On sait maintenant ce que les comédiens tramaient en secret et petite déception pour les fans… il ne s’agit malheureusement pas d’un retour officiel de la série.
C’est dans une récente vidéo publiée par Crave que Claudia Bouvette et Lou-Pascal Tremblay ont annoncé des retrouvailles de la distribution, à l’occasion du 10e anniversaire de l’émission.
Jérémie: Rendez-vous à la plage, des retrouvailles prévues pour cet automne qui s’annoncent remplies de nostalgie, de rires, de chimie… et de pur bonheur!
Rappelons que, selon les informations dévoilées par la distribution, Pierre-Luc Lafontaine, Catherine St-Laurent, Karelle Tremblay, Stéphanie Arav-Clocchiatti, Antoine L’Écuyer et Mikhail Ahooja seront de la partie.
Mais au-delà des festivités, l’artiste a profité de sa publication pour dénoncer une situation dérangeante: plusieurs personnes tentent de se faire passer pour elle sur TikTok, utilisant son nom et ses photos sans autorisation.
«Ce fut une belle fête nationale à St-Jérôme. Je vous partage quelques photos du photographe Antoine Meunier. On se connaît personnellement, depuis l’exposition au Pub Randolph. J’ai aussi plusieurs petites vidéos filmées par mes collègues du Vieux palais de L’Assomption. Par contre, ce ne sera que des photos pour ce post. Pourquoi? Parce que notre grande est fâchée après moi, elle qui est au Japon présentement, car il y a énormément de faux comptes «TikTok» en mon nom 🤬. Je ne suis même pas sur ce réseau! Elle n’aime pas avoir à dire à ses amis que ce n’est pas sa maman qui a publié des trucs sur cette application», lance-t-elle, affirmant que la situation affecte sa fille, Simone.
Au revoir grand homme ..Merci pour tout ce que tu nous a légué..En ce 24 juin 2025, je suis immensément triste ..Mais tout le Québec te chantera ce soir !💙💙💙
Il y a de ces rencontres qui restent. Des rendez-vous imprévus qui font du bien. On ne les attendait pas, mais elles arrivent comme des cadeaux, sans papier, sans ruban, juste l’essentiel.🙏🏻💙
La relation ne semble pas encore avoir pris une tournure amoureuse, mais la jeune femme laisse entendre que cela pourrait évoluer dans ce sens.
«(…) Tout va full bien, genre vraiment full bien. Je ne voulais pas de chum et tout. Ce n’est pas mon chum, by the way (…) Pis là, ce n’est pas que live je veux un chum, c’est juste qu’il est tellement nice que je commence à peut-être considérer que peut-être, à un moment donné dans le futur (…) Au début, c’était genre: Ah, on a du fun et on le sait qu’il n’y aura rien (…) Et live, on est comme: Ah, peut-être qu’on pourrait regarder si peut-être ça serait possible de peut-être avoir de quoi dans le futur. Ce n’est pas: On va être en couple, mais c’est comme on regarde si est-ce que ça pourrait peut-être marcher (…)», explique-t-elle.
Pour l’instant, la femme d’affaires et créatrice de contenu n’a pas dévoilé l’identité du garçon en question, mais un certain Mason Sarkissian revient fréquemment dans ses commentaires Instagram.
La suite reste à voir, mais on espère qu’Elisabeth trouvera tout ce qu’elle cherche!
L’humoriste se confie avec sincérité sur les idées noires qui l’ont traversé durant une période de burn-out.
«(…) Ça ressemble à des idées noires (…) pas jusqu’à passer à l’acte de… de suicide, mais à un moment donné, là, tu ne vois que du noir, tu n’es pas heureux, tu es triste (…) tu t’isoles (…) c’est la première fois que j’en parle (…)», avoue-t-il.
Il affirme comprendre qu’au cœur de ces moments sombres, même si ton entourage t’encourage à chercher de l’aide, il se peut que tu ne sois pas en mesure de l’entendre.
«(…) Souvent, c’est que les gens vont s’isoler et ils vont penser, justement, qu’il n’y a pas d’aide, qu’il n’y a pas de recours. Et il y en a, de l’aide, il y a eu du recours. Moi, je suis allé consulter après, justement pour voir qu’est-ce qui me créait cette peine-là… ce mal à l’âme-là (…)», témoigne-t-il.
YouTube @Prends Un Break
Jean-Michel ajoute qu’il s’agit d’un sujet de moins en moins tabou, alors qu’il l’était encore très fortement autrefois.
«Quand tu as mal aux dents, tu vas chez le dentiste. Bien, quand tu as mal en dedans (…) tu ne comprends pas ce qui se passe dans ta tête, bien tu vas consulter, tu vas en parler avec quelqu’un qui va t’aider», lance-t-il.
Il soutient qu’il s’agit d’un beau geste qu’il a fait pour lui-même, et il révèle d’ailleurs qu’une certaine personnalité publique l’a grandement aidé lors d’une autre période difficile.
«(…) Gino, pour ne pas le nommer… Gino Chouinard, qui a été présent pour moi, et il ne sait pas à quel point ça m’a aidé (…)», raconte-t-il, en expliquant que Gino l’avait invité à souper, peut-être sans même savoir que ça n’allait pas, un petit geste qui, pourtant, lui a permis de garder la tête hors de l’eau.
Un doux témoignage de la part de Jean-Michel, qui s’ouvre avec vulnérabilité sur une période plus difficile de sa vie.
L’animateur et comédien a notamment abordé un aspect plus délicat du métier: celui de devoir constamment faire semblant que tout va bien, que tout est beau et parfait, même lorsque ce n’est pas le cas.
«(…) On est dans un monde qui est… pas vrai, qui est très, très superficiel. C’est de la poudre aux yeux. Tu sais, ça fait 36 ans que je fais ce métier-là, je le sais (…)», lance-t-il, ajoutant que ce sont souvent les échanges hors caméra, à micro fermé, qui révèlent le plus de vérités.
«(…) On est toujours en train de montrer que tout va bien, qu’on est dont bons (…)», continue-t-il, en soulignant l’importance des téléréalités, qui apportent un vent de fraîcheur grâce à des participants souvent très authentiques.
Capture YouTube @Cogeco Média
L’animatrice lui a alors demandé s’il se souvenait d’un moment dans sa carrière où il avait dû dissimuler ce qu’il vivait réellement.
«(…) On est en divertissement, mais en même temps, on est des humains et on vit des choses nous aussi. On a un divorce, on a un deuil (…) On continue, mais on n’a comme pas trop le droit (…)», soutient Guy.
À travers ses confidences, Guy Jodoin nous rappelle qu’au-delà des projecteurs, les artistes sont des êtres humains, confrontés eux aussi aux épreuves de la vie.
La voilà qui donne enfin des nouvelles rassurantes sur l’état de santé de son père, après que plusieurs le lui ont demandé.
«Allô tout le monde! Vous êtes très nombreux à prendre des nouvelles de mon papa, et ça le/nous touche énormément. Les derniers jours ont été particulièrement chargés… mais sa situation est beaucoup plus stable en ce moment. Merci du fond du cœur pour vos bons mots, vos encouragements, vos prières pleines d’espoir et votre bienveillance. Ça nous porte, vraiment. Un immense merci aussi à toutes les personnes du système de santé qui prennent soin de lui avec autant de cœur. On est vraiment chanceux de vous avoir. Family first. Full love», lance-t-elle, le cœur sans doute un peu plus léger.
L’ex-candidate de téléréalité a pris la parole sur Instagram pour aborder son parcours avec l’esthétique artificielle, comme le botox et les injections. Elle explique notamment les raisons qui la poussent à tourner le dos à ces pratiques.
Un message inspirant sur l’importance de s’accepter et de ne pas se définir à travers le regard des autres.
«J’ai longtemps essayé d’être plus. Plus belle, plus lisse, plus «conforme». J’ai cru qu’en me transformant, je finirais par m’aimer davantage. Que le regard des autres me donnerait la légitimité que je ne m’accordais pas. Certaines relations m’ont marqué. Je me suis construite en réaction, plutôt qu’en connaissance de moi-même… J’ai longtemps pensé que le bonheur passait par l’extérieur. Que l’optimisation rapide valait mieux qu’un vrai travail de cheminement et de guérison intérieure. J’ai encore beaucoup à apprendre, mais mon état d’esprit aujourd’hui me dit une chose: je suis vraiment sur la bonne voie. Je reste féminine, coquette, et j’aimerai toujours les belles choses. Mais désormais, je choisis le vrai. Ce qui est à moi. Ce qui me ressemble. Depuis plus d’un an, j’ai doucement laissé tomber ce qui ne m’appartenait pas vraiment. Plus de botox. Plus d’injections. J’ai tout fait retirer. Plus de faux cils, faux ongles, faux cheveux, faux seins… bye-bye. Je ne suis pas contre ces choix en soi. Mais pour moi, ils cachaient un besoin plus profond: celui d’être aimée, vue, reconnue. Parce que je croyais ne pas être assez. Aujourd’hui, je me choisis telle que je suis, et c’est suffisant. Parce que parfois, vouloir mieux, c’est juste trop. Et on finit par s’y perdre. En espérant que cette confession personnelle et vulnérable puisse toucher celle qui avait besoin de l’entendre: TU ES ASSEZ TELLE QUE TU ES», confie-t-elle, dans l’espoir de toucher et d’aider ceux qui se reconnaîtront à travers son partage.