La mort, les taxes et une défaite des Maple Leafs de Toronto en séries éliminatoires, voilà trois inévitables dans la vie.
Encore une fois, pour la énième fois, la formation de la Ville Reine a choké, comme elle nous a habitué depuis environ une décennie, ayant perdu en sept match contre les Panthers de la Floride au second tour. Lorsqu’on regarde le portrait global, les Leafs semblent avoir donné une bonne opposition aux champions en titre. Ceci dit, il faut se souvenir que Toronto a subi deux défaites de 6 à 1 dans deux de leurs trois dernier matchs de série, ce qui est franchement inacceptable.
Alors que l’espoir était présent au sein de l’organisation et chez les partisans, il s’agit d’une autre saison où les Leafs n’ont pas été en mesure de closer leur série dans un match ultime.
Dans les faits, le clan torontois n’a pas remporté un seul match numéro 7 depuis 2004, alors que ces derniers avaient battu les Sénateurs d’Ottawa lors du premier tour des séries éliminatoires. On parle de plus de 20 ans ici…
N’oublions pas que les Leafs n’ont pas soulevé Lord Stanley Cup depuis 1967 également!
Et comme on a pu le voir, le chanteur Justin Bieber était présent au duel ultime des Maple Leafs, lui qui était situé tout juste derrière le banc de son équipe favorite.
Justin Bieber is RIGHT behind the Leafs bench for Game 7 👀
D’un autre côté, le rappeur Drake a parié plus d’un million de dollars (US) sur une victoire des Leafs lors du match 7 contre les Floridiens, via la plateforme Stake, mais on connaît tous le résultat final…
Et via Instagram, Drake a pointé du doigt Justin Bieber, mentionnant que les Leafs souffrent d’une malédiction entourant le chanteur pop. Drake a d’ailleurs appelé le tout «Bieber Curse», pour être plus précis.
On sait que Justin Bieber est proche de quelques joueurs de la troupe ontarienne, donc Drake voit le tout comme une genre de malchance pour son équipe de prédilection.
Une homme superstitieux, selon toute vraisemblance!
Plus ça va, plus les années se ressemblent chez les Maple Leafs de Toronto.
Malgré les hauts standards des partisans et de l’organisation ontarienne, l’équipe n’est tout simplement pas en mesure de remporter un match numéro 7. Notons que les Panthers de la Floride, les champions en titre, ont eu raison des Torontois lors du match ultime de leur série, dimanche soir. Pourtant, les Leafs comptent plusieurs joueurs d’impact dans leurs rangs, dont Auston Matthews, Mitch Marner et William Nylander, notamment. N’oublions pas les acquisitions significatives effectuées à la date limite des échanges, dont celles de Brandon Carlo et Scott Laughton, mais en vain. Des changements sont à prévoir de leur coté, certes, mais ça, c’est une autre histoire.
Malgré tout, saison après saison, certains partisans, bien qu’ils soient blasés des insuccès de leurs favoris, n’ont pas perdus la foi… et le rappeur Drake en est la preuve.
Étant un amateur de longue date des Leafs, Drake s’est permis une petite folie financière, avant le duel en question.
Dans les faits, l’artiste canadien a parié pas moins de 1 million de dollars (US) sur une victoire des Leafs face aux Panthers durant le match 7, avec un gain potentiel de 2,13 millions de dollars (US).
Aussi, le principal intéressé a déposé un 250 000 dollars (US) en «bet» sur un triomphe des Leafs par 2 buts, qui aurait pu lui rapporter 2 millions de dollars (US), soit un cote de 8, rien de moins.
Drake places a $1 million bet on the Toronto Maple Leafs to beat the Florida Panthers tonight in Game 7 💰🇨🇦 pic.twitter.com/6Pvq9WRWmz
Depuis 1986, la compagnie de jeu vidéo française Ubisoft offre généralement de la qualité à ses consommateurs.
Cette franchise est connue pour ses nombreuses franchises à succès, dont Rayman, Rainbow Six, Splinter Cell, Just Dance, Assasin’s Creed et Watch Dogs, pour ne nommer que celles-là. Les propriétaires ont donc touché de bons cachets au fil des années, mais il semblerait que la réalité soit bien différente, en date d’aujourd’hui.
Selon un communiqué divulgué par Ubisoft, son année fiscale 2024-2025 a été vraiment difficile, ayant éprouvé des pertes de 159 millions d’euros en pertes nettes, soit une baisse de 17,5% sur l’an précédent. Son chiffre d’affaires s’est situé à 1,9 milliard d’euros durant cette période, soulignons-le. Aussi, un recul important de 20,5% sur l’année est affiché pour les réservations nettes, soit hors revenus différés, pour un total de 1,8 milliard de d’euros.
Comme on le sait, la compétition est féroce dans le monde des jeux vidéos, comme ailleurs, donc ces soustractions monétaires ne sont pas une surprise en soi, si on en croit le propos de Yves Guillemot, PDG d’Ubisoft.
« Ubisoft a fait face à des défis cette année, avec des dynamiques contrastées au sein de notre portefeuille dans un environnement fortement concurrentiel. » -Yves Guillemot, PDG d’Ubisoft
Jeux vidéo: Ubisoft retombe dans le rouge en 2024-2025 malgré «Assassin's Creed» https://t.co/TCb3d5zgYz
Disons que ça va de mal en pis pour l’organisation francitée, alors qu’on fondait beaucoup d’espoir envers «Assassin’s Creed Shadows». Dans les faits, le dernier volet de cette série de jeux a eu un succès évident, ayant compté plus de 3 millions de joueurs mondialement pendant sa semaine d’ouverture.
Néanmoins, on ne peut pas en dire autant pour «Star Wars Outlaws» et «XDefiant», qui n’ont pas connu la gloire escomptée par les principaux intéressés.
Ubisoft prévoit un meilleur calendrier en 2025-2026, alors que plusieurs sorties d’envergure sont au planning, dont un remake du jeu «Prince of Persia: The Sands of Time», annoncé pour 2026. Ajoutez à cela la sortie de deux jeux mobiles, soit «Rainbow Six Mobile» et «The Division Resurgence».
Ubisoft confirmed that the Prince of Persia Sands Of Time Remake is coming between January & March 2026.
Il faudra aussi s’attendre à une continuité de la réduction des coûts, auparavant amorcée en 2023, dont un minimum de 100 millions d’euros d’ici 2027. On peut donc comprendre qu’un plan sérieux de redressement est mis en place, afin de ne pas s’éloigner davantage de leurs objectifs fiscaux.
Leurs pieds sont en action, donc ultimement, les résultats devraient y être aussi en bout de ligne!
Le YouTubeur le plus populaire du monde, MrBeast, a sa propre série de télé-réalité sur Azamon Prime Video, depuis 2024.
Depuis le 19 décembre dernier, lors de la première mondiale de la série Beast Games, l’engouement est à son comble, alors que le projet est devenu la série non-scriptée la plus regardée de tous les temps de la plateforme D’après Amazon, plus de 50 millions de gens ont visionné la série au cours des 25 jours qui ont suivi sa sortie. Un franc succès, disons-le!
Beast Games is back! @PrimeVideo's record-breaking competition show hosted by @MrBeast has been renewed for two more seasons.
With 50 million viewers in just 25 days, it's our most-watched unscripted show ever. Get ready for more jaw-dropping challenges. pic.twitter.com/gFLiIuonEU
Dans cette optique, Prime Video et MrBeast ont annoncé une très grande nouvelle, quant à l’avenir du projet, alors que le tout a été renouvelé pour deux autres saisons.
Rappelons que l’émission a pour but de recevoir des compétiteurs, afin qu’ils effectuent des défis mentaux, physiques et sociaux, dans le but de gagner 10 millions de dollars (US) en argent comptant.
"Beast Games" winner Jeffrey Randall Allen walked away with $10 million in earnings. This is the largest prize in entertainment history, according to the show. Allen was competing for his son Lucas, who was born with a rare genetic disease. pic.twitter.com/yVFe7apL1A
Par le fait même, la série a battu plusieurs records Guinness, soit un grand total de 44, dont celui du plus gros prix pour une télé-réalité compétitive (10 millions de dollars) et celui du plus haut prix monétaire remporté durant un seul épisode (2,02 millions de dollars).
Beast Games serait toujours à la recherche de joueurs pour sa saison 2, alors que les postulants doivent être âgés de 18 ans et plus, eux qui doivent aussi être disponibles pour six semaines consécutives de tournage aux États-Unis entre mai et juillet 2025.
Même s’il est maintenant un soixantenaire, Tom Cruise ne ralentit pas la cadence pour autant.
Le visage de Mission: Impossible depuis 1996 a pratiquement toujours effectué ses propres cascades durant le tournage des films de cette série. D’ailleurs, le huitième chapitre, soit «Mission Impossible: The Final Reckoning», sera disponible au grand écran à partir du 23 mai prochain. Celui qui incarne le personnage Ethan Hunt sera aux côtés de Simon Pegg, Hayley Atwell et Pom Klementieff, pour l’occasion. Bref, à ne pas manquer!
Pour ceux qui se le demandaient, les acteurs ont toujours leur propre préparation, afin d’être prêt aux défis d’un tournage, et Tom Cruise n’en fait pas exception. Surtout dans le rôle d’Ethan Hunt, ça demande un effort physique assez pointu.
Lors d’une entrevue accordée à People , l’acteur de 62 ans a dévoilé les ingrédients de son déjeuner de champion, afin de pouvoir réussir les cascades demandées en haute altitude dans Mission Impossible, justement. On parle ici de beaucoup d’œufs, des saucisses, du bacon, des toasts, du café et des fluides, soit un énorme repas.
« En fait, je prends un petit déjeuner copieux. La quantité d’énergie que cela demande – je m’entraîne tellement dur pour ce wing-walking. Je mange des saucisses, presque une douzaine d’œufs, du bacon, des toasts, du café et des boissons. Oh, je mange! Nous sommes en haute altitude. Mon corps brûle beaucoup. » – Tom Cruise
Tom Cruise Eats This Huge Meat-Heavy Breakfast to Fuel 'Mission: Impossible' Stunts https://t.co/rnaF6i0ueD
Le cascadeur d’expérience fait en quelque sorte référence aux figures effectuées sur les ailes d’un avion à environ 120 miles à l’heure, mentionnant que ça lui coupe le souffle parfois.
Robert F. Kennedy Jr. a particulièrement fait jaser de lui récemment.
Une autre controverse a éclaboussé le septuagénaire, alors qu’il a publié une photo de ses petits-enfants et lui-même en train de nager dans le ruisseau de Rock Creek, à Washington.
Mother’s Day hike in Dumbarton Oaks Park with Amaryllis, Bobby, Kick, and Jackson, and a swim with my grandchildren, Bobcat and Cassius in Rock Creek. pic.twitter.com/TXowaSMTFY
— Robert F. Kennedy Jr (@RobertKennedyJr) May 11, 2025
Le seul hic? Leur baignade fut extrêmement risquée, car le cour d’eau en question est particulièrement contaminé par de multiples bactéries, dont celle de l’E. coli.
Depuis des lustres, le National Park Service (NPS) met en garde la population de DC, en raison de ce très grand risque bactérien, donc RFK Jr. a en quelque sorte joué avec le feu, exposant notamment ses petits-enfants. Dans les faits, ces restrictions/avertissements sont en place depuis plus de 50 ans, rien de moins. On parlerait même d’une vaste contamination fécale dans ces environs…
« Rock Creek présente des niveaux élevés de bactéries et d’autres agents pathogènes infectieux qui rendent la baignade, le pataugeage et tout autre contact avec l’eau dangereux pour la santé humaine (et celle des animaux de compagnie). » – Via le National Park Service
"Robert F. Kennedy Jr. submerges in creek with high bacteria levels, including E. coli"
Or to put it another way, "Secretary of Health and Human Services swims in sh*t."https://t.co/RKaa4ZYFwE
Soulignons que les symptômes de l’E. coli sont à prendre au sérieux, alors qu’on parle de nausée, fièvre, maux de tête, vomissements, vives crampes d’estomac et de diarrhées aqueuses et/ou sanglantes.
Au Canada, le hockey est considéré comme étant le sport national, grâce à leur passion et leur soutien inestimable.
Plusieurs célébrités sont régulièrement observées dans l’entourage de la LNH, dont un certain Justin Bieber, un fidèle partisan des Maple Leafs de Toronto.
D’ailleurs, le chanteur est lié d’amitié à quelques joueurs de l’équipe, dont le capitaine Auston Matthews.
Auston Matthews’ and Justin Bieber’s friendship >>>
Le chanteur de 31 ans a d’ailleurs démontré son amour envers les Leafs, le week-end dernier, dans le cadre de leur match ultime face aux Panthers de la Floride. Il a partagé une publication sur Instagram, proposant au passage une caption particulière et très crue.
En plus, l’interprète des chansons Baby et Boyfriend a fait jaser pour son accoutrement assez coloré et son comportement assez étrange pendant la rencontre. Au cours des derniers mois. Bieber a semblé être sur une dérape interminable en compagnie de sa copine, et des images durant le match ont surgi sur les réseaux sociaux, mettant du poids sur ces hypothèses.
Son style vestimentaire n’est pas passé sous le radar, alors qu’il était imagé par un chapeau en fourrure, des lunettes de soleil et une veste orangée (entre autres).
Et au niveau comportemental, Justin a été vu en train d’effectuer des drôles d’expressions faciales et des mouvements actifs avec sa tête, laissant potentiellement présager qu’il n’était peut-être pas dans son état naturel, tout comme sa conjointe, qui semblait sur une autre planète.
Justin and Hailey Bieber at the Maple Leafs VS Florida Panthers game in Toronto, Canada (May 18) pic.twitter.com/dj8LHATn4P
Ça ne sent pas très bon dernièrement pour la compagnie japonaise automobile Nissan, alors que des mauvaises nouvelles se dessinent.
Selon ce qu’a rapporté NHK, Nissan aurait l’intention d’éliminer 15% de sa masse d’emplois, et ce, très prochainement. On parlerait ici d’environ 10 000 individus qui perdraient leur travail à travers le globe. Ajoutez à cela les 9000 postes qui ont été supprimés en novembre dernier, il s’agirait de presque 20 000 emplois perdus en l’espace de quelques mois.
En plus, 7 des 17 facilités de Nissan disparaitront d’ici 2027.
Des démarches d’association avec Honda avec eux lieu en 2024, afin de s’entraider pour créer un produit commun, certes, mais le tout s’est effacé l’hiver dernier, laissant l’espoir de Nissan dans un creux inachevé.
Ajoutons à cela les frais de douanes monstrueux imposés par Donald Trump.
Nissan to cut 20,000 jobs as Trump's tariffs complicate plans to escape its financial crisis https://t.co/4yDqk53rfN
— Business Insider (@BusinessInsider) May 13, 2025
Bref, Nissan aimerait décidément rattraper du retard sur ses compétiteurs, quant aux items électriques, mais disons que cette situation problématique retarde le processus.
Le nom d’Antoine Deslauriers commence à faire jaser aux quatre coins du Québec, soit un joueur de football aux particularités physiques surhumaines.
Dans les faits, Antoine est un jeune de 19 ans qui fait particulièrement fureur sur la place publique, notamment en raison de son apparence physique aux allures d’un dieu grec. Depuis quelques années, Antoine a entamé un processus d’entraînement intensif, afin d’avoir une masse musculaire impressionnante. Il se fait mesurer à 6’1 et 235 livres, évoluant au poste de secondeur, rappelons-le.
Ayant commencé à jouer au football à l’âge de 8 ans, c’est plutôt à 13 ans qu’il s’est rendu compte de son potentiel de footballeur. Son gabarit imposant l’a assurément motivé à poursuivre ses ambitions d’atteindre le niveau suivant dans ses objectifs de vie, mais également professionnels.
Et bien qu’il se fait remarquer pour sa masse corporelle frappante à l’œil, il est un footballeur de qualité, lui qui est vu comme l’un des meilleurs espoirs de la NFL, en vue du repêchage de 2028. D’ailleurs, malgré le fait qu’il est québécois, donc canadien, son profil n’est pas passé inaperçu auprès des universités américaines.
Le Lavallois s’est engagé avec l’Orange de Syracuse (NCAA), en vue de la campagne à venir, lui qui risque même de devenir le secondeur partant de cette formation pour plusieurs années. Deslauriers avait d’ailleurs reçu beaucoup d’offres de la part des États-Unis, dont des universités de Notre Dame, North Carolina, Texas A&M, Duke et plus encore. Il pourrait même devenir le premier natif du fleur de lysé à être sélectionné au tour initial du repêchage du circuit professionnel de football, et ce, depuis Tshimanga Biakabutuka chez les Panthers de la Caroline en 1996.
Démontrant visiblement une maturité incroyable, Antoine a révélé qu’il ne se laisse pas atteindre par le bruit extérieur, malgré toute la pression que représente de jouer du football à un haut niveau.
« Je ne me laisse pas influencer par la pression extérieure, parce que je suis celui qui se met le plus de pression. Ce que je fais depuis que je suis jeune me permet d’avoir des opportunités. C’est à moi de les saisir et de réaliser mes objectifs. » – Antoine Deslauriers
On sent que ce jeune homme pourrait devenir l’une des fiertés de sa patrie, plus tôt que tard, notamment sur le volet sportif, lui qui aboutira ultimement en NFL, à moins d’une malchance soit le meilleur circuit de football au monde.
Et qui sait, peut-être qu’il remportera un Super Bowl un jour?
Ayant annoncé sa retraite comme hockeyeur professionnel, le Québécois David Savard a été interrogé sur plusieurs dossiers par Benoît Dutrizac, plus tôt cette semaine, via QUB Radio.
L’ex défenseur du CH s’est notamment ouvert sur son futur, lui qui ne compte pas rester inactif.
«(…) Je pense qu’il y aura d’autres projets dans le futur. On prend le temps de réfléchir, mais c’est sûr qu’on va se trouver d’autres nouveaux projets. Je veux prendre le temps de voir s’il y a des opportunités qui sautent à moi. J’ai rencontré beaucoup de gens à travers ma carrière. Ça peut être de rester dans le hockey, je connais du monde un peu partout, avec des joueurs avec qui j’ai joué. J’ai adoré l’organisation ici, je ne sais pas s’il y a des opportunités autour d’eux. (…) » – Savard, quant à son avenir.
«C’est sûr qu’il y a beaucoup d’émotions, surtout quand ça fait 15 ans que tu joues professionnel. On s’est donné corps et âme pour le sport. Les 4 dernières années, on avait construit quelque chose de le «fun» à Montréal, et plus ça allait, plus on s’améliorait. Tout m’a frappé un peu quand j’ai embarqué sur la glace avec 25 secondes à faire. J’ai regardé en-haut et autour de moi, en sachant que c’était mes dernières secondes dans la LNH. (…)» – Savard, sur les derniers instants de sa carrière.
«(…) As-tu eu des doutes, à un moment donné?» – Dutrizac
«Ça faisait plusieurs mois que c’était dans ma tête, et tu te demandes si c’est la bonne décision. Y’a beaucoup de fois où je me posais des questions, mais le lendemain d’un match, je savais exactement pourquoi j’avais pris cette décision là. Les journées devenaient de plus en plus difficiles à passer au travers et je doutais si j’allais disputer le match du soir. Tu fais beaucoup de traitements entre les matchs, tu pouvais pu patiner autant et tu ne pouvais plus faire les pratiques. Un moment donné, je ne voulais pas laisser la ligue décider quand j’allais finir. (…) – Savard, sur les doutes quant à sa décision de prendre sa retraite.
«J’ai toujours eu des problèmes de dos. (…) C’est aussi une accumulation de blessures. Tu as trois fois une blessure sur le même genou, ce sont des ligaments qui sont maganés un peu. Ça peut être un coup subi à la partie d’avant et le lendemain, t’as de la misère à monter les marches. Tu essaies d’avoir le plus de traitements possibles et tu reçois des anti-inflammatoires pour aider à passer par-dessus ces douleurs là. (…) Les coudes, les poignets, les mains et cie. Ça s’accumule pas mal avec le temps. (…) – Savard, au sujet de ses bobos.
«Ton corps a quel âge?» – Dutrizac
«Pour mon dos, ils m’ont dit que des gens de 70 ans avaient le même genre d’usure, donc ce n’est pas le genre de chose que tu veux entendre à 32-33 ans.» – Savard, ayant aussi souligné qu’il allait faire de la réhabilitation pour ses blessures.
«Le plus épeurant? Je vais y aller avec Shea! Weber, c’était le poids de son lancer. J’ai l’impression que peu importe ça frappait où, même avec de la protection. Il a déjà plié une de mes «pads», et j’avais une grosse bosse en-dessous. (…)» -Savard, sur le lancer qui l’a le plus marqué.
Sur l’arrivée de Martin St-Louis: «J’ai vraiment aimé travailler avec lui. Il a tellement une tête de hockey, c’est complètement fou ce qu’il voit sur la patinoire. (…) Je pense qu’il apprend beaucoup aussi à travers les joueurs, car la génération est un peu différente du temps où il a joué.» – David Savard
« (…) Montréal a été une belle transition. (…) Mes enfants ont beaucoup d’amis maintenant, mais ils ont perdu beaucoup d’amis (à Columbus). Ils étaient encore très jeunes, mais ils ont plus ou moins réalisé ce qui se passait. C’est plus nous qui avons eu un casse-tête de trouver une maison, surtout que c’était la Covid. (…) – Savard, sur la transition familiale entre Columbus et Montréal.
En fermeture d’entrevue, Benoît a souligné à quel point David a eu un impact positif dans la communauté et chez le Tricolore. On salue l’authenticité, la transparence et la générosité de l’ancien numéro 58 lors de la rencontre virtuelle.