La comédienne a pris la parole sur Instagram, rappelant que ce n’est pas parce qu’une information circule sur le web qu’elle est forcément vraie.
«Mon père, ce n’est pas Réal Bossé. Je suis toujours super mal quand les gens m’obstinent sur qui est mon père parce qu’ils l’ont « lu sur internet ». C’est faux. Même si c’est « écrit sur internet »», tranche-t-elle, bien décidée à mettre fin aux spéculations.
Une clarification qui devrait faire taire les confusions… du moins, pour un moment!
Faisiez-vous partie de ceux qui pensaient qu’ils formaient un duo père-fille?
Présentés comme un couple chouchou par l’animatrice, Denis a souligné que lui et Guylaine incarnent des couples à l’écran depuis 35 ans, énumérant les nombreux projets dans lesquels ils ont interprété des amoureux.
«Tu es ma relation la plus stable, finalement (…) la plus réussie, la plus stable (…)», lance Guylaine à la blague, ce qui pousse Isabelle à leur demander s’ils ont connu tous les conjoints et conjointes de l’un et de l’autre au fil des ans.
«Nos chums et blondes ont toujours été hyper compréhensifs de notre amitié, qui est particulière, faut le dire (…)», affirme la comédienne, après qu’elle et Denis eurent révélé avoir déjà donné leur avis sur les partenaires de l’autre, une fois les relations terminées.
Capture Youtube @QUB
Interpellés par Isabelle à ce sujet, les deux comédiens ont admis qu’à l’époque, ils n’auraient pas cru possible une véritable amitié entre un homme et une femme.
Plus tard, Isabelle a lancé à Denis la question qui pique la curiosité, soit s’il y a déjà eu du «bang bang bang» avec Guylaine?
«Jamais (…) avec Denis, il n’a jamais été question de séduction. Je te dirais que ç’a été tout de suite comme plus de l’ordre de la famille, comme une espèce de reconnaissance (…)», soutient Guylaine, alors que Denis compare leur relation à celle de cousins et cousines.
Toutefois, le duo partage plusieurs traits dignes d’un véritable couple: ils ont le même sens de l’humour, s’indignent des mêmes choses, rient aux mêmes blagues… et en prime, ils ont la même date de fête!
«On était dus, nous autres, pour se rencontrer (…)», lance Guylaine, en expliquant qu’ils se disent que, dans leur cas, le rapport amoureux ou intime est remplacé par la création.
Au fond, Guylaine et Denis sont peut-être les meilleurs exemples d’âmes sœurs… sans les bisous!
Et vous, croyez-vous à l’amitié entre un homme et une femme?
Dès le début de l’épisode, on a demandé au couple de se présenter mutuellement, et au fil de la conversation, Solène a été invitée à dévoiler ce qu’elle considère comme le principal défaut de Félix.
«Des fois… il peut être un peu tête dure, je pense, des opinions. Comme, tu as une opinion et des fois c’est plus dur à changer ou à trouver une autre… alternative, des fois (…)», explique Solène, ce à quoi l’animatrice réagit en lui demandant si elle fait référence à une forme de rigidité dans la manière dont Félix perçoit les choses.
«Pas tout le temps, pas tout le temps… mais des fois», ajoute Solène.
«(…) Sûrement que j’ai une certaine rigidité, comme mes principes sont tellement forts que peut-être que ça vient avec une certaine rigidité (…) Et si je n’étais pas rigide, des fois je me demande si tu m’aurais choisi aussi, en tant que personne (…)», admet Félix, en approfondissant sa réflexion.
«Ouin, bien… je ne sais pas», répond Solène.
Félix a alors donné l’exemple que, s’il changeait constamment d’avis et d’idées, peut-être qu’elle l’aurait trouvé moins attirant.
«Des fois, tu es peut-être… borné», réitère Solène, tandis que Félix acquiesce.
Après tout, l’amour, c’est aussi apprendre à aimer les défauts de l’autre!
Les téléspectateurs auront d’ailleurs la chance de vivre cette aventure avec eux, puisque le couple lancera sa propre émission de rénovations: Les Morin-Perras sous le même toit!
Cette immersion dans le projet et la vie du couple prendra la forme de 10 épisodes de 30 minutes, qui seront diffusés à l’hiver 2026 sur Crave et Canal Vie.
«Pour nous, la famille, c’est la chose la plus précieuse que l’on possède. Nous voulons que nos enfants puissent grandir près de leurs grands-parents, mais surtout, nous souhaitons être présents pour eux à notre tour. On se lance donc dans l’agrandissement de notre maison afin d’accueillir Claudette et Léonce qui ont, à notre plus grand bonheur, accepté d’embarquer dans ce beau projet avec nous», affirment Maripier et Jean-Philippe par voie de communiqué.
Au-delà des rénovations, la série offrira un regard intime sur la dynamique familiale du couple. Elle abordera leurs réflexions sur la cohabitation intergénérationnelle, la gestion de l’intimité, les considérations financières et l’équilibre avec des carrières professionnelles bien remplies.
Préparez-vous à rire, à vous attendrir… et peut-être même à vouloir appeler votre entrepreneur!
Selon vous, vivre avec vos beaux-parents: rêve ou cauchemar organisé?
En effet, selon ce que rapporte La Presse, la téléréalité mettant en vedette de jeunes talents perfectionnant leur art à l’Académie n’aurait pas généré suffisamment de revenus publicitaires lors de sa plus récente saison.
TVA aurait alors opté pour une production plus économique, La Voix, dont la diffusion limitée au dimanche permet de réduire considérablement les coûts.
Interrogé par La Presse, Jean-Philippe Dion, producteur et animateur de Star Académie, a tenu à clarifier que l’annulation ne repose pas sur un manque d’audience, l’émission ayant attiré jusqu’à 1,6 million de téléspectateurs le dimanche soir, mais plutôt sur une baisse du budget en marketing.
Rappelons qu’il a récemment été confirmé que La Voix sera de retour à l’hiver 2026 pour une 11e saison, toujours animée par Charles Lafortune, bien que l’identité des coachs demeure, pour l’instant, un mystère.
En effet, cette téléréalité captivante, centrée sur des célibataires de 40 à 60 ans, fait partie des émissions que TVA a décidé de balayer de sa grille.
Selon ce que rapporte La Presse, des contraintes budgétaires seraient à l’origine de cette décision, qui touche aussi la série Sorcières, elle aussi écartée de la grille horaire.
C’est donc la fin de ces touchantes rencontres entre parents célibataires, qui avaient su nous séduire par leur sincérité et leur vulnérabilité.
À la suite de son annonce, le chanteur a été inondé d’amour par ses fans, une vague de soutien qui n’est pas passée inaperçue auprès de sa famille. Son épouse, Alexis Roderick Joel, a d’ailleurs tenu à remercier chaleureusement le public pour ses mots réconfortants.
«Merci pour cet élan d’amour et de soutien. Nous sommes tellement reconnaissants pour les excellents soins et le diagnostic rapide que nous avons reçus. Bill est aimé de tant de personnes, et pour nous, il est un père et un mari qui est au centre de notre monde. Nous gardons espoir quant à sa guérison. Nous avons hâte de vous revoir bientôt», lance-t-elle sur la page Instagram du chanteur de 76 ans.
En effet, Pascal Morissette a partagé des images de l’entrevue de sa conjointe, où l’on voit Julie avec leur fille sur les genoux, une scène attendrissante, marquée par un moment cocasse: la fillette se lèche intensément les mains en direct.
«Julie faisait une entrevue ce matin à Salut Bonjour et… il faut comprendre que ma petite venait de manger une clémentine (rires), parce que c’est un moment de télé anthologique», lance-t-il en réaction à ces images aussi mignonnes que rigolotes.
Adorable!
Cette clémentine, apparemment bien savoureuse, a offert un moment télé tout aussi… savoureux!
Dès les premières minutes du balado, Josée s’est livrée avec sincérité sur plusieurs sujets, dont sa plus grande peur, qu’elle a abordée avec beaucoup d’émotion.
«Être oubliée… partir sans laisser de trace, c’est drôle, hein? Je sais que je ne suis pas la seule (…) mais pour moi, c’est vraiment très fort, ça, et je ne peux pas expliquer pourquoi (…)», confie-t-elle, en précisant combien il est essentiel pour elle de garder et de créer des souvenirs, des photos, des récits, afin de laisser une trace de son passage.
«(…) La plus grande peur, c’est vraiment… c’est vraiment de mourir dans l’oubli. Mourir, ça fait peur (…)», affirme la coach de mise en forme, en expliquant que chaque fois qu’elle voit passer l’annonce du décès d’une personnalité, Josée salue la photo de la personne et constate, avec regret, que malheureusement, une semaine plus tard, plus personne n’en parle.
Capture Youtube @Marie-Claude Barrette
Pour Josée, il est douloureux de prendre conscience que, malgré la perte d’un être cher, la vie continue comme si de rien n’était.
«J’aimerais ça qu’on se souvienne de moi (…)», lance-t-elle, évoquant le réconfort qu’elle ressent lorsque des personnes l’approchent pour témoigner de l’impact qu’elle a eu sur elles.
Un témoignage qui lève le voile sur une peur que beaucoup redoutent peut-être en silence.
«(…) Il y avait un questionnement pour Meubles RD… ils se sont posés la question, tu vois: Est-ce que c’est correct? Parce qu’on vit quand même dans une époque assez sensible. Et puis moi, j’étais super on», affirme Jérémy.
«(…) Je trouve que oui, Guillaume avait fait une erreur, mais je veux dire, on en fait tous des erreurs dans la vie. Et puis, il n’a tué personne. Donc oui, il a fait une erreur. Oui, c’était niaiseux, qu’on croit qu’il ait fait exprès ou non, peu importe la version, mais reste que le gars avait le droit, pour moi, il avait le droit à une deuxième chance», soutient-il, en ajoutant que si une situation semblable lui était arrivée, il aurait lui aussi aimé qu’on lui accorde une deuxième chance.
«(…) Guillaume, c’est un être humain, pour l’avoir rencontré, qui est vraiment gentil, vraiment adorable, poli, sympa (…) Je l’ai trouvé super, super adorable, super correct (…)», témoigne l’humoriste.
«(…) C’est juste que tu vas le niaiser au Bye Bye, tu vas le niaiser. Donc, est-ce que c’est correct de le niaiser, mais par contre de ne pas lui donner une chance de pouvoir rire de lui? Parce qu’il riait de lui dans la pub (…) Je pense que les deux auraient été correct (…) Je pense que Radio-Can aurait dû accepter de la passer (…)», explique Demay.