En effet, Charles-Antoine Sinotte et sa conjointe, Sophie Boyer, sont partis à l’aventure au Portugal et semblent profiter pleinement de ce voyage en amoureux.
Un séjour qui semble riche en aventures et en paysages à couper le souffle!
De plus, l’équipe de Salut Bonjour a révélé que le chroniqueur sera de retour dès le 10 juin, et il semble qu’ils aient bien hâte d’en apprendre davantage sur cette belle aventure.
Qui sait, Charles-Antoine aura peut-être quelques anecdotes savoureuses à partager à son retour!
«Comment peux-tu déjà avoir 3 ans!?! C’est beau de te voir t’épanouir. Tu es une petite fille curieuse, sensible, généreuse et empathique. Tu es une grande soeur exceptionnelle, déjà. Tu aimes danser et chanter! Cette année, tu voulais une fête de Stella, Rose», déclare-t-elle, manifestement émue de constater à quel point le temps passe vite.
Pris dans un photobooth, les clichés dévoilent un duo visiblement très proche, entre câlins serrés et bisous affectueux sur les joues.
Nous avons tenté de joindre Alex pour en apprendre davantage sur la nature de cette relation. Cependant, il n’avait toujours pas donné suite à notre demande au moment de publier cet article.
Nous lui souhaitons beaucoup de bonheur et resterons à l’affût des détails entourant cette relation!
C’est sur sa page Facebook que l’animatrice et productrice a partagé un doux message, accompagné d’une vidéo souvenir où Céline Dion interprète une chanson spéciale dédiée à Julie.
«Thomas vient de fêter ses 20 ans. Après des années de traitement en fertilité, sa naissance a changé ma vie. Et, en 2007, pour mes 40 ans, j’ai reçu une vidéo surprise de Céline Dion! Thomas avait alors 2 ans; Romy était très espérée mais pas encore arrivée… (Céline deviendra ensuite la marraine de Romy) Pour souligner les 20 ans de Thomas et apprécier le temps qui passe si vite, nous avons regardé en famille cette vidéo-souvenir. C’est un cadeau que je partage avec vous. Bonne fête grand jeune homme d’amour. Chaque jour depuis 20 ans, rien ne me rend plus heureuse que d’entendre le mot maman», confie-t-elle, visiblement comblée par le bonheur que lui apportent ses deux enfants.
Peu de personnes peuvent se vanter d’avoir reçu un aussi beau cadeau de la part de Céline.
Alors qu’il se confiait sur la peur constante que quelque chose n’arrive à son frère, sur son enfance atypique et le fait que son expérience de vie lui ait fait développer une grande sensibilité et de l’empathie, Hubert s’est exprimé avec sincérité sur les remords qu’il ressent face à certaines de ses réactions envers son frère, qu’il juge ne pas avoir toujours été les meilleures.
«(…) Il y a des trucs que je regrette beaucoup, beaucoup, beaucoup dans… ma façon d’intervenir avec mon frère, parce qu’il y a des fois, dans le… quand tu vois autant le désespoir chez quelqu’un (…) tu veux… le brasser (…) et moi, mon désespoir, des fois, se transformait en colère, et il y a des choses que je sais que je ne l’ai pas aidé (…) il y a des trucs que je lui ai dit, des fois, que… c’est comme si je l’ai condamné à rester là-dedans (…)», confie-t-il, en donnant l’exemple que deux jours après lui avoir acheté un téléphone, celui-ci pouvait déjà se retrouver dans un pawn shop.
«À un moment donné, je fais: *sti de cr*sse de trou de c*l, men, *sti, t’as-tu vu ce que tu fais à papa et maman (…) je me fâchais, et après ça, tu sais, une heure après, je lui donnais de l’argent et j’essayais de l’aider, mais il y a des affaires que j’ai dites que je le sais que ça n’a pas aidé. En même temps, mon frère, il était pogné là-dedans aussi (…)», poursuit-il.
Capture YouTube @Dépendance : Au coeur des proches
L’animatrice lui a alors affirmé qu’il ne devait pas se taper sur la tête, car il est douloureux de voir les gens qu’on aime vivre de telles situations.
Un témoignage bouleversant où Hubert se livre avec courage, sincérité et une touchante vulnérabilité.
D’ailleurs, l’animateur s’est fait un malin plaisir de faire entendre un extrait datant de 1992, alors que Ricardo co-animait l’émission Comme on est aux côtés de Marguerite Blais.
Ricardo n’a pu s’empêcher de réagir au moment de l’annonce de l’extrait, laissant échapper un «Ah non!», incitant l’animateur à lui demander si ce moment était lié à un mauvais souvenir.
«Non, ce n’est pas un bon moment si je me replonge à cette époque-là. Aujourd’hui, oui, je te dirai pourquoi», lance Ricardo, avant qu’un extrait ne soit diffusé, dans lequel Marguerite lui demande si cela le dérange lorsqu’une femme se montre un peu agressive. Il répond que oui, estimant que l’agressivité est inadmissible, peu importe le sexe, mais que les femmes devraient toujours faire preuve de plus de douceur.
«(…) C’est une émission que j’ai obtenue alors que je n’avais pas les compétences pour faire ça. C’est parce que je ne coûtais rien (…)», lance-t-il une fois l’extrait terminé, en expliquant être arrivé à une époque où Marguerite terminait sa carrière, et qu’elle vivait peut-être des sentiments de tristesse liés à cette transition.
«(…) Ç’a été pénible pour les deux, parce qu’elle avait envie de professionnalisme. Je n’en avais pas encore. J’avais de l’énergie, elle voulait autre chose, donc c’était un match qui n’était comme pas possible pour ces deux personnes-là», continue Ricardo.
Toutefois, avec du recul, il trouve ça bien d’avoir fait quelque chose qui, au départ, a été difficile.
«Ça m’a suivi longtemps. J’ai fait un burn-out à la fin de ça, une remise en question (…)», témoigne-t-il.
Vingt ans après la mort de sa mère, Léane lui a rendu hommage dans deux stories empreintes d’émotion sur Instagram, confiant retrouver un peu d’elle à travers son fils.
«1er juin. 20 ans. Je t’aime. Toujours», souligne-t-elle tendrement, en accompagnement d’une photo souvenir.
«Je te retrouve. Ici. Un peu», confie-t-elle, accompagnant ses mots d’une photo de dos de son fils, Milo.
Rappelons que Fabienne Dor, avec qui Marc Labrèche a eu Léane, est décédée en 2005 des suites d’un cancer.
En effet, c’est sur Instagram que l’ex-candidat d’OD Bali a partagé une vidéo dans laquelle il révèle trois choses qu’il a apprises depuis qu’il est papa.
«J’en apprends à chaque jour et entre deux changements d’couches j’vais essayer de vous le partager. Papadamo. Je vis littéralement ma best life», déclare-t-il, visiblement comblé de bonheur.
«(…) Il y a eu ça qui m’a rendue vraiment insécure parce que (…) c’était le début, donc tu sais, moi j’ai passé le début de ma relation à lui flatter les cheveux et le consoler de son ex (…) il faisait encore de la musique avec elle, donc mettons, moi je pouvais passer mes nuits, genre mes soirées et mes nuits toute seule, et il était avec son ex en train de faire de la musique (…)», révèle la créatrice de contenu, ce qui amène Judith à lui demander comment elle avait vécu cette période.
Ce fut une période éprouvante pour Lysandre, qu’elle a traversée en s’accrochant à l’écriture, en masquant sa douleur et en jouant le rôle de celle qui prend le dessus.
«Éventuellement, ils sont retournés ensemble, donc tu sais, je n’étais pas en train de me torturer pour rien, dans le sens que je le savais qu’il l’aimait encore. Tu sais, je suis comme: Tu me niaises-tu, là? Moi, je suis la belle cruche à la maison qui t’attend (…)», poursuit Lysandre, en affirmant qu’elle a toujours un bon instinct.
Capture YouTube @Studio SF
D’ailleurs, elle confie que la jalousie est, pour elle, le sentiment le plus inconfortable qui soit.
Rappelons que Lysandre et Claude sont désormais fiancés, ont un enfant, et que la maman en attend un deuxième!
C’est en compagnie de son invitée, Sara Blakely, une femme d’affaires américaine, que la duchesse a expliqué qu’un sentiment de culpabilité est souvent rattaché à l’argent, et qu’elle aimerait adopter un état d’esprit plus positif à ce sujet.
«(…) Pour beaucoup de gens, il est difficile de croire en l’espoir ou en la promesse de quelque chose de mieux pour eux-mêmes, comme la liberté financière. Je pense que beaucoup de femmes, en particulier, ont appris à ne même pas parler d’argent. Il y a beaucoup de culpabilité autour du fait d’en avoir beaucoup, et en même temps, il y a une mentalité de rareté à laquelle il est facile de s’attacher, du genre: Je n’en aurai jamais assez», ajoute-t-elle, réagissant aux propos de son invitée, qui estime que beaucoup de gens ont une relation biaisée avec l’argent, le succès et la liberté financière.
L’anxiété financière n’aurait donc pas de classe sociale… la classe moyenne a peur de ne pas pouvoir payer l’épicerie et les riches de devoir renoncer à un yacht.