas juste dans la cocaïne (…) Plus loin que ça (…) Je n’étais pas loin de la seringue. Pas loin. Il manquait… Bien, on peut le dire, là, j’étais sur le crack (…)», témoigne Sylvain.

«Ça n’affectait pas ton travail», se questionne Hugo Girard.

«Bien oui! Bien oui! C’est sûr. Moi, je suis champion de bloopers dans 450, chemin du Golf. Je me trompais, je n’étais pas capable d’apprendre des textes, le cerveau est tellement fatigué (…) Beaucoup de problèmes de mémoire (…) Ce qui arrive, c’est que les producteurs font: Ouais, il est bon, mais… il coûte cher. Le clap, là? Le fameux clap qu’on a, là, il y a l’heure là-dessus. Bon, bien quand tu dépasses l’heure, là, il y en a 40-60 qui sont payés à temps et demi (…) Sur Bon Cop, Bad Cop, je suis arrivé deux fois une heure en retard (…) Je ne sais pas si tu sais combien ça coûte, le plateau de Bon Cop, Bad Cop, à l’époque? (…) C’était à peu près 30 000 $ de l’heure (…)», mentionne-t-il, à la grande surprise d’Hugo.

Une entrevue hautement inspirante, dans laquelle Sylvain Marcel prouve qu’il est possible de s’en sortir, tout en rappelant son parcours impressionnant et rempli de résilience.

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Nouvelle vidéo de Céline Dion: Un air de déjà-vu?

La publication en question semble d’ailleurs avoir disparu du compte Instagram de la star…

Céline Dion, véritable icône internationale de la musique, n’hésite jamais à prendre la parole pour de bonnes causes et pour souligner des événements importants.

De plus, même si elle passe beaucoup de temps aux États-Unis, cette dernière n’a pas oublié d’où elle vient pour autant, elle qui a partagé un nouveau message significatif sur les réseaux sociaux.

Un bel hommage

À 11h, on s’arrête pour réfléchir.

En ce Jour du Souvenir, la chanteuse a tenu à rendre un hommage sincère et émouvant à celles et ceux qui ont servi le pays avec courage et dévouement. Par son message empreint de respect, elle a rappelé l’importance de ne jamais oublier les sacrifices faits par les soldats et les vétérans, qui ont donné de leur vie et de leur liberté pour que le Canada puisse aujourd’hui vivre dans la paix, la sécurité et la dignité.

«En hommage à toutes celles et tous ceux qui ont servi et sacrifié pour notre liberté», mentionne Céline Dion en légende.

Elle a souligné que cette journée ne devait pas seulement être un moment de silence, mais aussi une occasion de gratitude collective, un temps pour réfléchir à la valeur de la paix et à la fragilité des libertés dont nous jouissons.

«Aujourd’hui, c’est le Jour du Souvenir. À 11h, partout au Canada, on s’arrête pour réfléchir. On se souvient de ceux et celles qui ont servi, qui ont sacrifié, pour que nous puissions vivre en paix. Je pense à toutes les familles, à toutes les générations touchées, et je veux simplement dire: merci. N’oublions jamais», affirme la star.

Qu’est-ce que Le Jour du Souvenir?

Le Jour du Souvenir, célébré chaque année le 11 novembre, est une journée empreinte de respect et de reconnaissance envers celles et ceux qui ont servi le pays lors des guerres, des conflits armés et des missions de paix. À 11h, partout au Canada, un moment de silence est observé pour honorer la mémoire des soldats qui ont donné leur vie afin de défendre la liberté et les valeurs démocratiques.

Le coquelicot rouge, porté fièrement sur la poitrine, symbolise ce souvenir vivant, inspiré par le célèbre poème In Flanders Fields du médecin canadien John McCrae.

Une vidéo presque identique qui avait suscité plusieurs questionnements

Rappelons qu’à l’occasion de l’Action de grâce, une vidéo presque identique à celle-ci avait été publiée sur la page Instagram de Céline Dion. On y voyait la star, rayonnante, dans un décor à la fois simple et élégant, adresser un message empreint de douceur et de gratitude à ses admirateurs, vêtue de la même tenue que dans la nouvelle vidéo.

Cependant, cette précédente vidéo avait suscité plusieurs questionnements chez les internautes, qui se demandaient si elle n’avait pas été créée à l’aide de l’intelligence artificielle, tant elle en donnait l’impression.

La publication en question semble d’ailleurs avoir disparu du compte Instagram de la star… 👀

Alors, cette nouvelle vidéo, presque identique à la première, a-t-elle été captée au même moment que la précédente? Ou l’équipe de Céline réutilise-t-elle plutôt ces images pour créer de nouveaux messages au fil des occasions?

Capture datante d’octobre 2025/Instagram @celinedion
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Kim Lizotte fait d’émouvants adieux

C’est quand je suis seule que je réalise l’ampleur de ce que j’ai traversé.

La série québécoise Avant le crash a diffusé son dernier épisode, dans une finale que les gens ne sont pas près d’oublier, notamment grâce aux performances de Karine Vanasse et Éric Bruneau.

Kim Lizotte, conjointe d’Éric Bruneau, a écrit et développé la série en compagnie de son partenaire.

Visiblement émue de la fin du projet, celle-ci a partagé un touchant message sur les réseaux sociaux, afin de clore ce chapitre de sa vie.

Reconnaissante

Un coup de foudre infini.

«7 ans. 7 ans de ma vie. Sept ans, comme ma grande fille, que j’ai vue apprendre à marcher, à parler, à courir, à danser, à lire. Et moi, pendant ces 7 ans, j’ai appris à devenir mère, à essayer d’être une adulte convenable, accomplie, qui s’émancipe tout en jonglant avec plusieurs balles, à courir après le besoin de créer, d’aimer, d’être. Cette quête qu’est la vie, courir à la rencontre de soi-même, de qui on est, de qui on veut et peut devenir. Je me rappelle encore ce moment où j’étais de l’autre côté de la table à parler d’un épisode avec Éric, une de nos premières sessions de travail, où je me suis sentie envahie du sentiment profond que j’étais bonne. Que j’écrivais bien. J’ai senti à travers ses yeux une confiance, un respect, une admiration de sa part, qui m’a fait sentir adéquate, professionnelle, intelligente, drôle, expérimentée. C’est pour ça que je me suis lancée à corps perdu dans cette aventure», déclare Kim sur Instagram.

«Ça a été un coup de foudre infini pour un monde et des personnages créés par un talentueux scénariste. Parce que je m’y suis sentie aimée, libre d’être moi, de m’exprimer, de créer, et ce grand besoin de reconnaissance qui habite tous les artistes était comblé. Quelle surprise ce fut. Nous allions être bons ensemble. Et de ce même fait, on vivra toujours en sachant qu’on a assez de talent chacun de notre côté pour faire nos affaires, nos projets… sachant bien qu’une entité hors de nous-mêmes jaillit lorsque nos plumes se rencontrent. Gardons précieusement ce secret, qu’une magie s’opère quand on écrit ensemble. Merci de m’avoir permis d’entrer dans ton monde et de m’y avoir laissé déployer mes ailes», poursuit-elle.

«J’ai trouvé avec Avant le crash un grand terrain de jeu où déposer mes réflexions sur la vie, notre société, notre humanité, des causes qui me tiennent à cœur, d’autres que j’ai découvertes. J’ai aimé réfléchir et me questionner à travers des histoires et des personnages qui ont littéralement fait partie de ma vie et de mon quotidien. Il était important de vulgariser ce grand monde intimidant de la finance, des grandes entreprises, des grands enjeux qui nous sont rapportés comme étant bien compliqués pour les gens simples, qu’on est mieux de s’en tenir loin, d’écarter qu’on se sente moins intimidés d’aborder des sujets comme l’industrie minière, les centres de données, la cadence folle du monde du profit à tout prix», souligne l’artiste à propos des messages sociaux véhiculés dans la série.

«En espérant avoir rendu plus accessible ce monde élitiste, bien caché au sommet des gratte-ciel. Mais surtout… qu’on se rappelle l’importance de nos liens, de ce qui forge notre humanité. Nos relations, nos valeurs, nos choix. L’amour, l’amitié, la famille. La peur, nos souffrances, nos bibittes. Après quoi on court? On se posait la question à la première saison, et on se la pose encore. Merci à l’amour de ma vie de m’avoir fait sentir comme la plus intelligente et la plus drôle des femmes de la terre. Si tu savais comme tu m’impressionnes et me surprends à chaque jour encore, et comment je te découvre toujours plus de qualités et de talents à chaque année qui passe. Ta tête qui ne cesse de réfléchir, ta rage de vivre, ta détermination, l’amalgame de ton intelligence et de ta grande sensibilité font de toi un artiste unique avec qui c’est un honneur de créer», conclut-elle à propos de son partenaire de vie.

Les remerciements

Vos performances m’habiteront longtemps.

«Merci, Sophie Deschênes, d’avoir toujours compris mon essence et ma personnalité, mon besoin de liberté et d’authenticité. Ton respect de notre travail, et ton investissement émotif dans nos histoires et nos personnages font de toi une productrice qui permet aux scénaristes de reconnaître leurs œuvres à l’écran. Merci, Stéphane, pour ces trois saisons, où tu as su mener une barque remplie de personnages, d’histoires, de quêtes qui s’entremêlent et s’entrecoupent, sans jamais négliger une trame. Avec toi, ce n’est jamais plate. Ton sens de l’image, du rythme, ta modernité, furent précieux. Tes rires aussi», déclare-t-elle quant à Sophie Deschênes et son collègue Stéphane.

«Merci à tous les admirables acteurs. Comme de grands musiciens, vos partitions étaient impeccables, les mots justes, des regards qui n’ont pas besoin de mots, et des cris qui résonnent encore dans nos têtes. Vos performances m’habiteront longtemps. Merci à toute l’équipe… je vous lève mon chapeau, du haut de mon petit bureau, là où j’écris des heures pour ensuite vous donner vie à l’écran. Je retourne dans mon petit bureau. C’est quand je suis seule que je réalise l’ampleur de ce que j’ai traversé», réalise-t-elle, avec une dose de reconnaissance.

Elle termine avec une citation d’Elinor Ostrom:

«Je vous laisse sur les sages paroles d’Elinor Ostrom, l’inspiration de notre cabinet, première femme récipiendaire du prix Nobel de l’économie, qui avait à cœur le bien commun: There is no reason to believe that bureaucrats and politicians… are better at solving problems than the people on the spot, who have the strongest incentive to get the solution right.»

Bien que la série n’ait duré que trois saisons, elle a marqué l’imaginaire des Québécois, naviguant entre ambition, loyauté, amour et culpabilité.

Un chef-d’œuvre culturel pour plusieurs! À voir et à revoir…