En effet, la grand-maman a partagé une touchante photo où elle aide sa petite-fille à souffler ses bougies d’anniversaire, un moment rempli de douceur et de complicité.
«Bonne fête ma petite-fille d’amour! Je ne t’ai presque pas aidée à souffler… non non», ajoute-t-elle, le cœur visiblement rempli de joie.
En effet, l’ex-candidat de téléréalité a récemment partagé sur Instagram quelques stories où il apparaît aux côtés d’une certaine Jade Morisset.
Sur l’une des photos, Walide prend la pose devant un miroir, collé à Jade, la main posée avec assurance sur sa hanche, un geste qui laisse croire que le duo pourrait être bien plus que de simples amis.
De son côté, Jade a partagé une photo de Walide au restaurant, accompagnée d’un petit mot doux qui laisse planer peu de doutes sur la nature de leur lien.
«I’m melting», lance-t-elle, alors que Walide repartage la publication, accompagné d’un petit cœur.
Nous avons tenté de joindre Walide pour savoir s’il avait effectivement trouvé l’amour, mais au moment d’écrire ces lignes, il n’avait pas encore donné suite à notre demande.
Invitée à l’émission On ramassera demain, animée par Pier-Luc Funk, Roxane Bruneau a participé à une série de jeux et de défis hilarants aux côtés de Sandrine Bisson, Sarah-Jeanne Labrosse, Naadei Lyonnais et Rosalie Vaillancourt.
Pour lancer l’épisode, les invités ont participé à un jeu où ils devaient lire une question suivie de sa réponse, puis tenter d’identifier lequel d’entre eux avait fait cette déclaration.
Lors du jeu, Pier-Luc est tombé sur une question à propos de l’objet qui symbolise le bonheur ultime. La réponse, touchante dans sa simplicité: ma maison.
«Parce que moi… je vous avertis, là, c’est le bout lourd. Moi, j’ai longtemps été sans domicile fixe, donc quand j’ai été capable de m’acheter une maison avec mes sous, que je fais grâce à ma musique, c’est mon safe space, c’est l’affaire dont je suis le plus fière», explique la chanteuse.
Capture Télé-Québec
Souhaitant en apprendre davantage sur ce qu’elle voulait dire par sans domicile fixe, Pier-Luc lui a demandé si cela signifiait qu’elle avait dormi dans sa voiture.
«Non, je n’avais pas de char non plus. J’avais deux sacs à vidange et un bon cercle social», raconte-t-elle, précisant qu’elle s’en est sortie en dormant chez des amis.
Questionnée sur son lien avec les personnes qui l’ont aidée durant cette période, Roxane a affirmé qu’elle est encore très proche de tous ces gens-là, et qu’elle leur rend la pareille.
Un témoignage qui démontre à quel point Roxane est reconnaissante de ce qu’elle a aujourd’hui, sans jamais oublier ceux qui ont été là dans les moments les plus difficiles.
Alors qu’il expliquait que le fait que son personnage soit détesté était en soi un bon signe, puisqu’il réussit à faire réagir le public, l’animateur lui a posé la question que tout le monde se pose: quand reprendront les tournages, et surtout… est-ce que son personnage est toujours en vie?
«Je ne sais pas si je suis encore en vie, mais je peux vous dire quand même un punch, c’est que j’ai une journée de tournage en juillet, et je ne sais pas si on va me retrouver mort et je vais tourner un gars mort, ou je vais tourner un gars qui s’en sort… je n’en ai aucune idée», dévoile-t-il.
«Je reviens dans STAT, ne serait-ce qu’une scène, une minute, une journée… ou peut-être que je reviens pendant trois ans aussi», continue le comédien, laissant planer le mystère.
Rappelons qu’avant la fin de la saison, le personnage d’Emmanuel, Laurent Lamy, se retrouvait dans un état critique, après avoir été découvert ensanglanté par celui incarné par Suzanne Clément, Emmanuelle St-Cyr.
Que fera Emmanuelle St-Cyr? Réussira-t-elle à le sauver? Le voudra-t-elle seulement? Et surtout… sera-t-il déjà trop tard pour Laurent Lamy?
«Bonne fête mon amour. Dans ton cas on peut vraiment dire que le temps n’a pas d’emprise sur toi. Que cette journée soit à ton image, la plus belle», lance-t-il, visiblement heureux de partager sa vie avec elle.
Cette période aura laissé des traces sur la façon dont Bianca agit aujourd’hui, ainsi que sur l’attention que lui porte sa mère, particulièrement vigilante aux moindres signes d’alertes.
«(…) Je pense que le trauma, oui, a été pour moi, mais il a été pour les gens autour (…) Ma mère, elle s’est sentie, à l’époque, très, très impuissante. Il y a plein de soirées où elle m’a dit, après, qu’elle a mangé pour moi (…) Ma mère, je sais qu’en cachette, une ou deux fois par année, elle va écrire à Sébastien (…)», confie-t-elle, précisant que sa mère reste attentive aux moindres signes, comme une perte d’appétit ou un changement de poids.
Pour ne pas inquiéter ses parents, Bianca admet qu’elle s’abstient de manger de la salade devant eux, même si l’envie est là.
De plus, lorsqu’elle accompagne de jeunes filles qui passent par ce qu’elle a elle-même vécu, Bianca choisit volontairement un repas généreux lors de leurs rencontres au restaurant, pour leur montrer qu’on peut manger sans culpabilité.
Depuis sa guérison, l’animatrice a choisi de vivre sans balance et d’orner ses miroirs de mots positifs pour se rappeler l’importance de la bienveillance envers soi-même.
Un témoignage touchant où Bianca s’est livrée avec courage et de vulnérabilité, une prise de parole qui fera écho chez bien des gens.
C’est sur sa page Instagram que Marie-Andrée a pris la parole pour évoquer leur séparation, précisant qu’elle aurait été officialisée il y a déjà quelque temps.
Dans son message, elle souligne le chemin parcouru ensemble et affirme qu’ils sont toujours en bons termes et en contact.
«Comme plusieurs d’entre vous ont suivi notre histoire avec attention et bienveillance, je voulais vous partager que ma relation avec Anthony est terminée depuis quelque temps. Nous avons vécu une belle aventure ensemble, et aujourd’hui, nous avons fait le choix de continuer nos chemins séparément, tout en restant de très bons amis. Nous sommes toujours en contact et avons beaucoup de respect l’un pour l’autre. Nous souhaitons maintenant préserver notre vie privée et vous remercions d’avance de respecter notre choix, sans jugement. Merci pour votre soutien et votre compréhension», lance-t-elle avec, visiblement, beaucoup de respect.
On leur a notamment demandé s’ils avaient mis leur projet de mariage sur la glace, considérant l’arrivée prochaine de leur deuxième enfant.
«Euh… est-ce que c’est à cause de l’arrivée du bébé numéro deux? (rires) Est-ce qu’on est en train de faire une pause? Moi, dans ma tête, tu choisissais quand tu voulais (…) La vie étant ce qu’elle est, tu sais, on n’est pas toujours dans des supers: Ça va bien *sti (…) Ça fait que là, on est plus en… plus un peu en thérapie qu’en prévoir la date d’un mariage, mais pas dans le sens dramatique (…) Des gens qui feraient ça seraient dans le déni, dans le sens où: Ah oui, on va se marier, ça va… ça va arranger ce qui est rushant en ce moment. Au lieu d’être en thérapie, bien, ils vont… ils vont tomber en bas d’une falaise très haute», explique Claude.
Capture YouTube @Parenthèse Podcast
«Absolument, et nous, on veut que ça marche, donc on va en thérapie. Et là, une fois que la thérapie va être derrière nous, parce qu’on va être parfait, bien, on se mariera», répond Lysandre.
«Parce qu’en plus, le mariage a la réputation (…) de tout gâcher (rires). Imagine, tu arrives là, un peu pas fort, là (…)», renchérit Claude.
Selon Lysandre, leur relation a déjà passé plusieurs étapes importantes, ce qui lui permet de croire que le mariage peut être remis à plus tard, sans pression.
Sur Instagram, Anik Jean a célébré le début de cette belle aventure avec une photo pleine de complicité aux côtés de Patrick Huard, accompagnée d’un message débordant d’enthousiasme.
«Quel bonheur de vivre cette expérience ensemble! Bon Cop, Bad Cop, la série, c’est ce soir que le tournage commence. J’espère que vous êtes prêt à une grosse série remplie d’action», lance celle qui signe la trame sonore, visiblement comblée de bonheur.
«Première journée de tournage, première scène et on commence avec une cascade (…) je suis bien énervé, je suis très fébrile (…)», a pour sa part témoigné l’acteur principal du projet.
C’est en évoquant le stress ressenti lors de sa première édition à titre d’animatrice de la téléréalité qu’Alicia a affirmé que son expérience est aujourd’hui beaucoup plus positive qu’à ses débuts.
«(…) Je comprends, là. Il était fucking bon, je suis avec vous (…) Je trouve que j’ai commencé à être bonne quand j’ai commencé à… enlever le bâton de mon c*l un peu (…)», témoigne-t-elle, en affirmant que le mot d’ordre pour la deuxième année était tout simplement de prendre plaisir à l’expérience.
Alicia raconte qu’elle et Fred regardent parfois des photos de leurs débuts et se demandent ce que la production a bien pu voir en eux à l’époque.
«Moi, je parle trop vite, je n’articule pas. Ça, ça n’a pas changé, par exemple (…)», lance-t-elle avec autodérision.
En fin d’épisode, l’animateur a demandé à Alicia ce qui avait été le plus gros défi d’animer avec son partenaire de vie.
«(…) Ce qui est spécial de notre relation, c’est qu’on a beaucoup plus d’enjeux en dehors d’OD (…) Quand on va à OD, c’est comme si on se recolle (…) OD nous a vraiment aidés dans nos enjeux de couple (…) En même temps, on a le goût de se gunner à la fin d’OD parce que, pour de vrai, c’est vraiment difficile (…) À OD, le plus gros challenge, c’était… je pense de se faire confiance, parce qu’on ne se faisait pas confiance pour de vrai, et à un moment donné, on ne se faisait tellement pas confiance qu’on se tapait sur la tête l’un et l’autre (…)», explique-t-elle, en ajoutant qu’ils se comparaient constamment, jusqu’à comprendre qu’ils étaient plus à l’aise lorsqu’ils animaient séparément.
«(…) On trouve qu’on prend mieux notre place comme ça, et les moments où on est ensemble ont plus d’impact aussi (…)», lance-t-elle pour expliquer pourquoi ils animent moins côte à côte qu’au début.
Capture YouTube @La vie sociale
Un beau défi de couple, qu’ils ont su ajuster au fil du temps.
Nous leur souhaitons une excellente troisième édition!