À la suite de son annonce, le chanteur a été inondé d’amour par ses fans, une vague de soutien qui n’est pas passée inaperçue auprès de sa famille. Son épouse, Alexis Roderick Joel, a d’ailleurs tenu à remercier chaleureusement le public pour ses mots réconfortants.
«Merci pour cet élan d’amour et de soutien. Nous sommes tellement reconnaissants pour les excellents soins et le diagnostic rapide que nous avons reçus. Bill est aimé de tant de personnes, et pour nous, il est un père et un mari qui est au centre de notre monde. Nous gardons espoir quant à sa guérison. Nous avons hâte de vous revoir bientôt», lance-t-elle sur la page Instagram du chanteur de 76 ans.
En effet, Pascal Morissette a partagé des images de l’entrevue de sa conjointe, où l’on voit Julie avec leur fille sur les genoux, une scène attendrissante, marquée par un moment cocasse: la fillette se lèche intensément les mains en direct.
«Julie faisait une entrevue ce matin à Salut Bonjour et… il faut comprendre que ma petite venait de manger une clémentine (rires), parce que c’est un moment de télé anthologique», lance-t-il en réaction à ces images aussi mignonnes que rigolotes.
Adorable!
Cette clémentine, apparemment bien savoureuse, a offert un moment télé tout aussi… savoureux!
Dès les premières minutes du balado, Josée s’est livrée avec sincérité sur plusieurs sujets, dont sa plus grande peur, qu’elle a abordée avec beaucoup d’émotion.
«Être oubliée… partir sans laisser de trace, c’est drôle, hein? Je sais que je ne suis pas la seule (…) mais pour moi, c’est vraiment très fort, ça, et je ne peux pas expliquer pourquoi (…)», confie-t-elle, en précisant combien il est essentiel pour elle de garder et de créer des souvenirs, des photos, des récits, afin de laisser une trace de son passage.
«(…) La plus grande peur, c’est vraiment… c’est vraiment de mourir dans l’oubli. Mourir, ça fait peur (…)», affirme la coach de mise en forme, en expliquant que chaque fois qu’elle voit passer l’annonce du décès d’une personnalité, Josée salue la photo de la personne et constate, avec regret, que malheureusement, une semaine plus tard, plus personne n’en parle.
Capture Youtube @Marie-Claude Barrette
Pour Josée, il est douloureux de prendre conscience que, malgré la perte d’un être cher, la vie continue comme si de rien n’était.
«J’aimerais ça qu’on se souvienne de moi (…)», lance-t-elle, évoquant le réconfort qu’elle ressent lorsque des personnes l’approchent pour témoigner de l’impact qu’elle a eu sur elles.
Un témoignage qui lève le voile sur une peur que beaucoup redoutent peut-être en silence.
«(…) Il y avait un questionnement pour Meubles RD… ils se sont posés la question, tu vois: Est-ce que c’est correct? Parce qu’on vit quand même dans une époque assez sensible. Et puis moi, j’étais super on», affirme Jérémy.
«(…) Je trouve que oui, Guillaume avait fait une erreur, mais je veux dire, on en fait tous des erreurs dans la vie. Et puis, il n’a tué personne. Donc oui, il a fait une erreur. Oui, c’était niaiseux, qu’on croit qu’il ait fait exprès ou non, peu importe la version, mais reste que le gars avait le droit, pour moi, il avait le droit à une deuxième chance», soutient-il, en ajoutant que si une situation semblable lui était arrivée, il aurait lui aussi aimé qu’on lui accorde une deuxième chance.
«(…) Guillaume, c’est un être humain, pour l’avoir rencontré, qui est vraiment gentil, vraiment adorable, poli, sympa (…) Je l’ai trouvé super, super adorable, super correct (…)», témoigne l’humoriste.
«(…) C’est juste que tu vas le niaiser au Bye Bye, tu vas le niaiser. Donc, est-ce que c’est correct de le niaiser, mais par contre de ne pas lui donner une chance de pouvoir rire de lui? Parce qu’il riait de lui dans la pub (…) Je pense que les deux auraient été correct (…) Je pense que Radio-Can aurait dû accepter de la passer (…)», explique Demay.
Alors qu’il évoquait les débuts de sa relation amoureuse, entamée au début de la vingtaine, Jérémy a confié qu’ils avaient choisi, à un moment donné, d’ouvrir leur couple et de s’accorder la liberté de vivre de l’intimité avec d’autres personnes.
«(…) Je pense qu’on était très immature, très… on avait encore besoin de, tu sais, de s’amuser. On n’avait pas eu assez d’expériences, ni l’un ni l’autre, donc on s’est laissé mutuellement, avec un commun accord, voguer (…) À l’époque, un couple ouvert pendant des années et des années (…)», lance-t-il.
«(…) On est resté ensemble, mais je pense qu’on avait besoin d’ouverture dans notre couple», explique Jérémy.
Curieux, l’un des animateurs lui a demandé quelles étaient les règles pour que ce couple ouvert fonctionne.
«La règle, c’était: tu as le droit d’aller voir ailleurs, mais une fois (…)», témoigne l’humoriste, précisant que lui et sa partenaire ne pouvaient pas revoir la personne avec qui ils avaient partagé de l’intimité plus d’une fois.
Jérémy explique qu’à l’époque, dans sa jeune vingtaine, il avait encore envie d’explorer et de vivre différentes expériences.
«(…) J’avais besoin, encore, de batifoler», lance-t-il.
Capture YouTube @Prends Un Break
Demay raconte que cette phase d’ouverture a pris fin lorsque sa conjointe a franchi l’une des limites qu’ils s’étaient fixées, un moment charnière qui lui a fait comprendre qu’il n’était plus à l’aise dans ce type de dynamique relationnelle.
«(…) C’est arrivé une fois, et ça… ça nous a fait une onde de choc dans notre couple (…)», déclare-t-il.
Ce couple ouvert, qui a duré environ sept ans, s’est finalement refermé pour faire place à un retour à la monogamie. Bien que ce type de relation ait fonctionné pour eux pendant de nombreuses années, Jérémy affirme qu’aujourd’hui, il ne referait pas ce choix.
«J’aime ça dire qu’on est les Guylaine Tremblay du web», lance-t-elle, avant de demander à son invitée si elle se reconnaissait aussi dans cette analogie.
«Euh… je ne sais pas si je m’identifie au personnage, mais je comprends (…)», répond Gabrielle, visiblement confuse.
Capture YouTube @Parenthèse Podcast
«(…) Elle est là depuis tellement longtemps, et elle est partout (…)», poursuit Lysandre, afin de mieux appuyer son propos.
Tout au long de la comparaison faite par Lysandre, Claude et Gabrielle semblaient confus. Ils ne comprenaient visiblement pas à qui elle faisait référence. Ensemble, ils ont finalement réalisé qu’ils ne pensaient pas à la bonne personne.
«Ok, nous, on pensait Guylaine Gagnon (rires)», réagit Gabrielle après que Lysandre lui ait présenté une photo.
Capture YouTube @Parenthèse Podcast
«Je retire ce que j’ai dit, je m’associe 100 % à Guylaine Tremblay, je veux être Guylaine Tremblay. Guylaine Tremblay, c’est mon spirit animal (…)», réitère finalement Dentellefleurs.
Il aura fallu quelques instants de confusion, mais tout le monde a fini par remettre un visage sur la légendaire Guylaine Tremblay.
«(…) quelqu’un m’envoie une portion de l’émission de Luc Ferrandez et Nathalie Normandeau, qui parlent d’un cas, d’une jeune femme qui a une maladie orpheline et qui se retrouve en prison, donc se posent des questions sur la place des personnes qui ont un handicap lourd ou une condition difficile à «gérer», et dans l’émission, je vais essayer de ne pas pleurer, ils proposent l’euthanasie (…)», dénonce Guylaine.
Guylaine mentionne par ailleurs avoir contacté la station et a partagé la réponse du vice-président, qui précise que l’intention des animateurs n’était nullement de blesser, mais plutôt de mettre en lumière une situation troublante et dramatique. Il affirme également que les animateurs ont été rencontrés afin de discuter de la plainte.
J’ai écrit au @le985fm et voici la réponse du vice-président.Je me permets de partager car c’est la réponse envoyée à…
«Je suis restée silencieuse face à ce qui s’est dit au 98,5 concernant les personnes en situation d’handicap lourd. Même si ce sont des propos qui touchent directement des gens que j’aime profondément. J’attendais les excuses, les explications. Je pouvais pas croire que des gens intelligents et réfléchis pouvaient tenir de tels propos. Je m’attendais à ce qu’on prenne responsabilité, qu’on se répande en excuses. Rien de tout ça n’est arrivé. Plutôt que des excuses sincères et bien senties, avec un profond regret d’avoir tenu des propos blessants et inquiétants, on a plutôt cherché à se justifier, à se défendre», lance-t-elle avec indignation.
«Pas vous mentir… Ça me met en tab*rnak. Je me suis demandé comment l’expliquer, ce sentiment intense qui m’habite. Je me suis demandé ce qui faisait si peur dans les propos qui ont été tenus par ces deux animateurs.trices Puis la fédération québécoise de l’autisme a publié une lettre. Qui dit tout. Je vous invite à la lire. Attentivement. Je sais que ces stories ne sont pas drôles, mais des fois, ça prend ça pour réajuster un tir qui vise des personnes qu’on aime et qui ont le DROIT à la dignité», ajoute l’humoriste, avant de partager un texte de la Fédération québécoise de l’autisme qui affirme que la vie humaine n’est pas une opinion.
Plusieurs soutiennent que des animateurs ont déjà perdu leur emploi pour bien moins que la prise de position des deux animateurs du 98.5.
Un accomplissement d’autant plus significatif qu’il survient après plusieurs événements marquants dans sa vie personnelle, dont sa séparation avec Marie-Hélène Fortin.
Une rupture amoureuse qui a aussi marqué la fin d’une collaboration professionnelle, puisque Marie-Hélène faisait partie du groupe Mes Aïeux.
«Cette séparation-là faisait que je me retrouvais orphelin d’amour, de famille et de groupe (…) Mon petit collectif, j’en étais sorti. Je me suis ramassé dans un appartement vide à me demander: Qu’est-ce que je fais? (…)», témoigne-t-il, en racontant qu’il peinait aussi à trouver un emploi.
C’est dans la solitude de son cocon qu’il s’est mis à écrire. Des mots sont nés, prenant peu à peu la forme d’une structure chansonnière, jusqu’à s’animer et donner naissance à un album intitulé Point.
C’est sur Instagram que Jean-Michel Anctil a partagé une adorable photo en compagnie de sa conjointe, tous sourires sur une plage, quelque part sous les tropiques.
«Ça fait 4 ans que tu partages ma vie et je t’aime toujours autant. Je nous souhaite encore plusieurs années à se regarder comme après notre premier baiser et à se dire je t’aime tellement», lance-t-il, manifestement heureux de partager son quotidien avec celle qui fait battre son cœur.
C’est sur Instagram qu’elle a dévoilé les premières images, accompagnées d’un tendre message dans lequel elle exprime toute la fierté qu’elle éprouve pour son conjoint.
«Le 12 juin, un documentaire sur Luc sort sur Crave. Son parcours, son cœur, son pourquoi. Luc ne cherche pas la gloire, il cherche à inspirer. À montrer que réussir, c’est possible, dans toutes les sphères de la vie. Je suis tellement fière de lui. C’est rare, aujourd’hui, d’oser être aussi vrai», lance-t-elle.
Dans ce documentaire, rappelons que Pierre-Yves McSween accompagnera Luc afin de nous plonger dans les coulisses de son mode de vie et de sa réussite financière.
«Des HLM à la vie luxueuse, Luc Poirier transforme chaque projet en millions. Suivez Pierre-Yves McSween à la conquête du secret derrière le phénomène Luc Poirier», lit-on en marge de la bande-annonce.
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