Dans le cadre du Défi 28 jours sans alcool du mois de février, Maripier Morin avait envie de partager avec les auditeurs de RythmFM une histoire personnelle dont elle n’avait jamais parlé publiquement.
Cependant, l’animatrice admet avoir trouvé ce geste un peu difficile à accepter, car cela lui mettait beaucoup de pression. Pendant plusieurs semaines, elle répétait à Jean-Philippe que s’il avait envie de boire, il pouvait le faire, jusqu’à ce que celui-ci finisse par lui demander d’arrêter de lui dire ça.
Elle s’est ensuite ouverte sur la consommation de son père, qu’elle décrit comme étant un gars de party.
«Moi, mon père c’est un gars de party, papa il aimait ça (…) je vais dire un alcoolique social, mais c’est un gars qui ne buvait pas souvent, mais quand il prenait un verre, il avait du fun. Il ne voulait pas que ça arrête», met-elle en contexte, affirmant avoir toujours connu son père ainsi, mais qu’il était extraordinaire ainsi que présent et qu’elle n’avait jamais eu l’impression qu’il avait un problème d’alcool même si elle savait qu’il aimait ça.
C’est lors d’une discussion avec sa mère que celle-ci lui a révélé que son papa n’avait pas bu d’alcool depuis plus de six mois, une nouvelle qui a surpris Maripier.
C’est après avoir relevé le Défi 28 jours sans alcool, qu’il n’a simplement jamais recommencé à consommer.
Elle a donc demandé à son père ce qui se passait, et il lui aurait répondu qu’il ne savait pas quand il allait recommencer. C’est à ce moment-là que Maripier a compris que sa démarche était inspirée par ce qu’elle vit et ce qu’elle fait.
«(…) Mon petit frère Raphaël… il faut savoir que moi je suis rentrée en thérapie en juillet, Raphaël est retourné en octobre et je pense que c’était sa façon à lui de nous dire: Je vous accompagne là-dedans!», partage-t-elle, tout en étant très émotive.
«À ce jour, c’est dans les plus belles preuves d’amour que j’ai reçues. Papa, il a décidé, sans se mettre de pression, de se lancer là-dedans. Aujourd’hui, je peux dire que je suis immensément fière de mon papa», témoigne-t-elle.
Dernièrement, ils ont d’ailleurs célébré les quatre ans d’abstinence de son père.
Avec ce partage, Maripier souhaite rappeler qu’il n’y a pas d’âge pour arrêter de consommer et qu’il y a toujours de l’espoir.
Participez-vous au Défi 28 jours sans alcool en février cette année?
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