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Passage émotif au Québec pour Denis Villeneuve et Tanya Lapointe

Le couple formé de Denis Villeneuve et Tanya Lapointe a évidemment beaucoup fait tourner les têtes au Gala Québec Cinéma, dimanche.

Présents à l’événement en raison de l’hommage qui était rendu au cinéaste en cours de soirée, ce dernier et sa conjointe, qui travaille avec lui notamment comme productrice, ont été accessibles et d’une générosité sincère avec leurs collègues artistes et avec les journalistes, prenant le temps d’échanger un mot avec chacun.

Tanya Lapointe, qui a autrefois été journaliste culturelle pendant 15 ans (et 10 ans à Montréal) à Radio-Canada, jusqu’en 2016, était d’ailleurs émue de constater qu’elle assistait pour la première fois au Gala Québec Cinéma en tant que spectatrice, et non en tant que reporter, les projets américains de Denis Villeneuve et la pandémie l’ayant nécessairement un peu éloignée du milieu cinématographique d’ici.

«Ça me rendait un peu nostalgique, ce soir, de repenser aux galas auxquels j’ai assisté comme journaliste», a confié Tanya Lapointe à Hollywood PQ. «C’est chouette, parce qu’on connaît tout le monde! C’est comme revenir dans la famille. La pandémie a fait qu’il y a des gens qu’on n’a pas vus depuis 5 ans. On n’avait pas eu d’opportunités de se croiser, de se voir « en vrai ». Juste en faisant les photos, en entrant, je pense que j’ai vu 40 personnes que je n’avais pas vues depuis vraiment très longtemps!»

L’occasion était belle de demander à Tanya Lapointe si elle s’ennuie de son rôle de journaliste. Pas spécialement, a-t-elle laissé entendre.

«J’ai adoré ce que j’ai fait, mais ce n’est pas facile comme travail, de durer dans le métier…»

Denis Villeneuve et Tanya Lapointe sur le tapis rouge du Gala Québec Cinéma 2024 / Crédit : Serge Cloutier

Or, la profession «fait encore partie de [son] ADN», reconnaît-elle. La communicatrice a entre autres mis ses réflexes journalistiques à profit en concevant les livres documentant les secrets de production des derniers films de son partenaire (The Art and Soul of Dune, tome 1 et 2, The Art and Soul of Blade Runner 2049, The Art and Science of Arrival).

«J’ai toujours aimé interviewer les gens pour comprendre leur processus de création. Maintenant, j’ai les deux pieds dedans. J’ai des accès auxquels je n’aurais jamais pu rêver. Et c’est intéressant, parce que, quand j’ai commencé à écrire ces livres-là, c’était pour moi une façon de redonner, c’était ma curiosité que je pouvais assouvir et partager avec les autres…»

Également réalisatrice, Tanya Lapointe lançait en 2020 le documentaire Lafortune en papier, un portrait touchant du regretté animateur Claude Lafortune, qui a fait rêver tant de générations d’enfants avec ses bricolages au petit écran. L’aventure Dune l’ayant beaucoup accaparée dans les dernières années, la dame mijote néanmoins d’autres projets de documentaires, à l’état embryonnaire pour l’instant.

«J’adore travailler avec Denis et on va continuer de travailler ensemble sur ses prochains films, mais j’aime avoir mes projets, aussi. J’ai quelques collaborations, et on va voir si ça va évoluer vers quelque chose de concret», a mentionné celle qui allie avec brio art et affaires, et qui dit ne pas s’inquiéter pour la vitalité de la culture québécoise.

«Il y a une multiplication des voix. On ne dort pas sur les mêmes histoires dans la nostalgie. Il faut embrasser et célébrer ça. Pour moi, c’est le plus important, de célébrer ce qu’on fait. Je suis allée voir des films québécois en salle, et les salles sont pleines! Je pense qu’il y a un appétit. Il faut juste s’assurer de soutenir ça et que ça soit plus visible. C’est sûr que je parle d’un point de vue d’ancienne journaliste culturelle, mais moi, c’était ça, mon désir : de faire connaître tout ce qui se fait de beau, parfois de controversé, qui fait réfléchir sur notre réalité à nous, au Québec.»

Denis Villeneuve très ému

Denis Villeneuve, de son côté, n’a pas caché avoir été très flatté par le coup de chapeau que lui a tendu l’organisme Québec Cinéma lors de la cérémonie de dimanche animée par Phil Roy. Tant en entrevue individuelle avec Hollywood PQ avant le gala qu’en mêlée de presse avec les journalistes après le segment de son hommage, le respecté réalisateur, bien qu’habitué au faste hollywoodien, a réitéré sa gratitude sentie.

«Cette idée qu’on ait envie de célébrer mon parcours au Québec a une signification profonde pour moi. Parce que je suis parti du Québec depuis plusieurs années, mais le Québec est encore en moi, et ça me fait plaisir qu’on le reconnaisse.»

Denis Villeneuve témoigne d’ailleurs très concrètement de son attachement pour la Belle Province et son septième art. En septembre, il effectuait un «don majeur» au Cinéma du Parc pour aider la restauration et le maintien des activités de l’institution. Plus tôt cette année, en juillet, il foulait le tapis rouge de la première du film 1995 et renouait avec enthousiaste avec ses anciens camarades de La course destination monde, qui avait révélé son talent dans les années 1990.

«Ce sont mes racines! J’aime le cinéma québécois. C’est un cinéma inspirant, dynamique, et c’est important pour moi de rester en lien avec lui.»

Denis Villeneuve sur le tapis rouge du Gala Québec Cinéma 2024 / Crédit : Serge Cloutier

Dans ses remerciements, dimanche, Denis Villeneuve a ouvert une rare porte sur sa vie intime, en saluant chaleureusement sa conjointe, Tanya Lapointe, et ses trois enfants, Salomé, Sacha et Achille. Les deux premiers étaient d’ailleurs à ses côtés lors du gala.

«[Tanya], dans son métier, comme productrice, structure ma vie, mon horaire et mon travail, pour que j’arrive à accomplir tout ce que j’ai à faire. C’est quelqu’un qui me guide. C’est ma première conseillère, la première personne qui me lit. La personne qui m’endure, aussi, qui gère les crises! Quand les studios américains ont des problèmes, ils ne m’appellent pas, moi; ils appellent Tanya, parce qu’ils savent que ça va se régler! C’est mon roc, c’est ma solidité. C’est quelqu’un qui m’inspire beaucoup», a dépeint le créateur, avant d’enchaîner sur la raison pour laquelle il souhaitait également adresser de tels mots à ses enfants.

«J’ai toujours été très farouche par rapport à mon intimité. Mais des hommages comme ça arrivent une fois. Je me disais que, s’il y avait trois personnes que j’avais envie de remercier, c’est eux. Ils embrassent cette idée que leur père disparaisse pour plusieurs mois. Que notre relation n’ait pas été affectée par ça, c’est le plus gros cadeau que j’ai reçu, dans ma vie. J’avais envie de les honorer pour ça, ce soir.»

«Profondément touché» d’avoir été encensé par les acteurs et collègues de ses premiers films – Pascale Bussières, Alexis Martin (Un 32 août sur terre), Évelyne Brochu, Karine Vanasse (Polytechnique), Rémy Girard (Incendies), etc. –, Denis Villeneuve a évidemment été questionné, dimanche, sur son intention – ou pas – de revenir travailler au Québec.

Pour l’heure, l’homme continue de s’accomplir à l’étranger. Mais il ne dit pas «jamais»…

«Éventuellement, quand je ferai un projet un peu plus intimiste, je vais revenir ici, c’est sûr. J’y vais un film à la fois! Les films que je fais présentement demandent une grande énergie. Ce sont des films de longue haleine, qui demandent beaucoup de force intérieure. Éventuellement, je reviendrai peut-être à des films plus petits…»

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8 potins du Gala Québec Cinéma!

Plusieurs artistes québécois étaient réunis aux Studios Grandé, dans Pointe-Saint-Charles, à Montréal, dimanche soir, pour célébrer le septième art d’ici au 26e Gala Québec Cinéma, qu’animait Phil Roy sur les ondes de Noovo. On y était pour glaner quelques potins… Voici ce qu’avaient à raconter vos vedettes préférées!

Vous pouvez aussi voir les photos du tapis rouge ici, ainsi que les gagnants de l’événement ici. Rappelons que plusieurs films finalistes à cette remise de prix Iris peuvent être visionnés sur la plateforme Crave, sous l’onglet Gala Québec Cinéma.

Un «beau malaise» en avion pour Ricardo Trogi

Ricardo Trogi lors du Gala Québec Cinéma 2024 / Crédit : Serge Cloutier

Le réalisateur Ricardo Trogi se dit très satisfait de l’accueil réservé à son dernier film, 1995, sorti l’été dernier, tant par les jurys du Gala Québec Cinéma que par le grand public. «J’ai pris l’avion, l’autre jour, et il y avait 5 personnes, dans mon coin, qui l’écoutaient en même temps! Ça m’a mis mal à l’aise, mais j’étais heureux quand même. Et j’étais surtout heureux qu’ils n’arrêtent pas!»

Tel qu’il l’avait promis à la sortie de 1995 (nous vous en parlions ici), Ricardo Trogi a déposé sur YouTube l’extrait de La course destination monde des années 1990, dans lequel les juges de l’émission évaluaient son court métrage Le son de l’ignorance, un moment qu’il recrée au détail près dans 1995, commentaires des observateurs spécialistes inclus. «Je pense que j’ai 6000 ou 7000 vues, déjà. Ça permet aux gens de constater que c’est exactement pareil comme dans le film», a souligné Ricardo Trogi, qui s’apprête à tourner la troisième saison de la comédie Lakay Nou, la deuxième devant sortir sur les plateformes de Radio-Canada cet hiver.

Un film porteur de sens pour Karine Vanasse

Karine Vanasse lors du Gala Québec Cinéma 2024 / Crédit : Serge Cloutier

Le vendredi 6 décembre dernier marquait le triste 35e anniversaire de la tragédie de Polytechnique. Deux jours plus tard, le 8 décembre, le milieu du septième art d’ici rendait hommage, lors du Gala Québec Cinéma, à Denis Villeneuve, réalisateur du film du même titre, Polytechnique, relatant le drame, et dont Karine Vanasse était l’une des productrices.

Cette dernière constate que, depuis la sortie de l’œuvre (en 2009), les violences faites aux femmes ne se sont hélas pas encore taries, l’actualité le démontre brutalement. Mais Karine Vanasse observe néanmoins une transformation dans la perception collective envers ces douloureux événements.

«Nous, quand on travaillait sur le projet, une des choses qui étaient dites, c’était que le combat pour le droit des femmes revient aux 40 ans. Cette année, ça fait 35 ans. Malheureusement, c’est vrai, on dirait que l’histoire se répète», a exposé Karine en entrevue.

«Mais une 15e lumière a été allumée, cette année, parmi les faisceaux [lors des commémorations du 6 décembre, en mémoire de toutes les victimes de féminicides confondues, NDLR]. Notre vision, notre façon de nommer cet événement-là, notre façon d’en parler, a évolué. Il y a des mots qu’on dit, maintenant, qu’on ne disait pas à l’époque. Il y a des choses qu’on nomme, désormais, dans les dynamiques hommes-femmes. Je ne sais pas vers quoi ça évoluera cette année, dans notre façon d’en parler. Ce n’est pas réjouissant, mais le simple fait de reconnaître que Polytechnique était un féminicide, d’ajouter ce mot-là, on dirait que depuis ce temps-là, on se rapproche d’une vérité», a ajouté l’animatrice des Traîtres, téléréalité qui reprendra l’antenne à Noovo au printemps, et comédienne d’Avant le crash.

Le film Polytechnique est disponible sur les plateformes Crave, Prime Video et Apple TV.

Théodore Pellerin, toujours bien à la maison

Théodore Pellerin lors du Gala Québec Cinéma 2024 / Crédit : Serge Cloutier

Théodore Pellerin, qui travaille à la fois au Québec, en France (récemment dans le film Nino) et aux États-Unis (dans Lurker, du scénariste Alex Russell, qui a signé Beef et The Bear), était extrêmement honoré d’être cité «à la maison» dans la catégorie Meilleur interprétation masculine – Premier rôle, pour son rôle de drag queen dans Solo, récompense qu’il a d’ailleurs remportée à la fin de la cérémonie.

«C’est très, très touchant, toujours. Le Québec, c’est là où j’habite, là où je reviens tout le temps. C’est ma langue. C’est important pour moi de continuer à jouer ici, dans ma langue et mon accent à moi. Je pense que je me perdrais, éventuellement, à emprunter les voix des autres.»

Est-ce volontaire de la part de l’acteur de laisser sa marque un peu partout dans le monde, de jouer ici comme à l’étranger? Théodore Pellerin a-t-il un plan de carrière?

«Mon plan de carrière, c’est d’aller vers les choses qui sont les mieux écrites possibles. Tout ce qui m’intéresse, ce sont les textes qui me touchent, qui m’appellent. Ça me permet de travailler dans trois cultures et de choisir ce qui me touche le plus», a expliqué celui qu’on vient de voir dans Becoming Karl Lagerfield, sur Disney+.

Évelyne Brochu encense Denis Villeneuve

Évelyne Brochu lors du Gala Québec Cinéma 2024 / Crédit : Serge Cloutier

Évelyne Brochu avait joué son premier rôle d’importance dans un film québécois dans Polytechnique, de Denis Villeneuve, en 2009, et c’est pour le segment de l’hommage à l’illustre cinéaste que la comédienne et chanteuse était présente au gala.

«Je me trouve bien chanceuse d’avoir été conviée à faire partie de ça», a confié Évelyne. «Je pense que le génie, l’excellence et le succès, c’est quelque chose de tellement beau, qui rejaillit sur nous. C’est tellement rare. J’espère que Denis a reçu à quel point on l’aime et on l’admire, à quel point un talent comme le sien est rare et à quel point il nous rend fiers!»

L’actrice vient de terminer le tournage de la troisième saison de la série française Paris Police (diffusée sur Canal+, et dont les deux premières années sont disponibles sur ICI TOU.TV EXTRA), et elle planche sur un troisième album de chansons, après Objets perdus (2019) et Le danger (2023).

«La vie, ce n’est pas Instagram!» – Sandrine Bisson

Sandrine Bisson lors du Gala Québec Cinéma 2024 / Crédit : Serge Cloutier

Sandrine Bisson n’en revenait pas de remporter un troisième trophée Iris pour son personnage de la truculente maman Claudette dans la série de films de Ricardo Trogi (elle avait raflé les honneurs dans la catégorie Meilleure interprétation féminine – Rôle de soutien pour 1981, 1991 et, aujourd’hui, 1995). D’autant plus que 1995 est l’un des titres les plus populaires de l’année au grand écran québécois.

«Je suis contente que les gens se déplacent pour voir notre cinéma. Parce que, si on n’existe plus au cinéma, on s’éteint un peu. Et ça, ça me fait peur pour l’avenir! La culture, c’est une douillette pour l’humanité. Il y a quelque chose d’important pour moi, là-dedans. Moi, j’ai des enfants qui grandissent à travers l’art, parce qu’ils en consomment, et mon fils est musicien. Il faut penser plus loin que le bout de son nez. La vie, ce n’est pas Instagram!»

Isabelle Blais en politique?

Pierre-Luc Brillant et Isabelle Blais lors du Gala Québec Cinéma 2024 / Crédit : Serge Cloutier

Le conjoint d’Isabelle Blais, Pierre-Luc Brillant, a été candidat du Parti québécois aux élections de 2022, et consacre maintenant beaucoup de temps à la vice-présidence de l’Union des artistes. Il faisait d’ailleurs partie du comité des récentes négociations entre l’organisation représentant les artistes québécois et l’Association québécoise de la production médiatique (AQPM) lors des discussions visant à renouveler l’entente collective entre les deux parties (laquelle était échue depuis février 2023). On sait que d’importants moyens de pression ont été exercés, dans les dernières semaines, sur des plateaux de tournage, l’Union des artistes étant prête à tout pour se faire entendre.

Est-ce que l’implication de son amoureux pourrait convaincre Isabelle Blais de se lancer elle aussi en politique éventuellement? Sans répondre ouvertement par l’affirmative, la comédienne de STAT (qui se garde bien de révéler quoi que ce soit au sujet de l’intrigue à venir dans la quotidienne!) ne ferme pas définitivement la porte…

«La politique, plus tu gravites autour, plus tu te fais un peu aspirer! Ça m’intéresse, je découvre plein de trucs, j’apprends plein d’affaires. Pour moi, c’est un peu une révélation, parce que j’étais très éloignée de ces milieux-là. En 1995 [année du référendum], j’avais 20 ans, j’étais encore rêveuse, mais suite à ça, je me suis beaucoup détachée de la politique. Et, là, j’y reviens», nous a dit Isabelle.

Jean-Carl Boucher vous invite à passer au salon

Jean-Carl Boucher lors du Gala Québec Cinéma 2024 / Crédit : Serge Cloutier

Jean-Carl Boucher a très hâte que le public découvre la nouvelle comédie Passez au salon, qu’il réalise, et qui sera présentée à TVA à compter du 8 janvier. L’histoire campée dans le salon funéraire d’un petit village met en vedette Jean-Michel Anctil et Louis-Philippe Dandenault dans la peau de deux frères forcés de reprendre les rênes de l’entreprise familiale et de réorienter leur vie autour des pompes funèbres… sans nécessairement avoir le profil de l’emploi.

Parallèlement à sa carrière de comédien, Jean-Carl Boucher a réalisé plusieurs épisodes de plusieurs séries (District 31, 5e rang, Discussions avec mes parents, STAT, Hôtel), mais c’est la première fois qu’il démarre «sa» série à lui, avec sa propre signature. Les textes de Passez au salon sont de Maxime Caron, Pierre-Louis Sanschagrin et Martin Forget et script-édités par François Avard, d’après une idée originale des amis Jean-Michel Anctil et Louis-Philippe Dandenault.

«Je pense que les gens vont beaucoup rigoler. C’est une série comique qui ne boude pas son plaisir. On veut que ça fasse du bien aux gens. On reconnait un peu le ton de Discussions avec mes parents, mais c’est quand même très différent.  Il y a un petit côté comédie noire, parfois, parce qu’on parle de la mort, mais c’est un sujet tellement large!», a dépeint Jean-Carl, qui espère déjà une deuxième saison de Passez au salon (la première comptera 10 demi-heures) et qui travaille toujours au scénario de film qu’il élabore avec Pier-Luc Funk.

Pascale Montpetit flirte avec le Frère André

Pascale Montpetit / Crédit : Serge Cloutier

Pascale Montpetit était en nomination dans la catégorie Meilleure interprétation féminine – Rôle de soutien, pour sa prestation dans l’iconoclaste film Ababouiné, du non moins singulier réalisateur André Forcier. L’actrice y incarne Délima Paquette, une grand-maman célibataire qui vit un drôle de jeu de séduction avec… le cœur du frère André! Certaines scènes décalées jouées par Pascale Montpetit dans Ababouiné ont de quoi choquer les puristes de la religion, avouons-le. Or, la principale intéressée a indiqué n’avoir reçu aucun commentaire outré ou dérangé.

«Les prêtres ne se sont pas gênés, eux, pour agresser des enfants; alors, je pense que c’est de bonne guerre, si je peux me permettre!», nous a lancé Pascale Montpetit en riant. «Le cœur du frère André, on s’en est tellement moqués! Un cœur dans un bocal… Les Cyniques avaient fait des sketchs là-dessus. Ce n’est pas moi qui ai écrit le film, mais j’assume complètement le regard critique de Forcier sur la religion. Je raffole de sa fantaisie et de son imagination! La richesse du Vatican, cette catégorie de gens complètement déconnectés du Faubourg à m’lasse… Ce n’était pas fait avec agressivité. C’était fait avec humour. Je n’ai pas entendu de gens qui étaient scandalisés. Je suis sûre que même les personnes croyantes et pratiquantes peuvent apprécier ce film-là.»

Pascale Montpetit a passé le dernier semestre à enseigner à l’École nationale de théâtre et raconte avoir adoré son expérience. «C’est quelque chose que je veux développer dans ma pratique. J’ai monté Andromaque, de Racine, dans un atelier avec des étudiants de deuxième année. Je veux y retourner l’année prochaine.» La comédienne sera également de la distribution d’Empathie, la nouvelle série de Florence Longpré attendue sur Crave au cours des prochains mois, et elle est artiste peintre dans ses temps libres.

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Mylène Mackay révèle le sexe de son enfant à naître

Mylène Mackay a récemment annoncé être enceinte de son premier enfant. Le poupon doit se pointer le bout du nez en février.

La comédienne a brillé au Gala Québec Cinéma, dimanche, où elle était en nomination dans la catégorie Meilleure interprétation féminine – Premier rôle pour son interprétation de la botaniste Marcelle Gauvreau dans le très beau film Dis-moi pourquoi ces choses sont si belles. Voyez ici des photos de son magnifique look de soirée.

En entrevue avec HollywoodPQ, Mylène a précisé que son conjoint, le chef André Nicolàs Medina (chef de l’établissement montréalais Rouge Gorge, vu notamment à la défunte émission 5 chefs dans ma cuisine, qu’animait Marina Orsini à Radio-Canada) et elle accueilleront un petit garçon!

«Ça va être mon projet pour le début de l’année», a précisé l’artiste en souriant. Mylène Mackay n’entreprendra les tournages de la troisième saison d’Avant le crash qu’en juin ou juillet. «J’aurai le temps d’être à la maison avec le bébé pendant au moins deux ou trois mois!», s’est-elle réjouie.

Serge Cloutier

Par ailleurs, Mylène est en vedette dans l’excellent suspense policier Corbeaux, dont les six épisodes, qui se dévorent en un clin d’œil, viennent d’être déposés sur la plateforme illico+. L’actrice y incarne Gabrielle, une jeune enquêtrice ambitieuse qui investigue sur une série de meurtres d’hommes à la signature très étrange (un indice : le titre de la série!).

La comédienne n’a d’ailleurs que de bons mots à formuler à l’égard de sa principale compagne de jeu, Pascale Bussières.

«Ç’a cliqué vraiment tout de suite! On est arrivées à l’audition habillées pareil. C’était vraiment bizarre! Ils cherchaient un duo… et on avait la même chemise, le même pantalon, le même manteau. On était abasourdies! Pascale a tellement de métier, que son jeu est très détendu, et elle m’a beaucoup inspirée, là-dedans. Elle est tellement présente, tellement à l’écoute!»

Aux dires de Mylène Mackay, une deuxième saison de Corbeaux serait envisageable. À suivre…

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Marie-Eve Janvier avoue avoir été ébranlée

Une amitié semble véritablement s’être tissée dans les locaux de Rythme 105, 7 cet automne, entre les deux nouvelles co-animatrices de l’émission Les filles du lunch, Marie-Eve Janvier et Maripier Morin.

Les résultats du plus récent sondage Numéris sur l’écoute de la radio montréalaise, parus mercredi, ont apparemment été favorables pour Rythme. Cogego Média, propriétaire de la chaîne (et aussi du 98,5, Pierre Karl Péladeau a récemment causé la surprise!) a rapporté que Rythme est «la radio musicale francophone numéro 1 à Montréal avec 24% des parts commerciales.» «Elle prend également la première position auprès des femmes de 25 à 54 ans», a aussi écrit l’entreprise médiatique sur ses plateformes.

À cette occasion, Marie-Eve et Maripier se sont mutuellement envoyé des fleurs sur les réseaux sociaux. Maripier Morin a qualifié sa collègue de «trooper» et de «maman ours», soutenant que celle-ci est «humble, travaillante, forte» et qu’elle est comme un «grand chêne» (lisez l’entièreté de son message ici). Marie-Eve, elle, a dit publiquement à Maripier, sur Instagram, que «faire de la radio avec [elle] fait partie des plus belles aventures radiophoniques [qu’elle a] vécues».

L’arrivée de Maripier Morin à Rythme a fait grand bruit à l’automne / Crédit : Serge Cloutier

Or, plus tôt cet automne, Marie-Eve Janvier avait aussi couvert sa nouvelle amie d’éloges lors d’une entrevue avec Hollywood PQ.

«J’ai vraiment une bonne partenaire! J’en ai toujours eu, c’est sûr. Avec Maripier, il y a une magie qui est là. C’est une fille sans filtre, authentique, qui se donne. Elle m’impressionne beaucoup, beaucoup. Avec un bébé de trois mois, elle fait ses shows, elle se tire du lait… Je sais ce qu’elle vit. C’est une superwoman», encensait celle qui est elle-même maman de trois enfants, Léa, 8 ans, Laurence, 3 ans, et Louis, 1 an et demi.

Non, Marie-Eve Janvier n’a pas trouvé faciles les circonstances qui ont entouré l’arrivée de Maripier Morin aux Filles du lunch. Doit-on rappeler que Patricia Paquin a brusquement été écartée de son siège et fut remplacée par Maripier à son retour de vacances d’été, dans un grand tapage médiatique? Un événement qui a, une fois de plus, fait réaliser à Marie-Eve Janvier la valeur de son privilège d’être à la barre d’une tribune quotidienne comme Les filles du lunch à une antenne prisée comme Rythme.

«C’est sûr que ça ébranle», nous a confié Marie-Eve.

«On gère des humains, là-dedans. Mais, en même temps, on connaît tous le pattern, et on sait comment ça marche. Après, je me sens très privilégiée d’avoir encore un travail et de pouvoir faire ce que j’aime. J’ai beaucoup de respect pour ceux et celles qui font ça et qui traversent les années. On sait le privilège qu’on a, quand on a un micro dans la face!»

Chose certaine, Marie-Eve Janvier reçoit beaucoup de beaux cadeaux professionnels ces temps-ci : elle sera en vedette avec Marc Hervieux et l’Orchestre FILMharmonique dans le spectacle Parapapam à la Maison symphonique de la Place des Arts, du 26 au 29 décembre, elle coanimera, avec son amoureux Jean-François Breau, Si on s’aimait célébrités à TVA au printemps prochain, et l’aventure des Filles du lunch se poursuit pour Maripier et elle.

Puis, ayant brillé dans la comédie musicale Waitress l’été dernier, la chanteuse ne dirait pas non à la perspective de rejouer éventuellement dans une production du genre…

«J’aimerais ça! Je me croise les doigts, peut-être qu’un jour on pourra le revivre!»

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Le saviez-vous? Cet ancien enfant-acteur très marquant est maintenant réalisateur

Saviez-vous que plusieurs cinéastes se partagent la réalisation de la série Sorcières, à TVA, et que, dans le lot, se trouve Ian Lagarde, qui fut jadis un enfant acteur très occupé?

Il y a une trentaine d’années, Ian Lagarde bouleversait plusieurs Québécois dans la peau du petit Clovis de la choquante série Au nom du père et du fils, diffusée à TVA au printemps 1993. Son personnage était un jeune Algonquien, fruit de l’amour adultère entre le respecté docteur Philippe Lafresnière (Yves Soutière) et la jeune Amérindienne (comme le voulait l’appellation de l’époque, on dirait aujourd’hui Autochtone) Marie-Jeanne Sauvageau, ou Biche Pensive (Geneviève Rochette), dans le petit village de Saint-Bernard, dans les Hautes-Laurentides, au tournant des années 1900. À la mort de sa mère, Clovis était forcé d’aller vivre avec l’austère curé Alcide Plamondon (Pierre Chagnon, demeuré très identifié à ce rôle puissant), qui régnait sur sa communauté avec une poigne de fer et faisait endurer sévices physiques et psychologiques à son jeune pensionnaire, par envie de vengeance envers le Dr Lafresnière. Plusieurs épisodes d’Au nom du père et du fils sont aujourd’hui disponibles sur YouTube.

Pour Ian Lagarde, le souvenir des tournages de cette saga d’époque adaptée du roman du même titre de l’auteure Francine Ouellette (1984) n’évoque que de la joie. Non, aucun enfant n’a réellement été maltraité sur le plateau d’Au nom du père et du fils! Et Ian Lagarde avait beaucoup de plaisir à travailler avec Pierre Chagnon.

«C’était super cool! J’avais été très bien traité. Plein de gens me demandent, encore aujourd’hui, si j’accepterais de laisser mes enfants devenir comédiens, et je réponds : pourquoi pas! Les games de hockey peuvent être aussi toxiques. C’est une question d’encadrement. C’est un super milieu pour apprendre plein d’affaires, découvrir beaucoup de choses», explique Ian Lagarde, en entrevue avec Hollywood PQ.

«Ça ne devait pas être facile pour lui non plus», continue l’artiste au sujet de Pierre Chagnon, qui devait se prêter à des scènes à caractère sexuel un peu délicates avec son jeune partenaire de jeu. «J’étais en pleine puberté, à ce moment-là. C’était vraiment spécial pour moi de jouer ça quand j’avais 12 ans, mais tout le monde était très gentil.»

Dans les années 1990, Ian Lagarde avait aussi été de la distribution du Club des 100 watts, entre autres. Or, sa carrière d’acteur s’est brusquement interrompue au début de l’adolescence, peu après Au nom du père et du fils, en raison de… sa grandeur!

«À 13 ans, je mesurais déjà 6 pieds», se rappelle-t-il. «J’arrivais en audition, et les gens me disaient que j’étais beaucoup trop grand, que ça ne marchait pas… (rires)»

Heureusement, le garçon n’était pas à bout de ressources. Il s’est orienté vers des études en cinéma au Cégep de Saint-Laurent et à l’Université Concordia.

«Très jeune, j’ai compris que j’aimais la caméra et que j’avais envie de faire ça. Puisque j’ai grandi vite, j’ai dû réfléchir rapidement aux alternatives. Je faisais aussi de la musique, de la photo et de l’écriture. Je me disais que je pouvais combiner ces trois passions-là. Je ne me voyais pas faire autre chose.»

Ian Lagarde a longtemps été directeur photo, et fait maintenant carrière comme réalisateur /Crédit: Éva Maude TC / Courtoisie Agence MVA

Pendant plusieurs années, il a œuvré dans la direction photo et collaboré à plusieurs films et séries, avant de devenir réalisateur. Outre Sorcières, Ian Lagarde proposait en 2017 son premier long métrage très acclamé, All You Can Eat Bouddha. Il planche actuellement sur d’autres scénarios et attend, entre autres, le financement qui lui permettra de filmer l’adaptation au grand écran du roman Ce qu’on respire sur Tatouine, de Jean-Christophe Réhel.

«L’énergie d’un plateau est le fun. Il y a quelque chose de très enivrant, à voir sa vision portée à l’écran, ou à adapter celle des autres. Dans une série comme Sorcières, tout le monde donne son 1000 %; ça se fait à la sueur du front de toute l’équipe, producteurs, acteurs, techniciens, gens de postproduction», souligne celui qui remportait en septembre dernier un trophée Gémeaux pour son boulot sur Sorcières.

Ian Lagarde se fait-il encore souvent parler d’Au nom du père et du fils? C’était davantage le cas il y a une dizaine d’années, dit-il, lorsque la série a été rediffusée sur la chaîne Prise 2.

«Ça arrive de temps en temps, mais de moins en moins. J’ai 43 ans, maintenant! Ça date de presque 32 ans (rires) Ça s’étiole de plus en plus…»

Et l’homme aimerait-il renouer avec le métier de comédien, retraverser du derrière au-devant de la caméra? La question le fait hésiter.

«Je ne sais pas! Par respect pour les acteurs et actrices qui se commettent, je me sentirais mal de dire que je laisse une porte ouverte. Mais, en même temps… C’est le fun, jouer! (rires) Ce qui est difficile, c’est le temps entre les projets et les auditions, les douleurs d’ego, le fait d’être à la merci des projets des autres. Je suis présentement à ma place, sur mon X. Mais si on m’en parlait, sûrement que j’accepterais…»

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C’est parti pour le 19e Salon des artisans de Québec!

En manque d’inspiration pour vos emplettes de Noël? La 19e édition du Salon des artisans de Québec, qui se tiendra du 29 novembre au 8 décembre au Centre de foires de Québec, viendra peut-être à votre secours!

L’événement, jolie vitrine annuelle pour les métiers d’art dans la Vieille Capitale, attire plus ou moins 50 000 visiteurs par année et met en lumière le travail d’artisans locaux. Jouets, savons, sacs à main, portefeuilles, ceintures, lampes, vêtements, bijoux singuliers, produits alimentaires gourmands et boissons alcoolisées : chacun y trouvera son compte, à travers les kiosques de 250 exposants, dont 60 nouveaux.

De surcroît, les zones Agroalimentaire (avec ses produits du terroir) et Premières Nations sont de retour pour 2024, et de nouvelles zones Médiévale (30 exposants) et BBQ (plus d’une dizaine d’exposants, incluant la cheffe Sandra Plourde, gagnante de la première saison de MasterChef Québec, qui sera présente le dimanche 8 décembre) seront inaugurées.

Le 7 décembre, la Journée Premières Nations, sise dans la zone Premières Nations, permettra aux 200 premiers visiteurs de repartir avec un cadeau.

Lors de la Journée Desjardins du samedi 30 novembre, plus de 10 000 $ en récompenses seront attribués dans la zone Desjardins. Il sera en outre possible de remporter 500 $ en achats sur place, au Salon des artisans, grâce au concours Gagnez vos cadeaux.

Pour plus de détails sur le 19e Salon des artisans de Québec, consultez le groupeproexpo.com.

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Célébrez le Nouvel An dans un casino près de chez vous

Vous n’avez aucune activité prévue le soir du 31 décembre?

Sachez que Loto-Québec propose des attractions spéciales dans ses casinos et salons de jeux pour souligner le passage à la nouvelle année, avec animation, musique et décors de circonstances.

Au Casino de Montréal aura lieu un «marathon festif» jusqu’à 5 h du matin, couronné d’un décompte enflammé, avec ou sans option de buffet gourmand (au choix du visiteur).

Au Casino du Lac-Leamy, à Gatineau, l’ambiance sera EDM et house jusqu’aux petites heures, sur les rythmes d’un DJ, dans un environnement LED immersif.

On promet des surprises de toutes sortes avec décorations, musique de DJ et entrée gratuite à Mont-Tremblant, Trois-Rivières et Québec.

Enfin, au Casino de Charlevoix, on mise sur la vue enchanteresse sur la région pour donner envie aux gens de lever leur verre dans une atmosphère des plus élégantes.

Les membres Casino Privilège peuvent dès maintenant réserver, en prévente, leurs places pour les soirées du 31 décembre à Montréal et Gatineau.

Les ventes pour ces mêmes villes commenceront le 29 novembre, et les détails de ces différentes offres des Fêtes seront publiés, juste ici, le 11 décembre.

Dans quel casino pourrons-nous vous voir?

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Christian Marc Gendron en mode Noël

Christian Marc Gendron «décore» un peu de guirlandes et de lumières son spectacle Piano Man 3!

À l’occasion du temps des Fêtes, le chanteur et virtuose du piano adapte le contenu de son actuelle prestation, Piano Man 3 – Quand l’homme, la voix et l’instrument ne font qu’un!, pour la portion de sa tournée s’étalant du 5 au 29 décembre, dans 14 villes à travers la province.

Accompagné de son amoureuse, la chanteuse Manon Séguin, et de ses huit musiciens, sous la direction de Simon Godin, le participant de La Voix en 2019 promet au public «l’équivalent d’un beau et grand party de Noël en famille», dit-il.

L’artiste mélangera ainsi sur scène des succès de Michael Bublé, Elton John et Billy Joel, classiques des Fêtes et autres titres folk traditionnels. La petite Kara, la mignonne fillette de Christian Marc et Manon, sera également sûrement de la partie le temps de quelques pas de danse…!

Rappelons que Christian Marc a vendu pas moins de 125 000 billets de sa trilogie de spectacles Piano Man, dont le troisième volet était lancé en début d’année, après Piano Man Expérience (2018) et Piano Man 2 (2021). Christian Marc Gendron a offert une quarantaine de concerts à guichets fermés en 2024.

La tournée Piano Man 3 se poursuivra en 2025. Entre autres, après s’y être installé en résidence en août dernier, le chanteur retournera au Théâtre Capitole de Québec pour deux supplémentaires de Piano Man 3 – Édition spéciale, dans une mouture spécialement pensée pour la Vieille Capitale, les 9 et 10 janvier.

Pour plus d’informations, c’est juste ici.

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Un nouveau restaurant des Enfants Terribles à Québec

La bannière des Enfants Terribles ajoute un restaurant à ses adresses déjà existantes d’Outremont, Brossard, Laval, Montréal (Place Ville Marie), Île des Sœurs et Magog.

Cette première succursale de l’Est-du-Québec, dans la Capitale-Nationale, sera établie sur la Grande-Allée et ouvrira ses portes dès le 2 décembre prochain.

L’établissement sera en activité sept jours sur sept, de l’heure du dîner jusqu’à tard dans la nuit, et comptera 75 places assises. Pour la saison estivale, une terrasse de 150 places permettra de se sustenter des mets typiques de brasserie chic des Enfants Terribles en profitant du soleil.

En collaboration avec la firme de design Agence Spatiale, le nouveau local des Enfants Terribles sera entièrement rénové pour l’occasion.

Les Enfants Terribles de Québec est la deuxième franchise du groupe. Il s’agit du plus récent projet en restauration de l’entrepreneur Charles-Antoine Giroux, également à la tête des Pizzeria 900, Morso, Bloom et Tumy, à Québec.

Le franchiseur et le franchisé souhaitent éventuellement explorer la possibilité d’ouvrir plusieurs restaurants dans la grande région de Québec.

Les Enfants Terribles, une entreprise familiale née du rêve de Madame Francine Brûlé, est en opération depuis 2008.

Êtes-vous heureux d’apprendre cette nouvelle?

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Mon Beau Sapin: Un nouvel événement pour fêter Noël sur l’Avenue du Mont-Royal

Un nouvel événement destiné à répandre la magie des Fêtes s’installe cette année sur l’Avenue du Mont-Royal.

Cette première édition de Mon Beau Sapin, qui aura lieu le 7 décembre, de 15 h à 18h, à la Place des Fleurs-de-Macadam (à l’angle de la rue Boyer), rassemblera sapin sculptural en bois, personnages fantastiques, chorales et DJs sur l’artère du Plateau Mont-Royal.

Il sera également possible d’y déposer des denrées alimentaires et des dons en argent pour les familles dans le besoin.

Le contenu récolté sera redistribué à la CDC du Plateau Mont-Royal, et servira à la confection des paniers de Noël.

Le sapin de bois à base étoilée conçu par la designer Juliette Sarrazin se hissera sur une hauteur de 12 pieds, sera éclairé de l’intérieur et décoré de plus de 250 ornements amovibles créés par l’illustratrice Andrea Cheung.

Les gens pourront mettre la main sur l’une de ces parures en échange d’un don de denrées alimentaires ou d’argent. Lorsque l’arbre aura été dépouillé de tous ses ornements grâce à la générosité des passants, il sera complètement illuminé, et brillera ainsi de tous ses feux jusqu’au 15 décembre.

La chorale Les Voix Ferrées et le tandem de DJ Tupi Collective agrémenteront la fête Mon Beau Sapin avec leurs chants et leur musique de Noël aux accents brésiliens.

Également, les 14 et 15 décembre, les chorales La Clique Vocale et le Chœur Gai de Montréal se produiront tour à tour en après-midi sur l’Avenue du Mont-Royal, à la Place des Fleurs-de-Macadam, à la Place Gérald-Godin et à l’angle de la rue Messier.

Enfin, les trois premiers week-ends de décembre, le Festival Noël dans le parc se déploiera au Parc des compagnons (angle Cartier), avec père Noël, musique d’ambiance et vente de sapins.

Pour plus d’informations, c’est juste ici.